Village : Taverne Vaudois

La réponse de cet homme le mis plus en colère plus que autre chose. Qu’esce qu'il veut se maudit se dit-il. il veut la bagarre ou quoi...... puis il pu voir olath regarder ;la femme a l'extérieure avec une figure bien malveillante. il alla se poster pour lui bloquer la vut sur la femme. pour ne pas qu'il se jette sur elle car au moins il se servirais de lui même pour le ralentir un peu si elle peut s’enfuir

Puis héléna vint lui offrir une coupe de vin. il la pris la calla d'un coup sec et déposa le verre sur la table.

En direction de olath

c'est simple messire temps que je serais vivant. je ne vous ferez pas confiance. vous qui vous attaquer à des personnes sans défense face a vous.

Puis quand le bang résonna il semblait ne pas relâcher sa concentration de olath et resta devant la sortie. Mais se qu'il fit en réalité est d'activer son sanctuaire en gardant un oeil sur olath.

Olath resta encore une fois immobile et ne fit que tourner ses yeux vers l'aasimar.

Il dit, doucement:

"Je n'oserais pas faire de mal à une femme, mon cher. Mais je me demande ce que tu aurais l'air si tu étais comme moi... peut-être que tu cesserais de me juger sur ce que je suis au lieu de sur qui je suis. Tu pourrais savoir de premier plan ce que c'est."

En disant ces mots, ses yeux étaient sévères et n'avaient plus l'étincelle festive habituelle.

Il le fixa droit dans les yeux pour lui montrer qu'il n'avait pas peur. Car il pensa que s’il ne l’avait pas regardé en lui parlant, il aurait fait autre chose. Il aurait surement pensé qu'il est faible. Mais il voulait montré tout autre. Il voulait montrer qu'il n'était pas un lâche. Mais qu'il se tiendrait droit jusqu'à la fin.

Le paladin répliqua comme à son habitude face à Olath

Non et bien pourquoi avoir attaqué un de mes protégés? Si vous lui aviez demandé, car vous êtes ce que vous êtes, elle aurait compris et moi aussi, car on ne veut pas voir personne attaquer quelqu'un ou voir quelqu'un qui perd tous ces moyens juste pour pouvoir de nourrir.

Alors ce que j'en dis. Messire c'est qu’elle ne juge pas se que vous êtes, mais bien la personne que vous êtes que je juge. Car je n’en veux à ce que vous êtes, car si vous étiez une personne bien élever vous auriez pu venir me voir et me le demander. Pour ne pas perdre, contrôle. Alors oui j’aurai accepté. Car a se moment la vous devenez une personne faible a mes yeux et je ne peux m'empêcher d'aider une personne qui est pour moi faible. Même si ce Azraël.... me demanderais de l'aide, car il est poursuivi par plusieurs personnes qui lui veulent du mal pour aucune raison a mes yeux je l'aiderai, car il serait seul contre plusieurs personnes et j’ai une sainte horreur des combats inégaux.......

Avec sa colère il s’était laissé envouter. À son habitude il avait ce qu'il ressentait. Car pour lui dire la vérité était une politique noble qu'il devait respecter.

Il prit le verre et fit signe à Hélèna d'aller en chercher un autre.

La voleuse était tellement confuse des derniers évenements qu'elle était resté au sol en essaillant de tout déméler dans ça tête. Puis, elle entendit les coversation du monde de la taverne et un immence BANG derrière le comptoire et une nouvelle vois demander ou étais passé ça canne. La demi-elfe ce releva et malgré la sensation de haine intance vis-a-vis du dénomé Olath, elle entra dans la taverne et ramassa la canne au sol. L'objet était banale en soit, mais en l'obserant attentivement on pouvait voir qu'elle ne servait que depuis quelques temps et donc que son possesseur était, soit malade depuis peu ou blesser... Lylianne avança jusqu'au comptoir et y déposa la canne avec un peu trop de force pour la pauvre table minable de la petite taverne, ce qui eu pour effet de faire tomber un petit pot a épice au sol qui se brisa avec fracas.

- Oups, pardonnez-moi... Je suis tellement maladroite. Je vais payer les pots cassé, après tout, certaine personne on encore un peu de savoir vivre et de respect en ce bas monde. Pas comme certains individu peu recommandable. Elle déposa sur la table 5 pièces de cuivre et cueilli une des coupes de vin que la tavernière avait remplit avant de repartir au fond de la pièce le dos contre le mur. Le tout sans un seul regard vers Olath....comme si il n'était pas là.

Elle fit un clin-d'oeuil au beau paladin qui avait prit ça deffence et sorti ensuite plusieur petit parchemin troué qu'elle examina avec attention semblait-il...

voir héléna sauter dans les bras de olath ne voulait dire que une chose pour jonas. qu'il était le plus faible des 2.

puis en plus il y a cet être qui le n'argue en voulant aller au coup de la dame et en regardant la dame qui lui avait fait remper tout ta leur.

il fit 2 pas en direction de olath arriva devant. son intension fut peut-être de la prendre par le collet et de la soucouer pour e raisonner mais il devait inquenter avant.donc mauvais choix pour lui. que fallait-il qu'il fasse bousculer héléna et lamener dehors a plus de un mmêtre de la taverne ou dame molokh na plus de pouvoir celon les règle du village et engager un combat perdu d'avance contre lui. non mauvais idée il perdrai en 2 seconde.

il se força et fit un sourire pour changer de tactic en vers cet être. il mis les main dans ces poche pour faire semblant qu'il devenait pénar. et le fixa.

quesce que je t'ai dit? si messire a fin qu'il le demande et si dame ou messieur et volontaire pour soffrir a vous en ma présence cela ira. et je soignerais les blessures après mais faut que la personne soit volontaire de son plien grés. car dison le je ne voudrais pas vous faire sortir de la taverne. et avoir un combat contre vous car on c'est déjà qui gagnera entre vous et moi et dison que cela ne me tente pas d^tre couvert de sang et salir mes équipement de combat non plus. alors arrêter se petit jeu et demander. les bonnes manières a toutjours sa place pour moi.. alors que dite vous de cela?

" Vous voyez? Nul besoin de s'alarmer..." ,dit-il simplement à Jonas, " Puis je vous laisserai la guérir", ajouta-t-il en murmurant avant d'enfoncer ses crocs dans son cou...

Il ferma les yeux, dégustant son savoureux nectar rubis....

au moment ou il lui parla et qu'il était entrain de lui enfoncer les crocs dans la nuque. il fit 2 pas pirs son bouclier et son épée. fit 3 pas et sortie de la taverna mais se tenais juste derière le bas de la porte.

quand tu aura fini de le nourrire héléna tu viendra me voir je te soignerais.. mais pour l'instand. j'ai un mal de tête a faire partir. j'ai un mal de tête qui vien de me prendre. je vais aller prendre l'air quelque minutes le temps de prendre du grand air. et me rafraichir les idées.

avecla colère qui lui montais a la t^te il préférais mieux partir car elle commença a lui donner mal a la tête pour vrai. et après tout il voulait partir de la car la présence de cette être fut de trop pour lui il lui aura sauter a la gorge si il aura pu. bien que cela n'aura pas été digne d'un paladin.

en y repensant en sortant de la taverne. quelque chose lui frappa l'esprit. il se tourna pour voir héléna donner de son sang a olath. elle que fait-elle?. elle lui a donner si rapidement. sans ésiter. se n'ai pas normale de réagie de la sorte.maintenant, bien qu'il avait aider héhléna plusieur fois et devais commencé a douter d,elle.

une de moins. plus le temps passait pour ce paladin plus les porte se referma aces yeux si petite fleur n'ai plus la avec qui il pourra bien passer son temps si il faut que maintenant il se méfis de tous. a ceux yeux il était redevenue seul dans ce monde. si il devait pleurer sur quelque chose sa aurait été sur se point. car il ,navait pas d'allier en ces terres.

puis il fit son 9e pas et partie en direction de l'église.

Lorsque la scène était engendrer et que Molokh avait enfin la cafetière, elle se tourna doucement vers les gens qui étaient dans la taverne. Elle eu un étrange sourire au fais qu'Olath croquais Helena. Elle enleva le bandeau devant ses yeux, après avoir déposer la tasse, la canne et la cafetière sur le comptoire, pour dévoiler les deux orbites noirs où les contours était rougâtre.

- A ce que je vois, tu aime le sang qui stagne depuis quelques années déjà.

Elle regarda le Paladin sortir.

- A PLUS TARD JONAS!

La tavernière ce versa une tasse de café, souffla decu et commença à boire. Elle regarda la nouvelle puis l'argent qu'elle avait laisser.

- Hey demi elf, reprend ton argent, c'est pas nescessaire.

La barde sortie une pièce d'or qu'elle montra à sa fille pour lui indiquer qu'elle le mettait dans le coffre secret en arrière du comtoire. Après quelques gorger, elle soupira.

- Ahhh il est vraiment réussi ma fille, très très bon.

Elle déposa sa tasse pour ce gratter l'interieur d'un oeil.

- Bâtard, ca pique, Argggg!

Molokh continua a gratter avant de retourner a sa tasse de café.

Enfin, il pouvait le sentir... ses ancêtres lui en avait parlé. Ce fléau des originaux. Or, son propre sang descendait directement du premier vampire de son clan. Sa faim revenait à nouveau, mais encore mieux, il était enfin capable de l'étancher... mais pas assez.

"Ahhhh...." Soupira Olath de plaisir comme il retira ses crocs du cou d'Helena.

"J'imagine que ce fera l'affaire pour l'instant..." dit-il en regardant Helena dans les yeux dans la seconde avant que son manque de sang ne la fasse s'évanouir.

Inconsciente, il la pris dans ses bras et la déposa confortablement dans la chaise où il était lui-même assis quelques moments plus tôt. Puis il alla s'asseoir près de Molokh, lui mis la main sur le genou pour qu'elle identifie sa présence et lui demanda :

"Alors, comment c'est de ne pas voir, ma chère amie?"

" Je peux voir où personne ne peut voir, je peux ressentir ce que les autres ne peuvent ressentir, mais voir sans regarder, ça, je ne peux pas. Y a-t-il une seule chose que tu ne sais pas faire?"

Le visage d'Olath grimaça légèrement aux mots de Molokh, puis une sorte de grognement sourd et surnaturel gronda silencieusement dans sa poitrine : il n'aimait pas qu'on traite sa famille ainsi.

" Depuis peu, je ressens une autre présence. Elle est grandissante. Et elle arrivera bientôt. Une matriarche vampire. Je suis le patriarche des Sangalyrs, mais si mon impression me donne raison, c'est la matriarche du couvent des soeurs de sang. Elle n'est pas encore dans le Mythall, mais elle s'en approche et je ne connais pas ses intentions. Et les couvent ne se font généralement pas de pitié.

Si c'est pour être la guerre, je ne me laisserai pas, moi et ma famille, tomber sans faire de bruit."

Puis il regarda Helena et se demanda si c'était la bonne chose à faire.

" Et qu'est-ce qui pourrait ainsi t'intéresser? Et oui, vous seriez tous concerné : dans une telle guerre, les mortels sont une ressource important, comme pourrait l'être la nourriture pour vous; même plus importante, car en plus de nous nourrir, elle nous donne une puissance importante. Lui qui aurait accès à plus de sang, à nombre égal, réussirait à l'emporter."

La barde eu un mouvement un peu étrange. Un rictus qui , pour ceux qui la connaissaient depuis longtemps, en disait long sur ce qu'elle en pensait.

- Justement, si nous sommes une ressources, les mortels n'ont pas a craindre au début.

Puis elle regarda les deux autres. Un autre rictus.

- Tu as dit qu'elle n'es pas ENCORE dans le Mythall. Ce qui signifie qu'elle peu y entrer. Ce qui veut dire qu'elle SAIS que tu est là. Ce qui me pousse a comprendre que le Mythall n'est pas aussi impénétrable que bien des gens le disent.

Elle pris une autre gorgée puis déposa sa tasse. Elle defit quelques choses à sa taille pour laisser un grand sac vert et noir apparaitre. Du dit sac, elle en sortie une étrange boite en bois.

Molokh glissa son doigh sur quelques un des dessins sur le coffre puis enfonca son doigh dans l'oeil d'un visage graver sur la boite. Une petite musique commença a s'échapper de la boite de bois pour finalement s'ouvrir. Dedans, il y avait un livre d'où un visage semblait vouloir sortir.

Elle le pris et l'ouvrit. Les pages étaient jaunis et la langue étrange. Parcourant ses doigh sur les pages elle s'arrêta finalement sur un passage pour leurs faire la lecture.

-" La sottise, l'erreur, le péché, la lésine.
Occupent leurs esprits et travaillent leurs crps,
Et allimentent leurs aimables remords.
Comme des mendiant nourissant la vermine."

Puis elle s'arrêta voir s'ils voulaient qu'elle continue.

Helena allait s'en remettre, il le savait. Elle n'aurait qu'à se reposer. Et tout lui serait révélé en temps en lui, mais pas par lui.

" Qu'est-ce que c'est, ce que tu nous en train de nous lire. J'aimerais au moins bien comprendre ce que tu cherches à nous faire comprendre ainsi" [i]dit-il à Molokh.