L'oeil du pendu

Une femme courrait dans les bois, visiblement appeurée et perdue.Voyant la nuit tombée elle décida de s'arrêter et de se trouvé un endroit pour se construire un abri. Elle s'enfonca dans les bois jusqu'à trouver un endroit parfait et non loin d'un petit chemin, afin de ne pas trop se perdre. Elle attacha son animal de compagnie au pied d'un arbre, on pouvait très bien reconnaitre une bellette aux couleurs sombres et claire a la fois.

-Très bien Bellette...Je sais pas où nous sommes, mais je sens que nous allons rester ici longtemps, alors je vais nous construire un abri dès l'aube, pour l'instant je crois qu'ils vaut mieu que nous dormions un peu, pour reprendre des forces.

Puis, elle se coucha près de son animal et s'endormis aussitot...

Izor arriva dans la forêt non loin de la femme, mais il ne l'avait pas vu. Il entendit des ronflements d'animal. Il chercha autour de lui mais comme il allait voir la belette, il entendit un bruit derrière lui et il regarda aussitôt, épée dégainée.
Il hurla de toute ses forces. Il vit un homme pendu a un arbre.
-J'espère que qqn l'a tué et non qu'il s'est tué...

L'elfe sursauta sur le crie qu'elle venait dentendre, sur ce, elle empoigna son épée et pointa l'homme en question de sa lame bien aiguisée.

-Qui êtes vous et que me voulez-vous, hommes?!

Voyant l'homme appeuré, elle se tourna et vit l'homme pendu a l'arbre. Il était raide et de teinte violette, elle en déduit donc, qu'il était mort depuis longtemps déjà. Elle s'approcha et le fit balancer en le touchant, puis elle se retourna vers l'homme..

-Il est mort depuis longtemps déjà...n'ayez crainte il ne vous mangera point...

Elle regarda le pendu de nouveau de façons dédégneuse, puis l'autre homme ensuite. L'elfe alla vers l'arbre où son petit animal y était attaché. Elle le caressa pour le réveiller, puis le déttacha de l'arbre, afin de le prendre dans ses bras. Elle regarda l'homme ensuite:

-Je n'est que faire ici.

Elle regarda le pendu une troisième fois puis, s'enfonca de nouveau dans les bois...

L'elfe continua a s'enfoncer dans la forêt, elle marchait depuis dejà cela plusieurs minutes. Elle s'arrêta enfin, non loin d'un chemin.

-Parfait mon amis, je pensse que cette endroit est parfait pour établir notre campement.

Elle laissa sa bellette marcher a sa guise, afin qu'il puisse se dégourdir les pattes, puis elle se mis enfin a construire son campement...

Une autre femme, pauvre selon son accoutrement, arriva près de l'abri construit par l'elfe qui était là depuis peu. Elle regarda dans les alentour. Il n'y avait rien d'autre qu'un simple abri, personne n'y était selon elle. Ce serait l'endroit parfait pour passer une nuit avant de continuer la quête qu'elle s'était lancé.

Elle alla s’allonger sous le petit toit qui lui servirait d’abris pour la nuit. Elle s'endormi finalement pour reprendre les forces qui lui seraient nécéssaire pour continuer sa route le lendemain.

Caché derrière un arbre, l'elfe aux oreilles très fines avait entendu un chevreuil s’abreuver près de son campement. Elle n'était qu'à quelques mètres de son repas, lorsqu’elle vue une nouvelle venu arrivé a son campement. L’elfe décida de finir se qu’elle avait commencé avant d’aller voir qui cela pouvait bien être. L’animal se trouvait toujours au même endroit, au moment où elle empoigna son épée pour sauter sur celui-ci, qui s’écroula aussitôt. L’elfe se releva, puis traina l’animal jusqu’au fort où se trouvait la femme endormie.

Après avoir découpé en entier l’animal, elle alluma un feu, recouvrit la demi-elfe de sa cape et alla ensuite s’asseoir près du feu.

La lumière si intense produite par le feu que venait tout juste d’allumé Sillyra eu raison du sommeil de la nouvelle venue. Celle-ci, en ouvrant les yeux, aperçu la jeune femme qui se tenait à ses côtés. Croyant l’avoir importuné, Merryl lui dit :

-Je vous pris de m’excuser ma chère, je croyais ce fort abandonné. Je vous promets de partir dès que les premiers rayons du soleil seront sortis, si vous ne voyez pas de problème à ce que je reste cette nuit. Si vous ne voulez absolument pas de moi, je ne verrai pas d’objection à partir dès maintenant pour exaucer votre souhait.

L'elfe se tourna vers la nouvelle venue.

-Je ne voit aucune objection a se que vous rester, vous devez être perdue tout comme moi. Cependant, j'aimerais bien avoir de l'aide pour construire des murs il y a des hommes dans les environs et je ne leur fait point confiance...

Elle se retourna vers le feu et pris un morceau de viande qui était en train de cuir, puis le tendis à la demi-elfe.

-Voilà qui devrait satisfaire votre faim, je l'ai chassé pendant que vous dormiez. Mais dite moi...Quel est votre nom?

En tendant la main vers le morceau de viande que lui proposait l'elfe, elle lui répondit poliment:

-Je me nomme Meraellyra Mil-Gania, fille unique de Dellona Mil-Gania. Je suis orpheline depuis plus de deux lunes, lors de l'attaque d'une sorte d'homme qui a completement détruit mon village. Je suis ici à sa recherche.

La demie-elfe, affamée, avala quelques petits morceaux de la chair de l'animal avant de poursuivre.

-Et je serais d'ailleurs très heureuse de vous faire profiter des nombreux talents que j'ai dévoloppés lors de ma jeune enfance et qui ont servi à l'entretien de mon ancien village. Mais permettez moi de vous renvoyer la question, comment vous nommez vous?

Au même moment où la demi-elfe posait sa question à l'elfe. Lelldorin apparaissait de l'autre côté du feu, en position assise.

-Désolé de vous interrompre, mesdames, mais la présence d'une de mes semblables et d'une hybride en ces lieux que je connais bien m'incitait à découvrir qui vous étiez, s'annonça le mage. Nous sommes si peu d'elfes en ces lieux. Au fait, je me nomme Lelldorin Elbryan.

Losqu'elle était sur le point de dire son nom l'elfe vue un homme apparaitre en face d'elle, elle fut surprise malgré elle.

-Tien, tien, bonjours homme... vous m'avez surprise je l'admet, se qui est rare dans mon cas, mais sa tombe bien vous pourriez surment nous aidez et nous dire où nous sommes.

L'elfe se retourna vers sa nouvelle amie qui avait l'aire tout aussi surprise qu'elle de voir un elfe apparaitre de nul part...

-En passent, je me nomme Sillyra Mëar et voici mon meilleur amis, Bellette.

Elle donna un morceau de viande a son petit animal qui le dévorra rapidement.

Après avoir aperçu Sillyra se retourner vers l'elfe, Meraellyra en fit de même. Elle semblait très surprise de voir cet homme au visage qui lui rappellait ceux de son village natale.

La jeune demi-elfe regarda Sillyra d'un regard interrogateur. Étant de nature craintive, celle-ci ne savait point s'il était un homme de confiance. Alors ignorant le nouveau venu et sans lui adresser un seul mot, celle-ci continua de manger le morceau de viande que lui avait tendu l'elfe auparavant.

Voyant l'elfe ne pas lui répondre, Sillyra décida d'oublier qu'elle lui avait poser une question. L'elfe se pris un morceau de viande crue, puis le mis sur le feu pour le faire cuire. Elle se tourna ensuite vers Merryl qui paraissait paralysé et choqué.

-Allez-vous bien, ma chère? Que se passe t'il? demanda l'elfe.

Avant de répondre honnêtement à la question que venait de lui poser Sillyra, la demie-elfe lui fit un signe de la tête lui indicant la sortie du campement. Elle s'approcha de la jeune femme en lui chuchotant à l'oreille:

-Venez me rejoindre à l'extérieur du campement dès que vous pourrez. Ne vous inquiètez pas, ce n'est rien de grave.

Sur ces subtiles mots presque incompréhensible, Meraellyra sortie du campement d'un pas lent qui n'eu en aucun cas dérangé l'elfe qui n'avait osé porter de regard sur elle depuis son arrivé.

L'elfe tourna une dernière fois son morceau de viande sur le feu, afin qu'il soit complétement cuit, le pris, puis s'éloigna du campement vers Merryl qui l'attendait près d'un gros arbre aparament couper...

-Alors, que se passe t-il?

Lorsqu'elle entendit l'elfe s'approcher d'elle, Meraellyra lui fit face.

-Le visage de cet homme m'et familier. Je ne sais quoi en juger. Mais une chose est sure, je n'ai aucunement confiance en lui. Certe ce n'est peut-être qu'un mauvais précentiment, mais je n'oserais pas lui accorder notre confiance dès maintenant.

En s'assoyant sur le tront d'arbre coupé, elle continua d'expliquer son point de vue. Après une dizaine de minutes, Merryl finit par se taire pendant une minute qui lui semblait interminable. Elle essayait de se souvenir...

L'elfe sourie à sa nouvelle amie qui paraissait réfléchir profondément.

-Je suis contente de voir que vous êtes du même avis que moi, moi je les préfère attaché a un arbre et m'amuser un peu. Cependant, je préfère les humains, moins que seux de ma race du moin...Mais je crois tout de même qu'il pourrait nous dire où nous sommes, donc gardons notre calme et demandons lui. T'en qu'à vous, si vous voulez vous assurez qu'il n'est pas qui vous croyez, questionez le ou demandez lui tout simplement.

Sillyra relanca un sourire à la demi-elfe, puis retourna vers le fort.

En entendant les mots que venait de lui dire Sillyra, Merryl se réjouit. Pour une fois, quelqu'un partageait le mépris qu'elle avait envers les hommes.

La demie-elfe, pour la première fois de sa vie, ne savait pas quoi penser. Devait-elle aller lui parler comme lui avait conseillé son amie ou tout simplement réfléchir de son côté pour être sure de ce qu'elle pense.

Comme la journée battait de son plein, Meraellyra retourna voir son amie à l'intérieur du campement et lui dit:

-Pardonnez moi ma chère, mais je vais dans les bois, espérant que la forêt me porte conseil. Lors de mon retour, il faudrait se mettre au travail et terminer complètement les petits détails de notre abris.

Sur ces mots, elle partie pour près de 3h dans les bois, laissant la chance à sa compagne de s'informer auprès de l'elfe.

L'elfe regarda s'éloigner Merryl, puis retourna s'asseoir près du feu et de Lelldorin.

-Alors homme elfe, on vous a coupé la langue ou vous avez décider de ne plus m'addresser la parole?

L'elfe mangea son morceau de viande, puis en remis 2 sur le feu.

-Vous en voulez? demanda l'elfe a Lelldorin

**Désolé pour ne pas avoir répondu plus tôt..**

L'elfe n'avait pas écouté Sillyra quand elle avait posée sa première question, il était complètement perdu dans ses pensées. Il avait ensuite vu les deux femmes se diriger vers l'extérieur du campement mais ne s'en souciait guère. Il leva ensuite les yeux quand Sillya lui posa les deux questions. Lelldorin ignora la remarque de la langue et accepta l'offre. Il répondit ensuite à la question:

-Vous êtes dans une partie éloignée d'un endroit que l'on appelle ici "le marais". Vous n'êtes pas bien loin de la civilisation de notre prison appelée "Mythall". Si vous voulez, je peux vous amener jusqu'au village mais, j'ai cru percevoir une note de méfiance à mon égard dans vos yeux. Croyez-moi, je suis tout à fait pacifique et je ne fais de mal qu'à ceux qui détruisent les forêts ou bien ceux qui ne veulent faire que du mal partout où ils vont. En fait, j'apprécie beaucoup de voir d'autres personnes liées à ma race.

Sillyra tourna les morceaux de viande à répétition, puis lorsque cuit, elle en donna un a l'elfe. Elle pris le sien, le mangea tout en lancant un autre morceau a son familier.

-Mythall? Jamais entendu parler, mais j'aime bien pour le moment, je pensse même y rester.

Sillyra se leva, puis continua:

-L'oeil du pendu, c'est comme ça que je vais appler mon nouveau territoire...

L'elfe se retoura ensuite vers Lelldorin:

-Pour votre proposition de la visite du village, je dois refuser car je doit me mettre au travail, je doit construire mes murs, alors vous m'excuserez homme elfe, mais j'ai du travail.

Une note de déception anima la voix de Lelldorin quand celui-ci parla:

-Je comprends... je ne vais pas m'imposer plus que je ne l'ai déjà fais...

L'elfe fit un signe de tête vers l'autre elfe et disparut instantanément. En fait, il s'était rendu invisible et marcha hors du campement. Lelldorin erra ensuite dans les bois entourants le village, tels un fantôme, ironiquement, il était aussi invisible.

Lorsqu'elle revint au campement après avoir longuement réfléchi, Merryl se rendit compte que sa copine était déjà à l'oeuvre dans la construction de l'abri. Lorsqu'elle arriva, elle s'excusa de ne pas être revenu plus tôt et se mis au travail.

En ramassant des branches qui trainaient sur le sol, l'hybride dit:

-Alors, que vous a dit cette chose?

-Ahh! Vous revoilà, je suis contente de vous revoir...L'homme elfe vien tout juste de repartir, il m'a simplement dit que nous nous trouvions sur les terres de Mythall et puis il m'a proposer d'aller visiter le village qui se trouve pas très loin, mais j'ai refusé pour continuer de construire et de vous attendre...

L'elfe pris une gorger d'eau avant de continuer:

-Vous savez, avant d'arriver ici j'habitait dans un petit village situé dans une montagne seulement peuplé de femmes. Bien sur je voyais des hommes une fois de temps en temps, mais seulement lors de nos saisons d'accouplement et de torture. Les hommes elfes t'en qu'à eux nous les voyons que très rarement, ils sont beaucoup trop pacifiques pour vouloir leurs faire du mal. Notre peuple a appris a respecter cette race, mais ils demeurent des hommes, donc nous devons avoir de très bonnes raisons de les aider, mais aussi, nous acceptions rien s'ils n'échangaient rien...

Sillyra pris une courte pause, puis fini par dire:

-Cependant à ce que j'ai pu comprendre il en a peu par ici...