Village (saison 2006 à 2009)

Après plusieurs minutes d'attention envers la conversation, Sillyra entendit les sons provenir de la forêt. Elle se tourna devans celle-ci où sorti le gobelin suivi de son amis barbare, connu sous peu...

-Tien, bonjour barbare! Ravis de vous revoir!

Elle ricana un peu apres que celui-ci lui ait avoué qu'il avait eu peur qu'elle soit mangé par un simple gobelin...

Remarquant enfin l'épais nuage noir qui flotait autour de la petite assemblé, Dealen fronssa les sourcils et regarda partout...

- Chose bizzar qui flotte dans l'air, pourtant pas d'ange blanc dans le bleu du haut, Moi je dit que fummé qui fai toussé est malédiction et qui faut partir vite avant de passé de l'autre coté et d'aller voir nos ancètres.

Remarquant que tout le monde s.emblai ne poin comprendre se quil disait il reprit sur un ton légèrement plus préssé.

- fummé de nuit que flotte autour de vous et qui fait toussé!Ya pas d'anges blanc dans le bleu du haut ni d'ange noir non plus! Faut pas rester ici, sé une mélédiction. Faut partir avant d'Aller de l'autre coté et de faire le grand jugement par les ancètres.

sur ce il recula un peu plus pour etre sur de ne pas etre touché par la fumer noir.

Entendant la remarque de leur nouvelle connaissance qui venait d'arriver sur les lieux, Merryl lui dit, pour le rassurer:

-Ne vous inquiéter pas mon cher, cette fumée n'est que le résultat de l'imbécilité de ces jeunes hommes. La fumée n'est pas dangereuse... du moins je crois...

Voyant que les autre s'emblai trouver la situation drole, le barbare ce dit que s'étais probablement vrai.

- Hum.... moi je dit que fummé qui pique la gorge est toujours dangereuse sauf si c'est fummé de lumière danssante orange.

Un bruisement de fougères sur la gauche se fit entendre et un gobelin vert sorti en courant subitement.Dealan encocha une flèche et et parti a son tour a la poursuite du gobelin.

- Attend que je te trou la peau verte petite chose! Tu va voir tu courera pu aussi vite, et la on pourra jouer! dit le barbare avec un sourir de joie.

Sillyra regarda le barbare s'éloigner du village:

-Mon dieu, les hommes sont telement stupide!

Elle se retourna ensuite vers son amie Merryl qui elle aussi regardais l'homme s'éloigner en courrant, puis elle se mis à rire.

-Bien, bien...Ha ah...je crois je ve vais retourner au fort, je commence a avoir faim, en plus je crois qu'il nous reste de mon bon ragout de ce matin, vaudrais mieu le finir avant qu'il ne péris...

Sur ce l'elfe se retourna vers les autres, puis leur fit un signe de tête anoncant son départ...

Merryl fût très contente de la remarque de sa compagne. Ça faisait déjà plusieurs minutes que l'envie de sortir le plus rapidement possible d'ici hantait l'esprit de la demie-elfe.

Elle s'empressa donc de rejoindre son amie qui se dirigeait déjà vers l'extérieur du village.

-Il commençait à être temps que nous sortions d'ici. Ah et en passant, je ne sais pas si vous êtes du même avis que moi, mais si nous ne capturons pas d'homme rapidement notre clan n'évoluera pas très vite.

Sur ses mots, les deux dames venaient tout juste d'arriver à l'entrer de leur campement.

Une légère brise souffle sur le village MythallL'heure est avancée, le soleil n'offrant qu'une clarté diminuante. L'air se refroidit légèrement, faisant tranquillement place au début de la soirée. Les ombres, tapis depuis le levé du soleil commence enfin à prendre le contrôle des environs, atteignant presque leur point culminant.

Dans un éclat d'acier miroitant le soleil rougeâtre, un glissement de plaque de métal sur une autre plaque de métal et un tintillement de mailles d'acier, une étrange créature recouverte d'une lourde armure sortie de l'ombre d'un arbre, assénant un violant coup de sabre devant lui, qui ne reçu pour cible qu'un vieil arbre bien solide. Visiblement pas destiné à frapper l'arbre, le sabre resta coincé dans l'épaisse écorce de l'arbre et le guerrier perdit l'arme de ses mains, sous la surprise de son arme collée au tronc. En une fraction de seconde, la créature effectua un roulé-boulé rapide, puis fouetta l'air de sa longue queue reptilienne, prêt à bondir à la gorge d'un adversaire qui n'était présent, il resta un moment accroupi, face au village.

Le guerrier était vacillant, le corps couvert de nombreuses blessures occasionnées par une autre lame. Il ne pu donc garder sa pose qu'un court instant avant de s'effondrer au sol. Ses long cheveux gris-argent en batailles lui tombait au visage, les mèches du côté de son œil droit, noirci de sang frais. À ses mains et ses pieds de longues griffes pâles et recourbés s'enfonçait, pour certaines, dans le sol encore chaud. De chaque côté de sa tête, deux longues cornes pâles, pointues et lisse piquaient vers l'arrière. Sa peau, du moins celle laisser visible malgré l'armure de plaques et de mailles démontrait de courtes écailles argentés et bleues.

Beaucoup de sang coulait de nombreuses plaies sans avoir l'air de trop affecter le guerrier, il semblait toutefois exténué. Les plaies n'étaient pas très profonde et il n'était pas en danger de mort pour le moment.

(H-J : Pour toute personne désirant poster, considérez que Dandelune se trouve sur le chemin menant vers la toilette proche du village, à l'endroit où le chemin se sépare en deux (à gauche vers la toilette, à droite vers le portail du village.) Si c'est pas clair, dites-le moi et je vais essayer d'être plus clair. Ça veut dire à environ 20 mètres de la boutique.)

Le tintement de métal fit son chemin jusqu'aux oreilles de Sovran, occupé à préparer une potion. C'était une nouvelle recette, et la fabrication pouvait à tout moment exploser, changer de couleur, ou autre. Aussi Sovran fût-il un peu énervé lorsque le bruit le dérangea. Il déposa la petite fiole qu'il avait dans sa main sur la table, prit son chapeau et sortit de la boutique, bien décidé à découvrir ce qui avait pu le déranger.

Il fut surpris de découvrir une nouvelle créature, couchée par terre, plus loin sur le chemin. Elle semblait blessée et fatiguée, aussi Sovran se tourna-t-il vers sa table, s'adressant à son cousin qui se trouvait à l'intérieur.

- Il nous reste des potions de soins, cousin ? demanda-t-il, avant de se rappeler qu'il en avait préparé une le matin même. Il étira le bras et attrapa la bouteille, fit un pas vers l'inconnu, et s'arrêta de nouveau. Comment celui-ci allait-il réagir ? Mieux valait ne pas prendre de risque.

- Usstan inbal uss ky'ov'aer qua'laen jal , prononça-t-il à voix haute, avant de se diriger d'un pas rapide vers l'individu à terre.

Instantanément, à l'approche de l'inconnu, Dandelune attrapa le manche de son sabre qu'il arracha de l'arbre et se redressa, ignorant la douleur de ses membres. L'Humain avançait trop rapidement vers lui et venait de prononcer des paroles qui était complètement incompréhensibles aux oreilles du Semi-Dragon.

Ainsi donc, il se redressa, se mis bien droit le sabre tenu à deux mains, pointé vers la gorge de l'assaillant, prêt à agir au premier signe avant coureur d'une hostilité. S'il observait bien, il pourrait constater que sa jambe droite ne faisait qu'effleurer le sol. Inévitablement, son efficacité à porter son prochain coup était drastiquement réduite. Son pied gauche devait donc soutenir le poids de son corps, ce qui contraignait sa mobilité. Sa queue faisait office de contre-poids, mais une vilaine coupure à celle-ci lui faisait regretter chaque instant que la queue passait soulever du sol...

Dandelune pourrait difficilement porter plus d'un coup... alors ce coup devra atteindre une zone vitale. Si son corps lui faisait souffrir le martyr, Dandelune n'en démontrait rien. Il émit donc un grognement qui se voulait intimidant.

Sans plus attendre, le cousin de Sovran se leva du banc. Il enfila sa gourde et son sac en bandouillière et ramassa la fiole encore instable, et parti rejoindre son cousin. Quand il fût à sa hauteur, il remarqua l'étrange personnage qui lui faisait face. La sabre haut, cela n'empècha pas Owyn de se mettre le torse contre la pointe de l'épée. Sûr de lui, il mit deux doigts sur la lame et la baissa.

"Tu te bas contre personne ici. Range cette arme et repose toi. Je ne suis pas un ennemi, mais pas un ami, alors si tu ne veux pas pourrir ici lâche ton arme."

(Hors jeu: je crois que quelques précisions sur la scène s'imposent. D'abord mon personnage est disons téléporté au village. Par conséquent, il est confus. Il l'est davantage puisque l'instant d'avant, il se battait, dans une lutte serrée au sabre. Quelqu'un vient rapidement, donc donnant une bonne assurance de lui-même, ayant précédemment dit des paroles incompréhensibles. Sans don pour la magie, il est logique que mon personnage ne reconnaisse pas là un sort et ça peu vouloir dire n'importe quoi. L'état du personnage est près de l'animal blessé et affolé, qui n'attend que la première occasion pour mordre. C'est à ce moment qu'un gars se pointe sans arme...

En temps normal, mon champ d'action avec mon sabre est supérieur au double de taille de la lame. Mon sabre mesure environ 1 mètre, donc, à deux mètres de moi, je suis capable de frapper avec une bonne précision (parce que j'avance quand je frappe). Par conséquent, bien avant qu'il soit possible de toucher la lame, j'aurais le temps de frapper. À ce moment, je peux très bien reconnaître que mon personnage est juste niveau un et être complètement dominé. Sauf que là, c'est un peu trop exagéré. Pour obtenir l'effet désiré, il faudrait que celui qui tiens l'arme soit un novice à l'épée, ou bien qu'il soit terrifier ou impressionner par son adversaire. Dans ce cas-ci, c'est ni l'un ni l'autre.

Également, ce n'est pas un combat. La suite des évènements peut découler en combat, mais en soit, ce qui se passe, c'est qu'un combattant défend une parcelle de terre, menaçant personne et tout le monde. Pourquoi est-ce que vous ne faîtes pas juste essayer de parlementer? Présentement, ça ressemble à une tentative de soumission. Pour ma part, mon personnage ne se laissera pas soumettre sans un combat. Est-ce la manière que vous voulez que le poste se poursuive? Si c'est le cas, alors mon personnage frappera dès qu'Owyn sera à sa porté. Si ce n'est pas le cas, juste à faire un retour dans le temps et j'agirai en conséquence.)

**H-J: Ça mon perso le sait pas in-game. Donc je continu mon action, mais considère que j'avance en parlant et que je m'arrête dans ton champs d'action. Cependant, si tu compte attaquer, arrête ton post après ton attaque.**

Ils étaient maintenant deux contres lui. L'un, le premier, c'était exprimé dans un dialecte qui était inconnu au Semi-Dragon. L'autre, bien qu'il utilisa un dialecte compréhensible, ses paroles étaient dénuées de sens. Sans ses mots, aussi incohérents soient-ils, Dandelune l'aurait frapper des forces qui lui restaient, mais il parla et une vie fut sauvée. Laquelle? Un combat répondrait à la question, mais ce combat ne serait pas très équitable pour le moment et peut-être ne le serait-il jamais.

Étant visiblement «ailleurs,» il était risqué de traîner ainsi blessé. Il était également risqué de frapper sans raison. Sans raison... pour ça, il fallait d'abord à Dandelune penser au sens de ce que venait de dire l'Humain. «Lâche ton arme.» Ça, Dandelune le compris et, il l'espérait, résumait les précédentes paroles.

Que faire? Lâcher son arme? Sûrement pas! Dandelune ne lâchait jamais son arme. Toujours la pointe de son sabre pointé en direction de la gorge de son adversaire le plus près, Dandelune dit:
« Bien étrange est la personne qui se contredit elle-même, utilisant à l'excès la négation. Qui donc êtes-vous, pour ainsi donner des ordres à autrui sans même prendre la peine de vous présenter. Mina, qui se tient entre vous et moi est une lame jalouse qui n'accepte d'être séparer de ma personne, tout comme elle est orgueilleuse et ne se laissera point dominer sans d'abord avoir été vaincue et brisée! »

En parlant, Dandelune découvrit ses dents pointues et un filet de sang s'écoula d'entre les dents. Le Semi-Dragon était toujours aussi instable et meurtri, mais tant qu'il serait conscient, il ne montrerait aucun signe de faiblesse à ses adversaires.

P.S. si on essai d'attraper le sabre, alors je frapperai visant la tête. Étant sévèrement blessé, le coup sera aisément esquivable et je perdrai mon équilibre pour m'effondrer au sol. La lame, elle-même est émoussée du précédent combat par endroits et abimée en d'autres.

Le barde ne bougea pas. Voyant que son cousin ne voulait pas intervenir, il tenta de raisonner l'inconnu. Il prit un ton de voix amical et chaleureux.

"Mon cher, je crois bien que vous êtes nouveau ici. Votre combat est terminé. Ranger votre épée et venir vous reposer autour du feu."

Le changement de tempérament du marchand avait pu en surprendre plus d'un. Mais pour le moment, il semblait simplement plus amical.

« Le combat n'est jamais terminer! Il débute lorsque nous venons au monde et se conclu au moment de notre mort... »

À bout de force, le Semi-Dragon se laissa s'effondrer au sol.
« Peu expérimenté dans la science des armes est celui qui confond épée et sabre... »

Dandelune, à ce moment, devint plutôt confus. La tête lui tournait. Du repos lui serait certes nécessaire, mais pas assez pour l'avouer, bien qu'il était plutôt évident, même pour un novice en la matière, que Dandelune n'allait pas bien.

Son cousin ne réagissait pas encore, Owyn prit les devant, quand le demi-dragon s'étala au sol. Au moins il n'aurait pas à l'immobiliser lui-même. Il avança vers Dandelune et prit son sabre par la lame. Cela ne lui fit aucune coupure et si le guerrier tentait de la frapper, il allait se heurter à une bulle de protection. Et vu l'état physique de Dandelune, la résistance se ferait pas longue. Quand il eut l'épée dans les main, il la tendit à Sovran, le manche en avant. Une fois que le barde prit l'épée, le Régent empoigna le demi-dragon par le bras et le souleva pour le mettre sur ses épaules.

"Sovran, une potion de soin est plus que nécessaire pour cet homme, mais apporte aussi une potion d'ivresse et un veritium, au cas d'une résistance non voulu. Je vais le mettre sur le bord du feu en attendant."

Ce qu'il fit sans plus attendre...

Dandelune s'était effondré au sol, n'ayant plus de force dans ses jambes. Il était plus ou moins conscient d'esprit, ivre de la douleur, malgré sa capacité à l'endurer. Par terre, à plat-ventre, lorsque Owyn voulu prendre le sabre, le Semi-Dragon résista à ce qu'on lui retire sa lame. Ce n'était pas de mauvais gré, simplement un réflexe tiré de son entraînement martial.

Dandelune était loin d'être le plus fort, mais ce n'était pas en tirant sur la lame qu'on arriverait à lui retirer son sabre si aisément. L'arme d'un guerrier était semblable à son âme. Séparé de son arme, le guerrier n'est pas complet. C'est basé sur un rigoureux entraînement ainsi que d'une obstination hors norme que Dandelune cherchait à conserver son sabre. Cependant, il lui en coûtait beaucoup de conserver sa poigne sur le dur manche du sabre et lorsque celui-ci le lâcha, il était au bord de l'inconscience. À ce moment, plus aucune résistance ne viendrait de lui. Du moins, pas sans un puissant stimuli...

[Juste pour dire que j'existe toujours et attend une réplique du poste ou l'ajout d'une nouvelle personne. Je n'ai pas pu prendre avec moi mon costume de Semi-Dragon au précédent Mythall, mais je compte bien l'essayer au prochain Mythall, cependant pour ce faire, j'aimerais continuer se poste afin d'intégrer mon personnage convenablement dans l'univers de Mythall.]

Sovran se retourna et, d'un pas rapide, retourna à la boutique. Il fouilla dans les diverses fioles et bouteilles derrière le comptoir, avant de trouver ce qu'il cherchait. Il y avait des moyens plus facile de faire ce qu'il tentait de faire, mais un marchand se devait de conserver certains secrets.

Il revint vers le feu avec une petite fiole, une bouteille verte à faible goulot et une grande bouteille. Il prit place près de son cousin, lui tendant les bouteilles.

- Tiens, voilà ce que tu avais demandé. Il faudrait encore une fois faire le ménage dans la boutique, c'est impossible s'y retrouver.

Le Régent prit les bouteilles apportées par son cousin. Il prit la verte, ouvrit la bouche du guerrier et lui versa son contenu dans la bouche, en prenant soin de ne pas laisser une goutte tomber. La faiblesse du demi-dragon et la force améliorée du marchand, fit en sorte que le guerrier ne pouvait résister. Une fois une dose d’ivresse fut avaler par le blessé, Owyn reposa la bouteille, prit la petite fiole et la fourra dans la bouche du blessé sans plus cérémonie. Une fois vide il la laissa tomber plus loin. Puis il prit la grande bouteille et lui versa longuement son contenu dans la bouche, plus rapidement que les deux autres, il en débordait sur le bord de la bouche du guerrier.

"Bon te voilà sur pied, maintenant. Mais bouge pas le jeune, tu as des chose à apprendre sur l’endroit où tu es. Et NON tu n’es pas en combat. Reste là et prend un morceau. Commence donc par te présenté..."

Le barde fouilla dans son sac et sorti un morceau de viande séché, il le déposa sur le torse du demi-dragon et prit place sur le bord du feu qui mourrait.


** H-G:Effets des potions : 1er : Tu sens tout tes muscles s’alourdire et tu te sens un peu saoul 2e : Tu te sens obliger de répondre aux questions posées et tu ne peux répondre que par la vérité 3e : Tu heal de 1 pv sur tout le corps**

Le Semi-Dragon n'avait plus la force de se débattre et se laissa manipuler, et resta sur le dos une fois de retour sur terre. Alors qu'on lui... donnait les potions, il manqua de s'étouffer... pratiquement à chaque potion, mais spécialement la dernière, Dandelune toussa, se tournant, dès qu'il le put, la figure vers le sol afin de cracher l'exédant de liquide de sa bouche, sans prendre en considération, le morceau de viande sur sa poitrine. Haletant, Dandelune cherchait à reprendre son souffle. Sa tête lui tournait et il avait du mal à bouger. Évaluant la situation sommairement, il en conclu qu'il était soumis. C'était l'Humain qui avait son sabre, arme que Dandelune ne quittait pas des yeux. Peut-être qu'en utilisant le couteau dissimulé sur lui... il n'arriverait qu'à aggraver son cas. Ses gestes étaient trop lent et sa vision trouble.

Dandelune n'avait pas faim, il s'était bien nourri juste avant de tomber sur le barbare, ce qui remontait maintenant à moins d'une heure. Le Semi-Dragon ramassa le morceau de viande, mais ne ne fit que le déplacer plus loin (possiblement dans un endroit qui ne risquait pas de le déterriorer) et se mis plus à son aise, assis les jambes et la queue repliés vers lui, ne prenant pas plus d'espace que nécessaire.
« Je m'appel Dandelune, fils de la Demi-Dragon Kanine et du bandit humain Kay. Je suis un guerrier qui ère en quête d'un seigneur afin de mettre mon sabre à son service. »

Owyn le regarda avec un air amusé. Il eut un petit sourire et lui répondit joyeusement.

"Mon cher, te voilà bien plus responsable quand tu n'es pas sur l'offensive. Tu trouveras facilement un seigneur à servire en ces terres... Tu en as un devant toi. Mais je vais te poser une petite question. Sais-tu où tu te trouve en ce moment."

Le barde s'était allongé, en s'appuyant sur ses bras derrière son dos. Il regardait le guerrier qui ne lâchait pas son arme du regard. Un bon parti s'il se fiait à ce qu'il voyait.

Dandelune cherchait à savoir ce qu'il lui arrivait. Comment avait-il put en dire autant sur lui sans même connaître l'identité de son interlocuteur? Comment avait-il put commettre cette erreur... Non, qu'est-ce qu'on lui avait fait pour qu'il parle autant? Trois breuvages fort différents... Quel était le lien? Ne pouvant retenir sa langue, Dandelune mourrait d'envi de répondre à la question du «seigneur.» Ce qui l'empêcha de réfléchir è se sujet plus longtemps.

Sans trop détourner la tête, Dandelune observa les alentours du regard. Quelques cabanes et quelques structures, possiblement une petite taverne. Autour de lui une forêt, alors qu'il y a quelques instants, il se trouvait dans une terre montagneuse.
« Je me trouves dans le village d'un domaine forestier... Isolé, puisque je ne vois aucun marchant alors que la saison du marchandage est à son plus fort alors que le temps des récoltes est arrivé... Puisque vous êtes seigneur, vous auriez avantage à faire du commerce avec les voyageurs-marchants. J'estime donc que ce village est soit renégat, soit couper du monde extérieur, au delà de cette forêt, puisqu'aucune structure ne semble prévue pour accueillir et loger les voyageurs ainsi que leurs montures. Ainsi donc, où nous sommes très bien cachés, ou bien nous sommes emprisonnés. »

Sovran partit d'un rire enjoué aux dires du semi-dragon. Personne ne l'avait vu rire ainsi depuis longtemps. Quand il eut fini, il dirigea son attention sur Dandelune.

- Mon cher, félicitations. Vous avez analysé la situation et déduit ce qui nous arrivait, et cela, en moins d'une minute. Bravo. Rares sont les gens avec cette vivacité d'esprit, en ces terres.

Sovran se leva.

- Bienvenue dans les terres de Mythall, prison magique pour tout ceux qui ont la malchance de s'y retrouver piégé, dit-il en écartant les bras, désignant la forêt et le village, tout autour. C'est à mon tour de me présenter. Sovran Delvadas, fils d'Enilrod, barde alchimiste et co-propriétaire d'une magnifique boutique qui contient tout ce que vous pouvez avoir besoin.

Owyn laissa parler son cousin. Il pensa au service d’un tel guerrier au sein de la force du bien. Cependant il se doutait que cela pouvait faire des émois avec son apparence douteuse. Puisqu’il y pensait, il se rendit compte qu’il était assis à côté d’un demi-dragon. Dragon qui avait attaqué le village, la dernière lune. Avec la potion effective dans son corps, il serait facile de dénicher des informations plus précises sur les dragons, mais le combattant était à bout de force et il méritait un repos.

Le Régent décida de passer par l’amicalité pour faire bonne impression et avoir l’air bon et juste. Ce qu’il est, mais plus rarement…

"Dite donc, vous devez être fatiguer après ce combat et ce changement de territoire. Nous avons une auberge plus loin où vous pouvez loger quelque temps. Sinon notre tente se trouve pas loin d’ici. Je vous offre logis pour cette nuit. Vous en dite quoi?"

Le barde avait tourné sa tête pour regarder le demi-dragon dans les yeux, si ce dernier détournait la tête. Il avait prit un ton amical et il semblait très sincère…