Village (saison 2006 à 2009)

Owyn qui s'était quelque peu chamaillé avec son parent, lissa sa cape laissant paraître ses vêtements qui laissaient voir qu’il n’était pas pauvre. Comme il l’avait dit : "se faire un minimum d’argent pour la traversé." Qui était sûrement plus que le minimum ! Il regarda le marchand dans les yeux, laissant voir un esprit vif, intelligent et rusé; c’est dans un langage soigné, mais légèrement prétentieux, il lui dit :

"Ah bon, peut-être m’avez vous dit votre profession, mais avec toutes ses histoires qui voguent dans mon esprit il m’est dur de me rappeler de tout… Vous parlez de créatures, pouvez-vous spécifier les quelles, pour moins nous embrouiller?"

Il se gratta la tête quelque peu et à la mention des orques, il se redressa l’air enjoué :

"Ah oui, des orques. Il nous a arrivé une fois de faire chemin avec des êtres de cette race. Ils nous étaient, pourtant bien gentil. Nous devrions sûrement aller les voir un de ces jours. Ils sont toujours accueillant lorsqu’on sait s’y prendre!"

Le barde regarda le feu pendant que le marchand lui parlait et il se frottant le menton. Il pensait aux dires de Madre. Puis il sortit de sa rêvasserie et lui répondit sur ses gardes :

"Pourquoi s’intéresser aux gestes de simples bardes qui voyagent pour voir la cité de Salleum? Nous venons visiter la grande ville. Si de simples voyageant n’ont pas le droit de passer dans un village miteux alors ou est le libre arbitre dans ce monde!"

Le barde, qui au fil du discours, s’était levé et s’exprimait avec une fouge, que le marchand pouvait se ressentir petit à l’instant présent. Owyn était presque complètement dessus le marchand et était rouge de fureur et ses yeux étaient injectés de sang.

Il se recula, prit de grande respiration et essaya de retrouver son calme. En vain…

Madrad se mit à rire au nez de Owyn. Il pouffa d'un rire à la limite du délire. Décidément, il aimait bien cet homme. Il venait de trouver en lui une qualité qu'il affectait particulièrement. Il comprit aussi que la réponse était non.

-Alors, lorsque vous aurez du temps ou une simple envie de bavarder, vous êtes le bien venu chez moi.

Madrad ferma les yeux avec un sourire amusé.

Tymoran, ValDeBise et leur ami grand paladin de Mystra pénétrairent dans le village de part la foret. Il parlait entre eux et comme à l'habitude Val faisait un discourt sur la surpuissante déese de la magie qui est Mystra la trèes douce au main de fer...

Encore en rage, Owyn avança vers Madrad et lorsqu’il avait les yeux fermés, il lui balança un coup de poing au visage. Sous le choque le marchand fut renversé sur le dos. Le barde avança vers la bûche déserte et se pencha vers le marchand. Il lui dit :

"Maintenant que nous sommes égales et que tu sais que je ne dis pas n’importe quoi et qu’il ne faut pas rire des sujets graves… nous pouvons sûrement bien nous entende!"

Il tendit la main vers Madrad qui était allongé sur le sol avec un sourire moqueur.

Perdu dans ses penser, le grand guerrier n'Avais pas vraiment préter attention a la discution environnante mais le cout de poin du bard sur le marchand et le cris de surprise de celui-ci le fit revenir a lui.

Désoler mes cher amis j'étais parti dans mes pensés. Vous disiez etre a la recherche de créature qui pourrai vous fassinez? Et bien je peu peut-être vous aider a en découvrir quelque une. Étant un guerrier expérimenter j'Ai déja eu a fair contre quelque un de ces bestioles. Dit-il en se tournant vers le marchand a terre.

Mon nom est Darrick Lang fils de Rodgard, premier diciple de la compagni des ombres de Tharik. Dit Darrick en portant sa main droite a son coeur. Pour ma par cela fait quelque temps que je suis arriver en ces lieus mais je n'ai poin eu le temps de m'Arrêter en ville depuis que ce fichu loup garou cour en liberté dans la foret.

Avant même que les nouveaux arrivés aient pu répondre, Sovran se retourna vers Darrick, à la mention du mot loup-garou.

- Un loup-garou ? demanda-t-il d'un ton intéressé. Vous voulez dire l'une de ces bestioles qui devient un loup la nuit ? Et dont il est très dur de se débarasser ? Intéressant...

Il revint près du feu, se rassit sur sa buche, en remit deux dans le feu et se tourna vers Darrick, prêt à écouter ce que celui-ci avait à dire.

Madrad, qui était coucher par terre, porta sa main à sa bouche pour y essuyer une petite goutte de sang. À la vue de ce liquide rouge foncé, il retrouva son sérieux. Il posa un regard sur Owyn. Puis regarda dans la forêt. Il y repéra vite un lièvre sauvage. D'une voix profonde et lourde, il dit:

-Usstan olplinir dosta dro

L'animal, dans un petit cris d'agonie, cessa tout mouvements furtifs et tomba, raide mort. De ce fait, la blessure du marchand se cicatrisa à une vitesse halucinante.

-La prochaine fois, se sera toi, dit Madrad avec son sourire diabolique habituel à l'endroit d'Owyn.

Il se retourna vers le guerrier, sans prendre la peine de se relever, et reprit la discution.

-Enchanté. Alors, si ce que vous dites est juste, vous vous y connaissez vous aussi bien en se qui conserne les créatures. Sauriez-vous, par hassard, où l'on peut trouver cette boule de poils. Jours comme de nuit.

Darrick le regarda une expression étrange sur la figure...

-La nuit cela est plutot facile de le retrouver, il suffi de rester tranquillement en ville et attendre ou si vous êtes un peu suicidaire promenez vous seul dans la forest et il est presque sur que vous le trouverez... si ce n'Est lui qui vous trouve.

Regardant dans la direction ou le lièvre étais mort vider de ses forces vital il reprit.

-Et pour ce qui est de le trouver le jour... je n'en suis pas sur mais selon les pistes que j'ai suivi en le traquant il aurrai sans doute sa tanière dans le marrai, protègé par les elfes sans doute. Ils m'ont interdi l'accès a leur terre comme si je n'étais qu'un simple d'esprie a qui on écarte un couteau de cuisine pour éviter qu'il ne ce fasse mal.

Revenant a Madrad il lui dit en le fixant dans les yeux.

-A nous deux on pourrai surment le capturé même au dela des frotières elfiques, et qui sais peut-être même trouver un moyen pour l'utiliser contre certaine personne. Qu'en penser vous mon cher.

Darrick savait que c'étais une tentation tres forte pour quelqu'un qui recherchai du pouvoir, comme ce Madrad, et comme lui même. Ce loup-garou étais une véritable mine d'or pour les personne qui pourrai l'utiliser a leur avantage, et Il le savait.

Madrad regarda le guerrier avec un regard complice. Il trouvait en celui-ci un certain potentiel. Il prit un air connaisseur et dit:

-Il y aurait plusieurs moyens pour y arriver, mais n'en parlons pas ici, le vent a des oreilles.

Le marchand se tourna ensuite vers les nouveaux arrivants, essayant de retrouver une place dans ses souvenirs où il les aurait vus.

Le barde haussa les épaules à la réplique du marchand. Il pensa bien, de ne pas répliquer. Owyn ne paru pas trop surpris par le geste du marchand; Souvent les gens pensaient que seule la force pouvait convaincre le peuple. Il lui dit simplement, en marchant tranquillement vers l’autre barde :

"Si c’est comme ça que vous le prenez… C’est à vous de voir comment peut se porter nos relations futures?!"

Rendu au côté de son parent, il lui dit :

"Hey bien! Je ne savais point que les loups-garous t’intéressaient. Ces grosses bestioles poilus! Moi je n’aime pas trop ça, mais si j’ai l’occasion d’en voir un, je lui ferai la conversation. Je me suis toujours demandé, comment un être bien ordinaire peut avoir aussi faim lorsque le soleil est couché?!"

Le troubadour se retourna vers les nouveaux arrivants et leur envoya la main avec un sourire chaleureux.

"Bonjours, cher vous!"

Et sur les dernières paroles de Madrad, il prit un air pensif et interrogateur.

"Le vent à des oreilles? Et moi qui pensais que c’était les hommes et les murs qui en avaient! Les femmes n’ont que des bouches pour parler trop souvent!"

Val DeBise, Tymoran et leur bon compagnons le Paladin de Mystra, se mire au coté de Owyn pour lui parler.

Val Dit- Et bien, un autre homme au douce parole…

Tymoran finit la frase de Val-…Mais à la poigne de fer.

Paladin de Mystra- J’ai toujours été contre la violence pur est simple…Mais, ceux qui ne surveille pas leur propos. Sont souvent remis à leur place.(Il dit cela en regardent Madrad, il pouvait lire en sont âme)

Val-(Val se raprocha de Owyn pour maître sont bras autour de sont coup, comme le ferait un bonne ami.)Alors, l’ami nous pourrions toi et nous discutée et cela à l’écart des s’autres?

Du haut de sa belle cape rouge, Tymoran regardais chaque personnes qui se trouvais dans le village. Comme à l'habitude, si j'aimais quelqun voulais tanter quelle que chose contre lui ou bien ses ami il le remarquerais.

Puis il saprachat de de l'oreil du Paladin et lui posat une question

(Le paladin fais détection du mal! seut qui son mauvais, écriver moi un MP)

SVP

Madrad finit par se rappeler où il les aviat vu, avec exaspération. Il se dit: Que veulent-ils encore.

-Il me semblait que cette foutue affaire avait été réglée il y a longtemps, ce n'était qu'un malentendu, s'exclama le marchand à l'endroit des nouveaux venus.

Darrick porta son attention vers les nouveaux venu. L'un étais sans aucun doute un prêtre de mystra... car Darrick reconnu l'éfigie de la déesse alors que l'autre étais vraisemblablement un paladin de Mystra équalement tandis qu'un autre étais probablement un fière guerrier comme lui. Il leur étais faguement famillier, probablement un rencontre sur le bord du chemin. Il fini par ce lever et ce dirriger vers le lapin mort quelque minute plutot.

Le vent a surment des oreilles et les femmes de grande bouche mais moi j'ai encore une longue route a faire avant la tomber de la nuit. ALors je suis désoler de vous fausser compagnie mais.... ( il ce retourna la lapin sous la bras et parti sur la route ) mais je doit encore trouver une certaine personne, un certain prêtre qui aurrai une chose que je désire alors au revoir.

Du coin de l'oeuil, Darrick appersu un mouvement furtif, comme une ombre, ce déplacer a la vitesse du fauve sans aucun brui. Il sut qu'il ne serrai plus seul pour quelque temps.

Madrad détacha aussitôt son attention des mystreux. Le marchand se tourna vers le guerrier, suivant son regard vers les bois, il vit aussi une ombre furtive. Il se tourna ensuite de nouveau vers le Darrik.

Bonne route, nous nous reverrons sûrement. Mais peux-tu bien me dire quelle est le nom de ce prêtre. Il ajouta avec un sourire.Et ce qu'il a.

Après un silence de quelques secondes, Madrad se résigna.

-Bon, ce n'est pas de mes affaires. Et bon appétit, dit-il en regardant le lapin, il est sensé être tendre...avec une bonne cuisson sur braise bien sûr.

Le barde senti une onde passer à travers de lui, mais cela ne paru pas l’affecter. Il sourit encore aux nouveaux venus et il prit un air joyeux avec ceux-ci.

"Mais bien le bonjours et merci pour vos compliments. J’aime mieux, un homme aux paroles enchanteresses et au poing qui fait mal!" , Il sera et desserra sa main et rajouta," Je ne suis pas pour la violence gratuite, mais lorsqu’elle est nécessaire, eh bien on a pas le choix! Je suis de nature impulsive, c’est souvent après mes gestes que je me rends compte de ce que je fais…"

Il dit cela en regardant droit devant lui. Après la proposition de Val, il retourna la tête vers la sienne et lui répondit :

"Pourquoi pas, mais je ne sais pas de quoi discuter? On peut aussi utiliser la boutique du marchand du village pour discuter ensemble. Mais mon cher cousin fera parti de cette discussion, il désigna de la main Sovran, voici Sovran un parent à moi."

Tymoran regarda Val dans les yeux, puis ensuite le Paladin. Il leur fit un signe de tête. Puis partie dans la forêt.

Il prenait maintenant Darrick en chasse.

Val dit avent de partire-Mon cher messieur, ma grande déesse ma donner une autre mission pour l'heure. Je vous dit aurevoir et a la prochaine. Que les filaments de la magique te guide vers le droit chemint aventurier...

(Val, TYM et le Pal suiver l'homme au coté sombre pour lui réglée sont conte)
Il dire les 3 en coeurs- Que par le fer, la magie et la chance... Nous puissions, vaincre s'est ennemie.
(aux même moment, on pouvais voire un autre compagnons les rejoindres, on voleur... au premier regarde)

Madrad les regarda comme s'il était le spectateur d'un spectacle. Il les regarda s'en aller, suivant Darrick. Il se dit que Darick saurait se débrouiller avec eux.

-Bon bon bon bon bon. Dit tout simplement Madrad en détournant son attention vers les autres environs. C'est plutôt calme ce soir. Normalement, il y a des paladins zélés qui se jettent sur tous les passant pour s'asurer qu'il ne son pas un méchant. Qu'est-ce qu'à le monde à vouloir se débrasser du mauvais. Ils oublient l'équilibre fondamental.

Le barde regarda les trois personnes avec un regard suspicieux et lorsqu’ils s’en allaient, il leur lança de loin.

"Je ne comprends pas trop de quoi vous voulez parler, mais je respecte votre liberté d’expression. Mais je suis déjà sur le droit chemin. Bon voyage à vous!"

Il lança la main aux anciens trois personnages, signe d’au revoir.

Lorsque les chasseurs furent assez loin pour ne plus entendre la conversation il répondit gaiement à Madrad :

"Des paladins zélés… on ne vient pas d’en croiser un! Je crois comme vous sur l’équilibre du bien et du mal qui se côtoient et l’égalise dans un sens. Mais le rôle des personnes neutres est tout aussi important. Ces sur eux que repose le vrai équilibre de la société."

Le marchand, ayant totalement oublié la querelle de tantôt, sourit à la réponse d'owyn. Il pesa ses arguments puis répondit.

-Totalement d'accord. Pour ce qui est des paladins aussi, quelques-uns sont normaux. On dira bien ce que l'on veut, je ne dépose pas une grande admiration pour les extrémistes.

(je ne sais plus où nous situer dans le temps, nuit ou jours, début ou avancé.)