Le Grand Pommier

Désormais, et depuis quelques temps déjà, un malaise planait sur l'intersection où se trouvait le grand pommier. Les passants les plus attentifs pourront remarquer que, dans cet endroit, nul bruit d'animaux n'est perceptible. C'est comme si les animaux n'osaient s'approcher du lieu, craignant une quelconque menace invisible. De loin, les branches des arbres ressemblaient en tous points aux autres de la forêt, mais, plus on s'approchait de l'intersection, plus ces mêmes branches semblaient prendre de plus en plus l'air de longues griffes s'approchant des passants et tentant de les saisir. C'était comme si une nouvelle conscience avait pris possession de cette parcelle du territoire, plus hostile, plus stérile.

C'est alors qu'un homme a l'allure bizard arriva dans la clarière. Il s'emblai légèrement apeurré mais plainement en possession de ces moyens. Regardant autour de lui, il remarqua une buche d'Arbre a peu pres convenable et alla s'assoir. Un turban sur la tête, une longue toge décoré de motif coloré, des sandals et une épée courte étais là tout ce qui pouvais ce voir de ce drole de personnage.

- Si je ne le trouve pas bientot, je n'aurrai qu'a aller a ce petit village pour le vendre... maudite vermine humaine...Bon, après tous je n'est pas vraiment le choix si je veux manger un jour. murmura pour lui-même l'homme au turban.

Il prit une petite pomme a ces pieds et croqua dedans avec appéti avant de la recracher d'un air dégouté.

- Décidément, il est passé par ici... Bon attendont encore un petit moment le temps de soufflé et après je repars. Toujours en murmurant pour lui-même.

Tsadkiel aperçu alors Azraël, debout au loin qui le fixait de son regard vide et noir sans yeux. Il était à la fois soulagé de le retrouvé, mais aussi un peu anxieux face à la réaction qu’il aura quand il lui aura annoncé les fâcheux événements qui se sont passé à la mine.


Il s’approcha alors de lui et lui fit signe qu’il ne voulait pas que quelqu’un entende ce qu’il avait à dire, surtout pas l’étranger. Il l’amena donc plus loin et dit, en prenant bien son temps pour peser ses mots qu’il adressait au chef du culte.


-Seigneur, je viens vous avertir à propos de la cérémonie… il semblerait que le périmètre n’ai pas été aussi bien surveillé qu’il était sensé l’être. En fait, avec tout le respect que je vous dois, à vous et à Morana, j’ai la tâche ingrate de vous informer que ce fut un échec, certains son mort et…


Tsadkiel ne trouvais plus les mots pour continuer. C’était de ça faute et il allait en assumer les conséquences.

Le regard d'Azraël devint plus dur et froid. Avant même que son serviteur n'eut finit d'expliquer les évènements qui s'étaient produits, la liche leva la main vers le prêtre, paume vers le ciel. Un petit cyclone rougeâtre apparu. Le mage lança le sortilège sur le disciple de la Mort, le corps de celui-ci fut recouvert d'étincelles vermeilles et croula au sol. Tsadkiel avait perdu toute énergie et toute force.

-Tu viens donc m'apprendre que tu as échoué? Je m'attendais à mieux de ta part, Tsadkiel. Compte-toi chanceux qu'il ne s'agisse pas d'une chose majeure, sinon je t'aurais détruit sur le coup. Néanmoins, ton échec est un affront à Morana et un risque pour ces fidèles, un tel outrage mérite de sévères punitions... Mais je dois avouer que tu as su bien servir la Maîtresse lors de la dernière lune. C'est pourquoi ton châtiment ne sera pas trop lourd.

Le prêtre sentit alors ses forces le retrouver peu à peu. Azraël jeta un coup d'oeil vers l'étranger afin de s'assurer qu'il ne puisse pas épier leur discussion.

Tsadkiel retrouva ses esprits peu à peu, encore sous l'effet du châtiment que lui à promulguer Azraël dans toute sa colère. Il replaça l'objet du rituel sous ses habits sombres après avoir remarqué qu'il était tombé dessus quelques secondes plus tôt et il espéra qu'Azraël pourra régler la situation avant qu'elle ne s'envenime. Si quelqu'un apprenait ce qu'il tentait de faire, il n'y aurait plus d'endroit sûr sur sa personne pour cacher l'item qui lui causait tant d'ennuie. Mais pouvait-il s'en défaire? Jamais il ne laisserait qui que ce soit poser la main dessus, même Azraël comprenait l'attrait que portait le jeune disciple de Morana en cette relique et il avait décidé de laisser quelque disciples l'accompagner pour le rituel. Pourtant, Azraël ne comprendrait jamais en totalité ce qui amenait le prêtre à prendre de si gros risque pour un objet aussi peu utile selon lui. Pourtant, le prêtre se sentait attiré vers celui-ci, il sentait la voix de la Mort lui indiquer que c'est ce qui lui manquait pour se rapprocher d'elle. Il devait terminer se rituel, coûte que coûte, même si cela signifiait qu'il allait en perdre quelque plumes. Il finit par se relever complètement, déplia sa toge et s'éclaircit un peu la voix.



-Pardonnez-moi Azraël, j'espère que vous comprendrez que ce que je veux accomplir transcende mon jugement et
qu'il met impossible de ne pas terminer ce rituel...Il guetta une réaction de la part d'Azraël et, n'en voyant point, il continua.Je demande votre aide pour continuer et terminer la mission qui m'a été donné par Morana. Je vous supplie, faite-le pour la Mort, aidez-moi et je vous servirai presque aussi loyalement que je sers Morana, dans l'éternité.



Il guetta une réaction de la part de son supérieur hiérarchique, il aurait peut-être la chance de pouvoir bénéficier de ses grâces, qui sais?

-Ma loyauté n'est pas une chose qui peut se partager et je sais que la voix de la Maîtresse Morana parvient à tes oreilles. Si telle est la volonté de la Mort, ainsi soit-il.

Azraël s'approcha du fidèle. Il ne semblait plus témoigner de la moindre colère. Par contre, rendu tout près de Tsadkiel, il le prit par le cou de sa main gauche. Cette main squelettique, entièrement recouverte d'adamantium, luisait. Le mage serra le cou du revenant, une lueur bleuté émanait de la main de métal.

-Mais à l'avenir, ne confont plus jamais les désirs de Morana avec tes aspirations personnelles. Suis-je bien clair?.

La liche ne se souciait plus vraiment de la présence de l'étranger à une certaine distance d'eux.

Précisément au moment ou la liche saisi la gorge de son acolite, laissant apercevoir clairement ses longs doigts squelletique blanchâtre, l'étrangé ce leva d'un bon comme si il venait de ce faire piquer par une guêpe et ce mis a avancer vers l'homme a la toge noir.

- Enfin, je vous ai trouvez. Je vous cherche depuis quelque temps déja...enfait... j'ai eu vent de certaine chose qui pourrai vous interressez. Vous êtes bien celui que l'on appelle Azraël? C'étais là pur forme théorique... c'étais évident....

-J'ai quelque chose a vous proposé a vous ainci qu'a vos ''amis''. dit-il avec une large courbette qui laissa voir un étrenge sac de toile sous sa cape.

La liche tourna lentement la tête vers le mortel. Il relâcha sa prise sur le coup de Tsadkiel et se tourna vers l'étranger. Le mage retira la capuche et mis à jour son crâne dénué de chair. Voyant que l'inconnu s'y attendait, il se douta que c'était bien à lui qu'il désirait parler. Azraël replaça ses manches.

-Que veux-tu, mortel, et que désires-tu me montrer?

L'Ange de la Mort n'avait pas encore de raison de mettre à mort cet inconnu qui osait le déranger pendant qu'il réglait les affaires du Culte.

Voyant enfin l'horrible tête du mage, L'étranger ne broncha pas une seul seconde et décida d'abordé le sujet au plus vite possible à fin de ne pas énerver son auditeur et également perdre la vie.

-Bien le bonjours a vous, sombre terreur de la mort, comme je n'est pas beaucoup de patience moi-même j'irais droit au but.

Une étrange lueur malicieuse dança dans les yeux de l'homme au turban qui prit alors son gros sac de toile et commença a l'ouvrir.

-J'ai crut comprendre que votre ancien cartier général avait quelque problème de plombrie... surtout depuis qu'il a passé au feu. J'ignore les détails exacte, mais comme je vous le disais, j'ai quelque chose qui pourrai vous interresser.

Plongeant la main a l'interrieur de la poche, l'homme en sorti un petit bout de tissu rectengulaire et le lança un peu plus loin. C'est alors qu'un magnifique chapiteau apparut. En tout point semblable a l'Ancienne auberge-des-pluies... mais sans les trous au plafond.

- Je vous offre l'unique chapiteau de l'archi-archimage Mordenkanen. Vous pouvez la transporter ou bon vous semble et la faire apparaitre de la même manière que je vien de le faire. Laissant le silence gagner son auditeur, l'homme au turban sourit courtoisement.

-Alors, quesque vous en dite?

De quoi parlait-il? Il osait venir nous déranger de la sorte pour parler à Azraël de choses tel qu’une nouvelle échoppe? Tsadkiel n’avait pas le temps pour cette discussion vide de sens.


-Vous pourriez accepter, murmura-t-il à son oreille, voulant mettre fin à la conversation le plus vite possible. Vous pourrez ensuite vous occuper de cette affaire, mais une autre fois. Pour l’instant, je crois que le plus sage est de ne pas trop attirer l’attention.


Il priait pour que tout ce passe bien.

Le mage prit en concidération les conseilles de Tsadkiel. Il voulait lui aussi en finir avec cette affaire qui aurait pu attendre.

-Tu veux combien pour ce produit? dit-il sèchement.

L'homme au turban ne sembla pas surpri outre mesure par le manque de sociabiliter du zombi. Après tout, la mort d'un etre humain entraine généralement la perte de l'humaniter. Après une courte réflexion, il répondi.

- Je vous la vendrai bien 30 pièce d'or parce que c'est un objet vraiment unique de par ça provenance ainci que par le fait qu'elle sois magique, mais comme je vous trouve sympatique et qu'en plus vous êtes unique vous-même je vais réduire le cout de moitier. Alors dison 15 pièce d'or négociable.

Le marchand attendi la réponce en priant pour que l'Autre accepte le marché ou qu'il négocie l'offre.

Azraël poussa un soupir lorsque le marchand ambulant donna son prix. C'était ridicule. Pour avoir cotoyer ce domaine durant plusieurs lunes, il connaissait très bien le commerce. Il avait au moins le temps d'une petite négociation, sinon il emploira la méthode qui est la sienne. D'un ton bref et avec assurance il rétorqua à l'homme à turban.

-Tu me prends pour qui? Tu prétends me connnaître, mais tu me parles comme si j'étais un novice imbécile. Le prix que tu demandes pour cet article est ridiculement trop élevé. Tu veux me faire croire à une aubaine en passant d'un prix gargantuesque à ce prix que tu me proposes. En raison de la qualité dicsutable de l'essence magique de l'objet, eh oui avec le temps il faut savoir entretenir ça, en plus du territoire dans lequel nous sommes, toi autant que mois, prisonniers, l'utilisation de cet article est un véritable boulet. Sans compter que je sois bien le seul qui puisse te l'acheter pour ton meilleur profit, je ne crois pas dépenser plus d'une pièces d'or. Et encore là tu ferais mieux d'accepter, mon offre est on ne peut plus généreuse.

Un tel abrit pourrait être utile au mage, il permettrait de financer ses activités ainsi que celles du Culte. Bien qu'il en avait assez de se réduire à cet état de marchand, c'était un sacrifice qu'il était prêtà faire.

Le marchand sembla soudain un peu moin sur de lui, mais alors qu'il étais sur le point d'accepter le marcher de la liche, une froid résolution s'emparra de lui.

- Vous savez mon chère, une cabane dans le village de mythall coute une dizaine de pièce d'or et c'est trois fois moin grand et bcp moin imperméable que l'Article que je vous offre. Sans compter que celle-ci est magique et déplaçable. Vous comme moi s'avons très bien l'utiliter d'avoir un lieu pouvant etre déplacer pour garder ''certaine'' chose loin des regards indiscret. L'homme au turban s'avait tres bien que ce qu'il disait avait une base solide et était de tres bon argument.

- Mais, je vais tout de même vous faire une autre offre car je dois avouez que vous m'avez percer a jour... j'aurrai du me douter qu'étant vous-même un maître marchand vous serriez un dur négociateur. Alors je dessend a 12 pièce d'or et c'est largement mérité... de plus, je vous offre la possibiliter de l'acheter en plusieur vercement, Gracieuseté de la maison.

Le marchand espèrait vraiment que le mage accepterait le marcher... étant maintenant prisonier ici, il fallait pencé a ce faire un peu d'argent pour survivre. Le prix minimum qu'il avait en tête pour ce chapiteau était de 8 pièces d'or et il espérait ne pas arriver a cette extrêmiter.

Avec le temps, Azraël avait développé un certain orgueil en ce qui attrait à ce genre de négociation, mais le prenait plus comme un divertissement. Il tenta un dernier essai, ensuite il allait changer de méthode. L'homme en turban marquait un point, mais cela était loin de décourager le mage.

-Je ne crois pas que tu sois conscient de ma générosité. J'ai passé outre la solidité ainsi que la durabilité précaire d'un tel abrit, sans compter l'utilisation de ce genre d,objet magique qui n'est pas à la portée de tous. Tu es nouveau sur ces terres, je peux comprendre ton ignorance. je me permet de t'informer que très rares sont les gens ici qui sont aptes à user de ton produit, ou qui y sont tout simplement intéressés. Le peuple du Mythall préfèrent être à l'abrit proche du village, donc l'aspect déplaçable de ton produit ne vaut rien. Tout compte fait, je dois avouer que j'ai peut-être été un peu trop radin pour ma première offre. Je te donne 3 pièces d'or et deux minerais d'argent. Nous nous devons de juger que cette offre est fortement acceptable. En plus je suis prêt à t'offrir une carte des terres.

Azraël et Tsadkiel avaient effectivement autre chose à faire, la liche s'en rendait compte, mais un tel artéfact ne se trouvait pasdans n'importe quel village.

Le négociant sembla très décourager par l'offre ultime du mage, mais ne baissa pas les bras pour autant. Il n'allait certe pas osé offencer un type aussi dangereux qu'Azrael, mais il ne pouvait pas le laissé repartir avec son artéfacte pour un prix aussi minime. Aussi décida t-il d'abatre ça dernière carte.

-Je suis vraiment navré mon chère ami, mais je ne peux tout simplement pas vous laissé partir avec cet objet pour un prix aussi bas. Aussi, je vous donne ma dernière offre, 8 pièces d'or est un prix hors norme pour un objet de cette valeur... de plus, il y a en effet une autre personne qui sois très interresser par mon offre, je crois que vous la connaisser. C'est une elfe il me semble, très jolie et priante d'une diviniter... Amélia qu'elle s'appelle. Je devrai peut-être aller la revoir et finalisé l'offre, elle semblait interresser par son aspect utilitaire déplaçable. Je pence quelle voulait cacher quelque chose mais bon.

L'homme au turban tendi ça main vers la liche et regarda droit dans les yeux du mage.

- Alors, marché conclu? dit-il avec un sourire confiant.

Azraël retrouva son total sérieux. Les derniers dires du commerçant avaient mis sa colère à vif et il était temps d'en finir.

-Dis-moi, étranger, est-ce que tu crains la Mort? On ne sait jamais à quel moment le Dernier Souffle peut se produire.

Cette dernière phrase étaient bien entendu une allusion que seul Tsadkiel pouvait comprendre. Un indication à se tenir prêt à agir.

-Tu sais peut-être qui je suis, mais tu ne connais pas l'étendu de la puissance qui est la mienne.

Le ton du mage était lourd de menace.

Le pauvre commercent sans défence hurla de douleur alors que des morceaux de peau énorme tombait au sol rendant l'endroit complètement ensanglanté. Les hurlements atroce arrêta subitement et l'homme repoussa d'une force surhumaine la poingne de la liche et tomba au sol a genoux. C'est alors qu'il commença a ce fissuré, un bras tomba suivi de près par une parti de la tête. Ensuite vien l'autre bras et le reste du torce pour finir avec la tête restente. Au touché du sol, tout les membres devenaient une sorte de boue noir a l'odeur nauséabond qui bouillonnaient.

- Ne le prenez pas mal Azrael, mais un homme telle que moi c'est très bien a qui il a affaire. N'ayez pas la stupiditer de croire que je ne me suis pas renseigné a votre sujet sur toute l'étendu de vos pouvoir ainci que ceux de vos compatriotes. Je suis peut-être un simple commercent mais j'ai plus d'un tour dans mon sac. La voie s'emblai venir de la boue noir qui bouillonnait toujours.

- Bon, je dois reconcidérer votre offre, 3 pièces d'or et 2 pépites d'argent.... cela me semble assé peu. Je vous recontacterais si Amélia na rien de mieu a m'offrir! La voie de l'homme au turban semblai légèrement plus distante comme si il parlais en s'éloignant vers la forêts.

Quelle domage, Azrael avait tout les prérequis pour être un bon propriétaire de cet artéfacte... Je ne peux pas en dire autant de cette petite elfe.... mais bon autant aller la voir et négocier avec elle... Elle au moin n'éssaillera pas de me tuer, et si les négociation ne donnai rien alors, seulement alors, il reviendrai voir madrad pour accepter son offre. L'homme commenssait a s'éloigner lentement et discretement de l'arbre pour ne pas etre repéré. Son golem de boue des marrais avais réussi a le sauvé mais si l'autre le ratrappait il allait très probablement le tuer pour de bon.