Village (saison 2006 à 2009)

-Hmph.

Des bruits de pas rapides s'élevèrent de la végétation formant la forêt derrière l'auberge. La silhouette d'un homme se discerna rapidement d'entre les arbres. Il se rapprochait au pas de course, sa longue lame dégainée se reflètant sous les rayons de la lune, conférant à son porteur une brillance spectrale. Il émergea sur la place du village en trombe et se lança prestement vers le lanceur de sorts duquel émanait l'énergie magique flamboyante. Dans sa lançée, il laissa sortir quelques mots de sa bouche d'un ton étonnement cynique, vu les circonstances.

-Ton feu de joie est réussi mais...

Arrivé à proximité, derrière le gnome mécanique, vers la gauche, l'homme plia les genous, toujours dans son élan.

-À l'avenir...

Il bondit, sa lame se démarquant de l'obscurité ambiante par sa lueur éthérée entamant un long arc de cercle horizontal, de la droite vers la gauche.

-Choisi mieux tes cibles.

D'un trait, l'épée du guerrier fendit l'air et alla se ficher brusquement dans les côtes du gnome, dissipant du même coup la futile image à la droite du mage. [2 dégâts au torse]

Einlish eu juste le temps de voir l’homme arriver et ce tourna d’un pas ce qui eu pour effet de lui sauver la vie. voyant un de ces clone disparaître trancher comme une poussière d’un bras à l’autre. il n’en croyait pas ses yeux, il venais de ce voir lui même mourir, tout un choc pour n’importe qui dans ce monde. Ce simple fait eu pour effet de le rendre encore plus furieux qu’au pare avant. En l’espace de quelque seconde, d’autre flamme, mais cette fois en moins grande quantité jaillissait de ses main plaine de suie noir brune du au grand feu qu’il venais de faire. Les flamme ce dirigeait sur l’inconnu qui était venue le stopper dans son œuvre de destruction. Pendent que les flamme sortait de ses paume chaude, il ne criait qu’un seul nom à s’époumoner(aprés les incantation)

-talos!!!!!!!!

Il en perdit même la voix et la raison au point de sortire son épée et de charger l’inconnue épée lever sans savoir si il avait toucher le stupide être qui venais de s’attaquer à lui.

le gnome dans sa folie, ne vit point le lame qui lui transperça le cœur dans un bruit sanglant et une longue coulé de sang lui coulant sur le bord de la lèvre. Il tint fermement la lame dans ses deux mains, émettant un grognement de douleur, ses mains était pleine de sang, son sang, il lui coulait de l’abdomen, mais aussi des main vue le fait qu’il serait les tranchant de la lame entre ses mains. La douleur était insoutenable, il sentait sa fin proche, il rejoindrait enfin sa divinité. Il aurait au moins accomplie quelque chose pour sa divinité, le grand et puissant destructeur, le grand Talos, le seigneur des tempête. Il avait causer la destruction dans ce petit village, car pendent le feu de l’action, les flamme qui c’était disperser avait réussi à mettre le feu à quelque bâtiment du village. Les flamme n’était pas d’une grande ampleur, mais elle avait déjà causé un presque mort et un grand blesser en plus de quelque poutre en feu qui était en train d’être éteint par quelque paysan. Il mourut donc de cette manière empaler par la lame d’un inconnue venue défendre l’insultant humain.


(-:- mort de einlish von herbert, évocateur qui carbonisa le grand valin mardoc de par sa furie -:-(par écrit bien sure)

Rassius, immobile, avait attendu de voir le corps du gnome retomber mollement sur sa lame avant de faire quelque mouvement que ce soit. Maintenant convaincu que l'être avait sombré dans le repos éternel, il se rapprocha de son corps et lui assena un coup de sa botte, le dégageant de la morsure de son épée. Dans un bruit sourd, le corps de Einlish s'effondra sur le sol. Ne faisant pas plus de cérémonie, Rassius enjamba le corps de lanceur de sorts miniature et s'approcha de Valin, qui gisait par terre, vraisemblablement inconscient.

-Hé, Valin.

L'homme rengaina son arme, puis s'accroupit près du mage et le gifla violemment à quelques reprises.

-Réveille-toi, mage.

Lilith avait tout vu depuis le début. Quelle puissance! Ces deux personnages avaient été fort coriaces. Elle avait du se cramponner maintes fois durant leur combat. Lorsque tout fut fini, elle se leva et rangea son livre. Il y avait un mage blessé un peu plus loin ainsi que le vainqueur du combat. Elle s'en approcha et demanda timidement aux deux hommes:

-Est ce que vous allez bien?

Elle attendit la réponse des deux autres.

Rassius se redressa brusquement et ficha son regard dans celui de la femme qui l'avait abordé. Voyant qu'elle ne présentait pas un air hostile, sa main, qui s'était instinctivement agrippée au manche de son arme, se dégagea.

Bien que d'un tempérament erratique et violent, Rassius n'était pas le genre d'homme à tuer sans raison, et avait même, en certaines occasions, la prestance d'un gentilhomme. Surprenement érudit pour un être préconisant le bruit de lames de fer s'entrechoquant sur le champ de bataille aux légers craquements des pages d'un grimoire poussiéreux qu'on tourne dans une bibliothèque, il s'avérait être un brillant stratège, ainsi qu'une source d'informations en tout genre intarissable. Cependant, des rares être à qui il permit de l'accompagner, aucun ne savait exactement d'où il tenait ses connaissances, ainsi que de ses activités avant son arrivée à Mythall, via un portail dans le désert.

La question de la femme rappella Rassius à ses sens. Une vive douleur lui traversait la poitrine. Baissant les yeux sur son torse, il constata que le sort avait transperçé les défenses que lui conférait son armure pour aller directement lui mordre la chair. Toutefois, il n'était que superficiellement atteint, et sa vie n'était pas en danger, bien qu'il ressentait une souffrance grandement considérable. Il mit la main sur sa blessure et se concentra, faisant taire temporairement la douleur. De son unique oeil vert visible sous ses cheveux d'une couleur dorée sombre, il jaugea la femme un certain moment avant de lui répondre.

-Je vais m'en sortir. Mais si tu connaissais un quelquonque moyen de ramener ce mage...

Il pointa Valin du menton.

-À ses sens, tu m'en verrais grandement satisfait.

Lilith vit que l'homme souffrait. Elle avait été surprise par la rapidité dont il avait dégainée son arme en voyant la jeune mage arriver. Elle s'approcha ensuite de l'autre mage, completement par terre.

-Bon dieu! Il est aussi rôti qu'un poulet sur une broche!!!

Elle fouilla dans son sac et sortit une gourde. Elle en versa un peu sur les plaies et dans la bouche du mage.

(je dois y aller alors je continue plus tard)

Soudainement, un homme apparu à travers les flammes et dit : «Merci bien, mais maintenant, je vais m'occuper de cette homme.» Mais la voix de l'homme était plutôt douteuse et assez inquiétant.

Ensuite, cette homme prit Valin et le mit sur ses épaules.

Il se retourna et dit : Sur ce, au revoir. Et petit conseil Rassius, faite gaffe, on ne sais jamais se dont un gnome est capable. D'ailleur, si vous regarder derrière vous, vous verrez que le corps du gnome, n'est plus là.


Puis il parti en direction de l'église

Lilith se retourna vers l'homme qui avait emmené le mage. Qui était-ce? Le mage allaitil vraiment être en sécurité avec lui? Lilith ne voulait pas s'y frotter, il avait l,air coriace et...morbide. Elle se retourna vers l'autre homme. Le corps du gnome avait disparu. Elle s'approcha de l'étranger et dit:

-Ne bougez pas trop. Vos plaies risqueraient de s'ouvrir de plus belle.

Elle lui tendit sa gourde en gardant une certaine distance. Elle ne conaissait pas encore ses intentions.

Lilith entendit son gémissement et s'agenouilla pres de l'étranger, visiblement en colèere:

-Pauvre fou! Vous voulez mourir ou quoi?

Elle ajouta, l'air plus calme:

-laissez moi voir si je peux faire quelque chose avec votre blessure.

L'homme, à genou, ne quitta pas Morbis des yeux avant qu'il ne soit à une certaine distance, dissimulé par l'obscurité. Il tourna lentement la tête vers la femme, puis considéra son offre quelques instants. Finalement, il empoigna doucement la gourde qu'elle lui tendait et en but un peu, laissant ouïre un bref "Merci". L'eau coula le long de sa gorge et le revigora grandement, l'homme n'ayant pas bu depuis presque deux jours. Puis, il tendit la gourde à sa propriétaire, affichant l'ombre d'un sourire.

-Je vous remercie.

Son ton avait changé radicalement en l'espace de quelques secondes. Sa voix était maintenant plus suave, mais une pointe d'arrogance perçait tout de même entre ses mots. Même son regard, ou du moins l'unique oeil qu'il laissait saillir entre les cheveux de sa longue crinière, semblait plus chaleureux.

Lilith reprit sa gourde.

-Ce n'est rien voyons.

Elle émit un léger sourire. Elle n'avait pas encore tout èa fait confiance en l'étranger mais le ton de sa voix la rassura. Elle rangea sa gourde et ajouta:

-C'ets une vilaine plaie que vous avez. Allez vous etre en mesure de vous relever?

Rassius baissa les yeux sur son épée, tombée à ses pieds. Péniblement, il se pencha et l'empoigna, puis la planta d'un mouvement sec dans le sol. L'effort lui arracha une plainte sourde. Lentement, il se servit du manche de sa lame comme appui et reprit pied, faisant maintenant face de toute sa hauteur à la femme. Il gardait néanmoins une main plaquée fermement sur sa poitrine, celle-ci l'handicapant grandement. Dans un sourire mal à l'aise, son regard pointé vers le sol, il dit, autant pour la femme que pour lui-même:

-Même le plus brillant des épéistes n'est rien face à un lanceur de sorts expérimenté...

Puis, fixant de nouveau ses yeux dans celui de la femme, il continua, une étincelle d'orgueil brillant dans son regard.

-Cependant, en général, les guerriers se relèvent plus souvent d'une attaque de mage que l'inverse.

Son visage s'anima alors d'un rictus légèrement sadique, sans toutefois donner l'impression d'un sous-entendu quelquonque. Soudainement, s'inclinant d'une façon princière, Rassius se fit entendre à nouveau, d'un ton des plus courtois.

-Je me nomme Rassius... Rassius Luine. Je suis...

L'homme marqua une pause.

-Fine Lame.

Lilith était impressionnée de l'effort dont Rassisus usait pour être courtois malgré sa blessure qui le faisait énormément souffrir. Après qu'il se fut présenté, Lilith fit de même avec une voix plus douce:

- Enchantée Rassius. Dans mon cas, mon nom est Lilith. J'était une mage nomade jusqu'à ce que j'arrive ici je ne sais trop comment.

Elle émit un petit rire. Elle-même ne savait pas comment elle était arrivée ici. La seule chose qu'elle savait, c'est qu'elle ne pouvait pas en sortir...Elle fit une pause et dit:

- Dans votre état, vous feriez peut-etre mieux de vous asseoir. Je n'ai malheureusement pas de sorts de guérison mais j'en ai un qui pourra vous protéger durant une heure, ce qui devrais vous laisser du temps pour guérir un peu votre blessure.

L'homme acquiesca d'un bref hochement de tête positif.

-Vous me rendriez un fier service.

Sur ce, il dégagea sa lame du sol et la rengaina à son fourreau, serrant les dents pour ne pas laisser transparaître plus longtemps sa faiblesse.

Lilith se posta devant rassius et déposa son bâton de mage. Elle commenca à tracer deux fleches transversale et un cercle en direction de Rassius tout en incantant:

Belbau dossa uss ky'ostal del faern ( armure de mage, +2 aux épaules et torse)

Elle mit sa main en plein milieu du symbole et Rassius recut l'incantation.

-Et voila! Comme ca, vous aurez au moins une petite protection.

Elle repensa soudain à l'homme mystéieux de tout à l'heure tout en ramassant son baton. Elle osa demander:

-Ce ne sont peut etre pas de mes affaires mais connaissez vous l'homme qui a enlevé le mage qui était étendu pr terre un peu plus tot?

Elle espérait que cette question ne provoquerait pas la colère du guerrier.

Le guerrier parut grandement complut par l'apparition d'une protection magique autour de son être. Il tapota doucement son torse, surpris de la couche de protection magique qu'il ressentait, quoi que sans aucune distinction thermique ou physique avec l'environnement ambiant. Il chuchota, assez fort pour que la mage l'entende:

-Fascinant...

Puis, lorsque la femme le questionna, il garda le silence pendant un moment. Sa tête penchée sur la droite, son unique oeil visible vers le ciel, il fouillait ses souvenirs. Finalement, il regagna la femme du regard, redressant son crâne.

-Non. Je ne l'ai jamais rencontré... Mais le mage qu'il a emporté, par contre...

Un éclair de frustration traversa furtivement son regard, qu'il porta vers sa poitrine qui semblait s'embraser à nouveau. Il y plaqua sa main, une fois de plus.

-Je dois le retrouver... Il me doit quelque chose, et il me tarde d'avoir son bien dû en ma possession.

Sur ce, il fit mine de partir à la suite de l'homme lui ayant dérobé Valin, se dirigeant lentement vers la sortie du village.

Lilith le rejoignit et s'arreta.

- Avec votre état, même si je ous ai mis une protection, il serait peut etre préférable que je vienne avec vous. De toute manière, ce village est morne et j'aimerais bien essayer mes nouveaux sorts...

Elle fit une pause.

-Si vous n'y voyez aucun inconvénient évidemment.

Lilith attendit sa réponse.

Rassius s'immobilisa, son regard se fichant sur Lilith. Il resta pensif un moment, puis acquiesca, gratifiant la femme d'un sourire. Il inclina la tête respectueusement.

-Vous me faites un honneur, dame Lilith.

Puis, d'un mouvement théatral bien que restreint par sa blessure, il invita la femme à procéder sur le sentier qu'avait emprunté l'inconnu de plus tôt, attendant qu'elle procède avant de s'y engager à ses côtés.

Lilith esquissa un large sourire et dit tout simplement:

-Hé bien allons-y.

Elle suivit Rassius dans le chemin sombre qui allait les mener vers le mage qui venait d'être kidnappé par un homme douteux.

Dans les ténèbres de la forêt proche du village, un homme observait la scène, il était la depuis l’attaque du gnome et observait à partire de la noirceur du boisé. Il portait sure lui une toge de mage sombre virant presque au brun avec des bordure mauve, il portait aussi une énorme cape noir lui permettant de rester presque invisible dans l’ombre. De toute évidence, l’homme devait être un mage ou un prêtre vue son accoutrement. Le seul détail trompeur était le glaive qui pendait à sa ceinture, sinon le portrait y était. Mystérieux, en toge, un grimoire de cuir à la main. Il était là à regarder la scène avec une immobilité morbide digne d’un cadavre vieux de plusieurs mois. Les seul chose qui le faisait ressortire de l’ombre était le reflet du brun de sa robe, sa bécasse qu’il portait en bandoulière et bien sure, le reflet métallique de son glaive.

Lilith sentit soudain une présence bizzare. Quelque chose de mauvais dans le décor. Son intuition lui disait qu'il n'était pas loin. Pourtant, elle n'était pas sure. Elle avertit tout de meme Rassius:

-Rassius, je me fais peut etre des idées mais j'ai la forte impression que nous sommes suivis.

L'homme ne répondit pas. Il jeta un bref coup d'oeil autour d'eux. L'espace d'un instant, il cru aperçevoir quelque chose, mais se ravisa. Il n'avait pas le temps d'une enquête plus en profondeur.

-Ce n'est probablement qu'une impression, dame Lilith.

Puis, continuant leur chemin, les deux protagonistes se retrouvèrent à une bonne distance du village. [Changement de topic: Chemin entre le village, l'église et le cimetière]