La taverne ( nouveau village)

qui conque ne connaissais pas Zasala aurait pu croire que les cris venaient des abysse les hurlement de douleur était accompagnée de martèlement du sol avec ses poings et de fracas de bois.

après une dizaine de minute de hurlement de douleur Zasala s'effondra sur le sol inerte on aurais pu croire qu'il était mort et sans vie si ce nu été de ses grognement si un être autre que Molokh c'était présenter dans l'auberge il serais probablement mort déchiqueter du a la rage qui l'habitait du a la douleur seul Molokh ne risquais rien lors de ses rage par contre l'auberge fraichement construite avais un peut écoper.

La tavernière se pencha sur la gargouille et l'aida a ce rassoire.

- Mon cher Zasala voila bien du temps.

elle lui tendit un verre d'eau et alla ouvrir l'auberge.

Nighto, à son habitude, passe tout bonnement au village. Entendant paroles et discussions près de lui (car les orques, c'est pas subtile), il entre à la taverne et demande à l'aubergiste ceci :
Bien à vous, j'ai entendu dire par les orques à l'extérieur qu'il n'y a plus de milice dans le village ?

Nighto, déconcerté et décontenancé, s'assit et buva une gorgée de ce nectar si somptueux, puis s'adressa, après mûre réflexion, à Molokh :

- Pardonnez-moi mon innocence, très chère Molokh, mais ce que mon esprit voulait dire était que Priam est absent et que sans lui, le village a couru des risques dû aux dernières attaques.


Il reprit une gorgée

- Au passage, ce breuvage est délicieux. N'empêche que je suis sûr que plus de milice, autre que Priam, ne pourrait que faire moins de torts. Priam pourrait encore occupé et sans lui, il n'aurait plus de milice.

Nighto plonga alors dans une réflexion interne sur les paroles sages de Molokh. Plusieurs minutes passèrent, il finit son verre en poussant :

- Par Heaum, je crois que vous avez raison sur ce point. Cependant, je suis sûr d'une chose : il n'y a pas assez de forces pour protéger ce village. Priam, aussi fort soit-il, ne pourrait résister à lui seul un armée de milles ennemis. Mes soeur, Aliel et Illianna, ont pris plaisir à ce nouveau coin de pays, malgré que nous sommes coincés ici. Je ne voudrais pas que malheur leur arrive, ainsi qu'à vous et le village. Je crois que, sous tous les points de vues, protéger ce qui nous est cher n'est ni mal ni bien. Je me suis séparé de ma famille pendant longtemps et je ne veux pas que cela ne recommence. Ces années m'ont ouvert les yeux sur le fait que la famille, peut importe la culture ou la religion, est un lien à protéger. Heaum me donne son pouvoir que je puisse défendre le titre des Blackroses et j'espère qu'il puisse étendre mon pouvoir à protéger tout ceux qu'il désire protection.

Nighto, intrigé, lanca le plus naturellement du monde, et innocemment :

- Vous semblez avoir de l'expérience. Avez-vous perdu quelque chose qui vous est cher ?

Après cette phrase, il se rendit compte de ce qu'il vient de dire.

- Oh pardon, je ne voulais pas être si curieux. J'aurais dû tourner ma langue avant de parler...

Il se leva, paya la boisson que Molokh lui avait donnée, et se diriga vers la porte s'ouvrant sur le village de Mythall. Avant de franchir la porte, il se retourna et dit à la bienveillante aubergiste :

- Par Heaum, je dois et vais protéger ce que j'aime et ce qu'aime les gens que j'aime. Ce village vient, je crois, de trouver une nouvelle sentinelle de Heaum à qui elle peut compter.

La nuit étais tomber depuis longtemps, mais les derniers évènements empêchait Hector Blackrose de fermer les yeux. Depuis longtemps son cœur était à Gond, dieu des inventions, mais maintenant, il en doutait. L'attaque du village par une armée de créature de la nuit, ses elfes noirs, et par des morts-vivants contrôler par cette Liche... Cette infamie de la vie, une chose ne devant même pas existé en ses terres, y compris celle de Mythall. Mais les nuits ne sont pas faites pour remuer ses idées, alors Hector décida d'aller faire un tour à la taverne du nouveau village. Il savait que même à cette heure, Molokh, une des tavernières, était encore debout. Il marcha lentement, prenant son temps en contemplant la lune pleine que cette nuit sans nuages dévoilait pleinement. Une fois arrivé à la taverne, la porte s'ouvrit et il vit son frère, Nighto, sur le point de partir, finissant de parler avec Molokh. Hector n'avait pas revu son grand frère d'âge depuis 5 ans, depuis la destruction de leur manoir et de l'assassinat de sa famille. Il attendait depuis de lui parler simplement de tout et de rien, comme des frères font normalement. Il s'avança à la porte, la bloquant de sa stature et lorsque son frère se retourna pour partir, il se buta contre le buste de son petit frère. Hector ne put s'empêcher de rire un tentiner, montrant son amusement.

- Cher frère, tu ne prévoyais pas partir lorsque ton petit frère arrivait? Voyons, retourne t'asseoir, nous avons une nuit charger devant nous. Dit Hector, amusé par la situation. Il repoussa son frère dans l'auberge, entra, et ferma la porte au passage. Bonsoir Molokh, j'espère que ma présence ne vous importune pas. Demanda t-il en voyant l'aubergiste derrière son comptoir.

Surpris par cette entrée, Nighto recula de quelques pas et, reconnaissant son jeune frère, sauta dans les bras de son petit frère haut de 6 pieds 9 pouces :

- Hector, quel plaisir de te revoir !

Nighto se rassit à la même place qu'il était il y a 5 minutes de cela, derrière la même chope souillée de ses lèvres. Il sorta sa bourse et de l'argent assez pour trois chopes pleines et demanda à Molokh :

- Désolé Molokh, mais on dirait que je vais rester encore pour un bout de temps. J'aimerai de te prendre trois chopes pleines de ton breuvage délicieux de tout-à-l'heure. Une pour moi, une pour petit frère et une pour toi. J'aimerai continuer cette conversation ma foi forte intéressante que nous avons débutée.

Hector pris avec joie la chope que son frère lui tendis et en but une bonne gorgée avant de s'asseoir aux côtés de son frère. Il regarda Molokh lorsqu'elle posa sa question et il pensa quelques instants avant d'y répondre.

- La nuit est belle aujourd'hui... J'espère que ses saletés de mort-vivants de reviendrons pas. Tu sais quelques chose à ce propos ma chère? Demanda t-il à Molokh avec une lumière dans les yeux.

Lorsque cette phrase retentit dans la taverne assez bondée, Nighto eut un frisson. Il but un gorgée de sa chope, sa chope tremblait un peu, il était visiblement nerveux.

- Eeettt... qu'est-ce qui-qui-qui pourrait te faire pensé ça ?

Nighto revint sur terre et se calma, voyant point de danger. Cependant, c'était la deuxième fois qu'il entendait Molokh parler sur ce ton étrange. Il réfléchit un peu avant de parler, voulant essayer d'approcher le sujet sans trop brusquer Molokh. Après seulement quelques secondes, il répondit :

- Pourquoi ce ton ma chère ? Cela fait deux fois que je vous entend parler comme si vous aviez quelque chose sur le coeur... Avez-vous perdu foi en l'humanité et en toutes créatures vivantes sur ces terres ?

Hector n'écouta pas le discours que Molokh fit à son frère. Il la laissa lui parler et lui dire ce qu'elle avait à lui dire. Il fini sa chope au passage et repensa à nouveau à cette nuit de destruction dans laquelle ses parents, sa maison, tout ce que ses ancêtres avaient pu accumuler afin de crée le nom des Blackrose fut détruit devant ses yeux et les yeux de ses frères et sœurs. Il y a longtemps qu'il avait repousser l'idée de recrée le nom des Blackrose. Il voulait survivre d'abord et avant tout sa propre peau et celle de ses frères et sœurs avant même de penser à refaire une noblesse de son nom de famille qui ne voulait plus rien dire en ses terres oubliées. Hector se retourna vers son frère en levant sa chope vers Molokh en signe d'acceptation de sa question.

- Une autre ne ferais pas de mal! Répondu Hector. Nighto... Sache que le présent compte. Le passé est fait, tu ne peux plus rien faire pour sauver nos parents. De toute façon, les signes de la chute de ceux-ci étaient évidents. Ils ont étés nobles le temps qu'ils devaient l'être et ils sont morts comme ils le méritaient. Rien n'arrivent pour rien, que ce sois sur les terres ou nous étions ou ici, sur Mythall. Expliqua Hector à son frère.

Un peu écarter de ça famille, ayant été se promener avec ça sœur qui avait décider de la laisser tomber pour aller a l’église, Aliel ne savait plus quoi faire. En entrant dans le village elle cru remarquer de l’agitation a la taverne, endroit ou elle aimais bien passer se sentant complètement protéger là. Ce plaçant a coter de la porte pour y déposer c’est armes elle reconnu la vois de son grand frère Hector. Immédiatement les mots de son propre frère lui agressaient les oreilles. Comment pouvais t’il n’avoir aucun égard envers son propre père qui lui a donner la vie, ainsi qu’envers ça mère.

‘’ Tu as fuit comme un lâche après se jour, tell un chien errant tu es aller mendier les rue d’un autre peuple, sans fierté sans honneur. Tu peux bien ne plus croire en notre nom… Tu ne le mérites pas. Désolé grand frère mais tu devrais surveiller tes paroles inconscient. ‘’

Aliel prit place sur une banquette posant les yeux dans son livre pour se préparer a réutiliser c’est sorts… Disons qu’elle n’avait pas aimé passer une soirée coincé dans l’auberge a cause d’un certain Madrad.

Molokh regarda la jeune femme, tout en servant le verre a Hector

- Pour personne qui n'as même pas d'amour propre et qui as dé la difficoulter a trouver sa place dans sa propre famille, je trouve que ce rejet de votre frère est très amusante ma chère...

La barde alla de nouveau mettre du bois dans le feu. [i]

Je sortis furtivement de l'arrière de la taverne où reposait les reste d'un feu. Je transportait une petite fiole encore légèrement humide sur les cotés et un filament d'un liquide verdâtre coulais. Je le rangea en entrant dans l'auberge et ajusta mon capuchon lorsque je vis tout le monde qui était présent. Je m'attendais à beaucoup moins de monde. Je marchais vite vers une place libre et isolé en ruminant mes pensées, l'esprit ailleurs sans me soucier des autres ; dans l'auberge de son amie, les bagarres étaient interdite. Malgré ma peau noir et ma haine envers les races de la surface, je savais qu'il ne pouvait que parler et qu'il ne saurai rien sur le récent évènement qui à frapper l'Ombre-terre. Se serait trop humiliant que tout le monde sache cela. Je m'adressa vite à Molokh d'une voix rapide :

-Rien pour l'instant, je te laisse avec eux d'abords.

Je mis de l'emphase sur le «eux» en désignant les autres personnes humaines de l'auberge.

À la sorti de la taverne, le drow fit face à Owyn. Une seule chose avait changer sur Owyn, un changement subtil qui aurrait échappé aux yeux de plusieurs: la pointe de ses oreilles était noir comme la peau du drow. Le marchand se tenait face à lui, comme s'il guettait son arrivé au village. Malgré le fait qu'il était un elfe noir, il avait remarquer que le roublard trainait souvent au village et c'était tant mieux, car Owyn avait besoin de lui parler.

"Tient tient, voici un roublard que je cherchais! Sniff, ça sent... humm surement du poison!"
"'Mais ce n'est surement pas l'origine de ta venue au village. Bon, tu as un peu de temps de libre devant toi?"