Village (saison 2006 à 2009)

- Nous sommes sur les terres de Mythall, au village. Je connais un peu l'endroit, mais je vienx juste d'arriver moi aussi. Je ne sais pas vraiment à quoi m'attendre.

"Ah oui Mythall, je connais beaucoup d'histoires sur cet endroit. J'avais bien remarqué que nous sommes dans un village! Si vous venez juste d'arriver comme moi, pourquoi pas rester ensemble et unir nos forces de barde pour survivre plus longtemps!"

L'elfe tira une bûche près de Sovran. Avant de s'assir, il fouilla pour trouver du combustible. Il prit quelques bûches qui trainaient proches et en mit duex dans le feu et trois autres près de lui pour plus tard. Puis il s'assit à côté de Sovran et lui demanda.

"L'habbit ne fait pas le moine. Trop souvent nos yeux sont trompeurs de la réalité. Je veux m'assuré de ne pas dire de sotisses. De quel race appartenez-vous?"

Sovran s'assit sur la bûche que son ami lui avait placée. Il rangea sa flûte dans la poche de sa veste avant de se retourner vers sa première connaissance en ces terres.

- Je suis un simple humain parmi tant d'autres. Je me permets de vous retourner la question, à condition que cela ne vous déplaise point.

"Mais non bien sûr. Mon grand-père maternelle a violé ma grand-mère marternelle. Ainsi donc ma mère est demi-elfe et mon père, elfe à part entière. Il faut croire qu'un petit côté humain fait parti de moi et je vois quelques différences comparré au elfes pures. Mais rien de bien grave."

En voyant l'homme s'installer, Sovran arrêta sa discussion. Il mit quelques instant à détailler l'homme, avant de lui adresser la parole.

- Bonjour à vous ! dit-il d'un ton demi-joyeux, demi-intrigué. Je m'appelle Sovran Delvadas et voici mon compagnon Owyn.

Il tendit la main en direction du nouveau venu.

Madrad lui serra la main mollement.

-Enchanté, dit-il d'un ton neutre, désolé de mon état, j'ai eu quelques petits problèmes dans ma boutique. Je me nomme Madrad, le marchand.

L'elfe vit le personnage curieux s'approcher du feu. Il le regarda en essayant de comprend ce qu'il n'allait pas en lui., puis après son nouvel ami, il lui dit :

"Bonjours à vous, comme l’a dit mon ami, je me nomme Owyn Voyageant. Je suis plus ou moins connu dans différentes régions du monde, pour mes innombrables légendes et histoires. Bref je ne suis pas vantard. A divinis, je ne suis pas dieu!"

(dsl, j’ai poster en 1 journée, genre j’ai ouvert mon message vers 1h et je suis revenu le finir vers 9h!) + (le 1er message est avant celui de Madrad et celui-ci est après) + (Sovran: tu n'as pas changé ton nom de perso! pense à le faire!)


"Des problèmes de quelle ordres. Si c’est un client fâché, nous pouvons (Sovran et moi) le divertir pour qu’il puisse s’en aller! Et vous avez effectivement un air assez fatigué. Si j’avait de l’eau de vie je vous en aurais, je vous en donnerais, mais j’en ai point. Peut-être à l’auberge du coin, si il y en a une. Nous sommes nouveaux dans le coin, vous savez s’il se trouve une auberge dans ce village?"

Pendant qu’il parlait, le barde regardait Sovran et Madrad, alternativement. Puis sans laisser le temps de répondre il rajouta sur un ton enjouer :

"Mais je parle et parle, vous n’avez pas répondu et je dois sûrement vous embarrasez avec toutes mes histoires interminables et mes dires vous paraît peut-être long, mais vous vous trompez. Il sont très long!"

-Hé bien, pour parler franchement, il est vrai que vos récits sont longs. Et pour ce qui est du client grognon, il n'en ait point. Il s'agit d'un ami à moi qui a eu, comment dire, un problème... Je n'ai pas dormi de toute la nuit. Et...euh...ensuite...pour ce qui est des boissons, il y a une taverne non loin d'ici.

Madrad obsevait le feu de camp tout en parlant, sans même jeter un seul coup d'oeil à son interlocuteur. Dans une sorte d'hypnotisme.

"Merci. Ces informations nous seront peut-être utiles."

L’elfe sorti de sa cape (qui me couvre totalement) un morceau de pain et fouilla un peu, puis sorti un morceau de viande roulé. Il fouilla des yeux une branche, puis il en prit une sur le bord de sa bûche. Il piqua les aliments au bout de la branche et les mit au-dessus du feu. L’homme entreprit de les faire cuire…

Sovran regarda son ami Owyn sortir de la nourriture de sous sa cape. Il aurait du y penser, la nourriture était l'essentiel. Tant pis, il se débrouillerait autrement. Il se tourna vers Madrad.

- Que vendez-vous exactement ?

Le marchand reçu la question avec un léger sourire malicieux.

-Je vend toutes sortes de choses.... Parchmins, potions et autres objets magiques. Pourquoi cette question, vous êtes intéressé? J'ai peu être aussi quelques peties babioles...pour les habitués ou les intimes. J'accepte aussi certains trocs, si vous n'avez pas assez d'argent.

-Disons que pour l'instant mes moyens financiers sont quelque peu à sec. Je désirais seulement le savoir, advenant le cas où j'aurais besoin de votre matériel.

"Dans mon cas, j'aime mieux le troc. Si mes histoires sont mes plus grands biens, il m'arrivent souvent de payer mon repas d'une auberge avec mes dons bardiques... J'aimerais bien en savoir plus sur vous, L'ami. Enfin si je peux vous appelez ainsi?"

Madrad le regarda un instant. Puis, avec un sourire, il répondit à la réponse.

-Pourquoi pas? Il y a de cela quelques temps que je suis ici. J'ai commencé mon commerce qui, avec le temps, finit par marcher. Bref, il n'y a pas grand chose à dire. Je viens de...

Il s'arrêta net. Avec un regard pensif et des traits troublés, il regardait les flammes danser au milieu de la noirceur.

-Ha. Rien. Et vous deux, quels sont vos histoires?

A cette instant un homme arriva, il étais vétu d'une cote de maille avec une armure de cuire pardessu, un bouclier dans le dos et une large épée a son flan. Bref tout le désignait comme étant un Guerrier expérimenté. Arriver près du feu il sacroupi et étendi ses mains vers le feu pour les réchauffer.

-Bonjour a vous gente personne. Dit-il d'un ton gentil mais qui sonnai un peu faux, comme si il jouai un peu la comédi

-Cela fait longtemps que je n'ai mis les pied dans ce village, pourriez-vous me dire les potins les plus récent si il vous plai. Que je puisse me situer un peu.

Regardant l'homme prénommer Madrad du coin de l'oeil il eu un légé, très légé brui de gorge.

'' Hum''

-He bien, il n'y a pas grand choses de nouveaux, répondit le marchand avec un petit sourire. Il y a toujours le loup-garou qui cour en liberté dans la nature. Ha! Il y a aussi un meurtrier qui fut exécuté il n'y a pas si longtemps que ça.

Madrad prit quelques secondes pour regarder l'étendu de l'armement du guerrier. Il en fut très impressionné.

-Et vous? Vous êtes?

L’elfe réfléchis quelque peu aux paroles du marchand puis à l’arrivé du guerrier, il sortit de sa tête pour prendre la parole.

"Hey bien, ne compter point sur nous deux (en indiquant Sovran et Owyn), nous sommes nouveaux en ces terres. Moi tout ce que je connais d’ici, se sont des contes et légendes que l’on raconte un peu partout ailleurs."

Puis il prit conscience des dires du marchand et réagit brièvement.

"Ah oui, un assassin mort? Pendu ou assassiner? Il n’est pas rare de voir de tels gens qui méritent qui méritent le destin qui leur est du. Mais j’ignorais qu’un loup-garou traîne encore. Cela fait longtemps que la rumeur d’un homme loup est arrivé à mes oreilles. Les autorités n’ont pas encore réagit?!"

Pour finir le barde se retourna vers le guerrier et se présenta :

"Bonjours, je me présente, Owyn Voyageant, barde qui av et vient un peu partout où je le peux. Et vous, quel est votre nom?"

Face à l'étrange silence du guerrier, Madrad tourna vers les deux bardes.

-Pourriez-vous me dire d'où vous venez, si ce n'est pas d'ici?

"Hem, la réponse juste à votre question... si nous ne venons pas d'ici, nous venons d'ailleurs!"

Le barde ria quelque peu et continua:

En fait nous venons d’une contrée lointaine. Il y a longtemps, mon cousin, moi et des amis, notre grand-père, nous, avait raconté une vielle légende sur une ville prospère qui serait as bien loin d’ici. Le nom m’échappe, Sovran tu t’en souviens? Bref, cette légende dit que la ville se trouve sur cette île. Alors notre petit groupe a décidé de se payer une traverser pour voir cette fameuse ville. Ainsi nous sommes arrivées ici.

Durant ce temps, Owyn se rendit compte que son morceau de viande brûlait au-dessus du feu. Il agita sa branche et la viande tomba dans le feu. Il parut ne pas trop réagir à cet événement et il continua son récit :

Avant de voyager pour cette contrée, nous avons du faire appel à nos talents de barde et de séduction de foule pour se faire un minimum d’argent pour la traversé. Ainsi donc nous avons souvent voyagé avec les caravanes et traversé plusieurs villes pour se monter un petit magot qui grossissait à chaque jour de chansons. Dans notre pays d’origine, nous sommes très connus et respectés. Nous comptons l’être aussi ici.

Le barde se retourna vers son cousin et lui dit :

Hum, cousin, croyez-vous que j’ai oublié des bouts. Moi je pense avoir oublié quelques moments importants, mais disons que le coup de rame ne m’a pas aidé à remettre du clair dans mes esprits!

-Coup de rame... bah il ne fallait pas mettre ta tête près d'elle, cousin. Tu sais bien que j'apprenais à ramer et que quelque chose pouvait arriver...

Il s'arrêta pour se lever, s'étirer et se rasseoir.

-Pour le reste je crois que tu n'as rien oublié. Si un détail me revient, je le mentionnerai.

-Bien, alors bonne chance.

Avec un sourire en coin à cause du récit des bardes, Madrad regardait le feu crépiter. L'air songeur, il reprit son expression sérieuse.

Le barde parut offusqué de la réplique de son cousin. Il se leva et lui donna une tape derrière la tête. Puis il alla se rasseoir sur sa bûche.

"Je t’avais aussi bien dit plusieurs fois de faire attention avec cette pagaie! Maintenant nous sommes égales!"

Le demi-elfe se retourna vers Madrad et lui demanda :

"Hem, vous, vous faites quoi dans la vie, autre que perdre ses esprits dans un feu!?"

Madrad le regarda avec étonnement, il lui semblait avoir déjà rébondu à cette question: marchand. Mais il ajouta:

-Je fais parfois quelques promenades dans le coin. Je m'intéresse aussi aux créatures que l'on pourrait qualifiés de "spéciales". Lors de mes promenades, j'essais le plus souvent possible de contourner le campement orc, c'est sales brutes sans cervelle. Je vous déconseille d'y aller.