Village (saison 2006 à 2009)

(Moi non plus, mais c'est pas important...loll)

Sovran, qui, une fois de plus, était resté silencieux un long moment, se leva à nouveau. Il repris du bois, le remit sur le feu, souffla sur les braises afin de réanimer le feu. Il rejoint ensuite Owyn et Madrad.

-Tout à fais d'accord avec vous deux. Mais bon, il faut de tous les genres de personnes pour faire un monde, n'est-ce pas ?

-Sages réponses. Mais, mes amis, je "crains" que la balance ne soit bientôt basculée. Des évènements terribles se produiront d'ici peut, je le sens. Je vois beaucoup de monde durant la journée, je le vois sur leur visages.

(Selon le temps à parler et le début de l'action, on devrait être en fin d'après-midi )

Aux dires de son cousin, le barde eu un petit sourire et acquiesça de la tête.

"En effet, plus les gens sont différents et plus l’équilibre et la diversité sont présentes. Ironique, mais le fait est prouvé!"

Owyn dévisagea Mardrad à sa réponse.

"Vous m’avez l'air bien confiant. Quel événement pourrait être si grand que la population s’en inquiète, mais que la milice du village ne fait rien pour le contrer?"

Il dit cela sarcastique, il prit un air pensif et moqueur, suite aux paroles du marchand.

Nira arriva en ville, aussi silencieuse qu'un félin, dagues et poignards toujours près à frapper ces ennemis. Habiller d'un costume de cuir noir très moulant qui laissait très peu de place à l'imagination elle était très jolie, le seul détaille qui laissait voir qu'elle n'étais pas tout à fait humaine étais ses yeux rouge qui brillait dans la nuit tombante. Elle s'avansa d'une démarche très souple comme une acrobate vers le marchand et les deux bardes.

- Boujours à vous trois. dit t'elle d'une vois qui comme le murmure du vent d'été apportais la promesse d'une nuit chaude.

-Je suis à la recherche d'un homme appeller Darrick, l'aurriez-vous croisé mes chers amis? Toujours de sa vois murmurante et douce aux oreilles des hommes.

-C'est que j'ai un petit compte a règlé avec cet individu, vous savez ce que sais. Ajouta t'elle avec un très jolie sourire en coin et un clin d'oeil.

Madrad eu un léger sursaut lorsqu'il entendit la douce voix de la femme. Il se retourna tranquilement et l'observa. À la question, il sourit.

-Il est parit il n'y a pas si longtemps, vous devriez le trouver non loin dans la forêt, dit-il d'un ton vague.

Il pointa ensuite les alentours du village, sans aucune précision.

-Il a vraiment du chercher le trouble aujourd'hui, vous n'êtes pas la seula à lui régler des comptes.

Madrad prit une branche et joua un peu dans le feu.

-Si vous n'êtes pas pressée, vous pouvez vous tirer une buche.

La femme souri tendrement à Madrad avant de s'assoir pille la ou elle était ( À une distance suffisante pour pouvoir tirrer ses poignards sans peine) et l'observa trenquillement.

-J'ai cru comprendre que vous étiez marchand dans ce petit village, dit t'elle sussotante avant de prendre un ton timide, Mais j'ignore de quoi...

Pourraige voir vos marchandises? demanda t'elle avant un grand sourir charmeur.

Elle regarda les deux autre barde avant de revenir à Madrad avec un sourir timide.

Madrad eu un air soupçonneux par l'attitude de Nira. Peu importe ses pensées, il ne cacha rien, il n'y avait d'ailleur rien à cacher dans sa boutique .

-He bien, dit le marchand en réfléchissant, j'ai un choix très étendu de parchemins magiques, quelques flacons, parfois des potions et des objets qui pourraient intéresser beaucoup de personnes, magique bien sûr. N'ésitez pas à venir faire un tour dans ma boutique un de ces jours, je pourrait vous faire un bon pris.

Madrad sortit une petite flasque de sa poche.

-Une gorgé peu-être, attention, c'est très fort.

Le barde qui était trop occupé à parler, n’entendit point la dame qui avançait vers le feu. Au son de sa voix, des images qui le hantaient surgirent, il prit un bâton et se retourna vers la voix. Il s’écria

"Va-t-en démon! Va! Merde fout moi la paix!"

Et sans regarder la personne et viser, il lança son bâton, bien trop loin pour même l’effleurer. Puis quand il prit le temps de regarder qui venait d’arriver, il ne vu qu’une femme parmi tant d’autres. Il se retourna vers le feu en grognant un peu et jetait plusieurs regards furtifs vers la nouvelle venue.

"Franchement, je connais vos astuces! Prendre la peau d’une personne pour amadouer puis sacrifier en son dieu… Va vois ailleurs, je connais tes techniques."

Le barde, en disant ses paroles, était troublé et troublant. Il parlait, mais en fixant le feu et non son interlocuteur…

Le marchand se tourna brusquement vers son ami, le dévisagea . Puis regarda Nira, l'examina.

-Mon vieux, je crois que tu est un tentinet paranoïak. Ça ou que tu as trop bu pendant que je ne regardait pas.

Madrad resta perplexe...

En moin de temps qu'il ne faut pour dire oups les poignards de Nira étais sorti aussitot que le barde s'étais mit à crié des insultes vers....quelque chose... Remarquant qu'il n'étais plus une menasse pour elle, elle baissa légèrement sa garde et guettant le barde du coin de l'oeil s'adresse au marchand.

-Esque votre ami est fou ou bien simplement dérangé par moment? Dit-elle d'une voie ou s'emblait percer une pointe d'inquiètude.

-Et de qu'elle démon parle t'il? Demanda t'elle en reprenant un peu ça voie d'aguicheuse mais ou persait toujours l'inquiètude.

En entendant le mots démon elle eu comme un énorme frisson qui la fit frissonner de la tête au pied. Un cout de vent dans les arbres la fit sursauter et un oiseau pousa un cri déchirent dans la nuit tombante.

Sovran était reparti encore une fois dans son mutisme. Quand il fut revenu sur terre, il remarqua la jeune femme qui était arrivée.

Son cousin venait de faire une crise, et même lui ne savait pas pourquoi. C'était étrange. Il s'approcha de la dame.

- Ma dame, dit-il en faisant une révérence, mes hommages. Je me nomme Sovran Delvadas, je suis musicien.

Le barde, à la sorti du rêvatisme de son cousin, paru redevenir normal. Il se retouna vers la dame et ne paru pas parraître se souvenir de ses dernières actions. Il lui adressa un sourire et lui dit gentiment:

"Bien le bonjours ou le bonsoir qui s'en viens sans plus tarder! Mais de qui parlez-vous quand vous dites paranoïaque? Je n'ai vu aucun paladin fanatisme passer ici...", plusieurs paroles sortaient de sa bouche, mais là, tout était mélangé, "Je me nomme Owyn Voyageant, barde bien connu sur notre continent et Sovran et moi sommes cousin éloignés!"

Il fit un signe de lever son chapeau, mais il n'en avait point, ce n'était qu'un signe de bien savoir envers une femelle.

Madrad, étant légèrement confu dans les divagation de ses amis, tenta de retrouver le fil de ses idées. Il scruta la forêt, puis eu un léger rire, essayant le plus possible de cacher une petite crainte.

-Ne vous inquiétez pas, il y a bien longtemps que je n'ais vu de démon dans les parrages.

Il jeta un coup d'oeil au poignard de Nira. La questionna du regard.

Le barde haussa un sourcil.

"Longtemps? Cela veut dire que vous en avez déjà vu dans l'environ?"

En même temps que le marchand, Owyn remarqua la dague au clair de la dame et lui lança.

"Eh! Oh! Femelle! Clame toi! On est pas en guerre, ici."

Voyant le monde commencer à la regarder, elle planta ses yeux rouge dans ceux du barde qui venais de lui parler, et avança trenquillement comme un chat qui chasse sa proie.

-C'est TOI qui m'a attaquer avec ce fichu bâton espèce de langue de vipère! En disant cela elle étais rendu assé près du barde pour que celui-ci lève la tête car Nira était un peu plus grand que lui.

-Et n'Est pas peur de mes lames, car elles sentent la peur et elles adorent ça! En finisant cette phrase Nira fit volte face et rengaina ses poignards dans leur étuit qui pendait a ses hanches magnifiquement bien découpé.

-Je suis désoler, je suis un peu nerveuse ces temps si en parlent au marchand. dit-elle avec de nouveau une magnifique voie suave.

Elle alla s'assoir par terre près du feu et à environ 3 mètres des hommes, au cas ou l'un d'eux voudrai lui faire quelque chose.

( Désoler j'ai envpoyer mon message trop vite et je n'avais pas fini. )

Le marchand pesa les argument, puis se dit à lui même: pourquoi pas? Après un lourd silence qui ne dura que 15 secondes, mais qui parut une éternité, Madrad dit d'un ton exaspéré:

-Je ne sais pas pour vous, mais moi, je ne raffole pas des atmosphères tendus.

Il regarda sa fiole, puis prit une petite gorgé.

-À la votre!

Le barde haussa un sourcil et les épaules; il secoua la tête. Il ne parut pas un instant effrayé par les dires de la dame.

"Je vous signale que c'est vous qui ne faite pas assez de bruit en marchand et vous ne m'aurez pas fait peur. Depuis quand des lames parlent-elles. Et ne me dites pas un truc pas original: Elles sont magiques, Elles ne sont pas comme les autres, Elles ont une âme, ou un autre truc qui a pas d'allure."

Quand elle se revira pour s'asseoir, il ne manqua pas une seconde pour la mater. Il redevis normal avant qu'elle ne se retourne et lança pour tous.

"Elle, elle lui faut un homme pour la dresser. Ces femelles ne savent plus où s'arrêter quand une tête masculine ne vient pas les redresser."

Le soleil était presque couché. Après, sans une différente attitude, il s'adressa au marchand.

"Dites, avec ce loup-garou dans les parages, n'avez-vous pas une boutique où passer la soirée?"

-Bien sûr. Mais je préfère rester encore quelques heures dehors, de toute façon, il n'y a personne qui me demande pour l'instant. Alors je peux laisser un peu ma boutique. Tant que je n'entends pas de loup. Les femmes sans couteau, c'est comme un fauve sans griffes. Nira semble bien connaître ses griffes.

Il se retourna avec un sourire d'humour vers la femme. Puis se retourna vers Owyn.

-Fait attention, car on ne sait jamais quand elle pourrait avoir le goût de viande bien fraiche.

Quelques instants plus tard, un rire puissant et caverneux retentit de part la forêt. HA HA HA HA HA!

Ce redressent subitement, Nira chercha par réflexe d'ou pouvais bien venir le rire caverneux même si elle savais parfaitement qu'il n'étais certainement pas dans les environs immédiat. Elle sorti ses poignard encore une fois et s'embla tomber dans la lune pendant quelque seconde.

-Qui es-tu? Et ou es-tu? Murmura la jeune femme en ce tournant vers la gauche et ensuite vers la droite.

-Putain de merde!!! Darrick, enfant de pute!!!! S'écria t'elle avant de ce lancer à corp perdu dans la forest sans adresser le moindre cout d'oeil au marchand et au deux barde.

Son corp très séduisant disparu à travert les ombres de la nuit et un cout de tonnerre sonna au orreille des hommes toujours autoure du feu. Pourtant il n'y avait nulle trace de nuages dans le ciel d'un bleu sombre.

Le rire ténébreux donna un spasme à Madrad. Il eu plusieurs convultions puis baissa la tête. Lorsqu'il la releva, tranquilement, ses yeux étaient blancs comme neiges. Il n'eu qu'a les cligner une seule fois pour qu'il retrouvent leur aspect naturel. Mais quelquechose avait tout de même changé. Un air affamé pouvait se lire dans ses yeux. D'un ton curieux et exité, le marchand dit:

-Qui cela peut bien être?

Il ne dit rien de plus. Il se dirigea vers la forêt d'un pas lent, mais précis...

Le barde regarda les deux personnes qui allaient vers la source du bruit. Il hocha négativement la tête, soupira et prit un air découragé.

"Fou, sont ceux qui osent explorer et veulent toujours savoir ce qui se passent dans le bois la nuit... Sinon, cousin, tu veux prendre une petite marche dans les sentiers déjà plus sûr? Moi je suis tanner d'être assis."

Owyn se leva, se gratta les fesses et s'étira. Il prit une bûche et la mit dans le feu.

"Il sera encore vivant lorsque nous reviendrons ou si d'autres personnes veulent se réchauffer."

Il se retourna vers Sovran et attendait sa réponse.

-Eh bien en voilà deux très téméraires... Va pour la marche. Ouvre le chemin, je te suis.

Sovran se leva et épousseta sa cape.

Un Homme d'un allure sombre apparu soudainement et leur dit, d'un air supérieur:

Sachez messieurs, qu'en ces terres, nul chemin ou chantier n'est sur. Car vous êtes ici en terres perdues, voir presque oubliées. Et d'ailleur, cet oublie anile certaine chose, mais fait aussi revenir certain souvenir disparue à la surface. Souvenir qui on d'ailleur condamné ces lieux parmi lesquels vous êtes prisonnier. Mais bon, cela ne sera tarder avant que vous ne vous en rendiez compte....

Puis l'étranger reparti dans le sens contraire des 2 personnages.