Quelque part dans la forêt

Après quelque minute, Ralgon revien a lui avec une atroce souffrence au rotule et au main! Il vit un animal et une énorme face qui le regardait dans les yeux!

" Qui êtes vous sale tueur!"

Venant a peine d'être guérit d'une blessure fatale porté par son lèche botte préfféré, Hraant reprenait lentment ses esprits. Ne sachant pas trop ou il était et qui était le hobbit dévoré et l'autre homme, Hraant ne pu s'empèché de hoché la tête pour dire que oui. Aillant reconnu Malgol, Il vallait mieu reprendre des forces rapidement... juste au cas ou.

- Inlul nelgetha a quar’valuk ... Une lumière rouge sombre envelopa le prêtre.

Murmurant dans une langue sombre, légèrement différente de celle qu'il venait de faire entendre,

- Tlu kyon Ky'ostal del faer Olplynir a lil Baine palamur... Une étrange brûme jaune orange sale s'éleva des pied du prêtre et entoura son corp. Soudainement , le Hérophante sembla plus puissant et revigoré. Tout redevien normal après quelque seconde a peine.

- Je.... Vais....je... je vais vraiment..... LUI FAIRE REGRÈTÉ D'ÊTRE NÉ !!!!! Calmant sa monté de colère, il se tourna vers les restants sanglant du hobbit complètement méconnaissable. Pensant que c'était Benny, le prêtre lança une incantation et le hobbit se refferma. Il poussa une petite pleinte et ouvrit les yeux. Hraant s'approcha de lui et le toucha avec son index squelettique... Le corp du petit être se tordi de douleur et toute les personnes a porté de vu entendirent des craquements sinistre venant de lui, tout ses os sembla bougé sous sa nouvelle peau blanche et éclaté sous une étrange puissance.

- Tu vas me payer ça ! Cracha l'homme saint. Regardant le Hobbit prit d'Atroce spasme de souffrance inhumain.

               Un puissant coup de vent passa dans les arbres. Les êtres majestueux de la nature fléchirent sous la force de l'air. L'été tirait à sa fin et déjà plusieurs arbres arboraient les couleurs de l'automne. Les feuilles, passant du rouge au jaune dans toutes les teintes possibles, frémirent. La sève s'étant retiré lentement des branches pour la saison froide, rendait les feuilles sensibles au moindre coup de vent susceptible de les décrocher des arbres. La bourrasque dura au moins une minute entière sans perdre de sa puissance; même qu'elle en gagnait. Puis le vent tomba lentement, les feuilles retenues jusqu'à ce moment, décrochèrent tous en même temps des arbres. Le plus surprenant, c'était que les conifères perdaient leur épine, beaucoup moins que les feuillus, mais quand même plus qu'à l'habitude.

               Pendant que l'immense rideau de feuilles recouvrait le ciel, des nuages noir cendre emportés par le vent arrivèrent patiemment. Les millions de feuilles en suspens dans l'air rendait un spectacle des saisons magnifique. Même pour un être comme le drow qui détestait la surface ou pour une thiefeline qui n'avait qu'une seule pensé en tête; la tombé du feuillage restait une chose très belle. Ils ne purent s'empêcher de regarder le ciel pour voir se grand balais dansant.

               Puis se fût au tours des nuages de faire tomber leur contenu. Lourdement chargé d'innombrable goutte de pluie, ils bougeaient grassement, envahissant toute l'espace disponible dans le ciel. Au loin, tout était noir, pourtant en plein jour et encore dans la saison chaude, il était étrange que de tels nuages s'imposent. Les premières gouttes qui creva le ventre des géant des cieux, tombèrent lourdement sur les êtres présent. Pendant que ces derniers remarquèrent que la pluie étaient noire cendre, et pas limpide comme le voudrait de l'eau pur, tous les nuages qui se retenaient déversèrent leur contenu. La première vague de pluie était très condensé et forte. Ensuite le débit se calma un tout petit peu, mais se fût au tour du vent de revenir. Le vent et la pluie soufflaient les terres du mythall et rien ne laissait à croire qu'ils partiraient de si tôt.


*** Bravo, vous avez tout lu! Maintenant, ce qui se passe ici: le température et telle quelle que dit plus haut = il pleut, il vent, il fait pas chaud. Et ce PARTOUT DANS LA ZONE RP. Pour un temps indéterminé. ***

Benny courra dans la forêt sans prendre de pause. Sa détermination rendait ses capacités physiques et ses sens plus forts. Il sautait par dessus les arbres morts, évita les branches basses, même trop basses pour un hobbit, écouta le moindre bruit suspect, regarda autour pour s'assurer de ne pas se perdre.
Il arriva enfin sur la place et se cacha derrière un arbre, assez loin de la plaine pour ne pas se faire voir. (discrétion +1). Il regarda et vit l'homme en noir tourner autour de son maître. Il vit son maître, vivant, debout. Il ne pourra pas le guérir pour se faire pardonner et lui prouver sa loyauté. Il tentera autre chose... Il fouilla dans son petit sac et sortit des parchemins. Il fouilla dans ceux-ci afin de trouver quelque chose capable de sauver son maître. Ah! Sphère d'Isolement d'Otiluke! Parfait! Il le lancera sur l'homme et s'occupera du chien autrement...
Il pensa à la technique qu'il allait employer...

Lance la sphère sur l'homme et lance ton disque sur le chien dès qu'il s'approche.

Encore cette voix... La même qui lui avait conseillé de tuer son maître. Cette fois, la voix avait visé juste. Il allait tenté cette technique et, en cas d'échec, il foncerait dans la fôret et s'en fuira...

Il s'approcha le plus possible de la scène. Il resta caché derrière les arbres, mais n'était pas aussi discret qu'en forêt. Lorsqu'il fut suffisamment proche, il lança le sphère sur l'homme et attendit le chien, ayant un autre parchemin dans la main droite...

-Kyorl who jal!

Les yeux de Benny s'agrandirent lorsqu'il vit la dague apparaître hors de la sphère. Il n'avait jamais vu quelqu'un se libérer de ce sort aussi aisément. Il doit être très puissant... J'espère qu'il ne me tuera pas...s'était-il dit. Quand Malgol s'était approché, il avait tenté de monter à un arbre mais l'assassin était trop rapide. Il recommença à respirer lorsque l'homme était à bonne distance.

-C'était qui lui, mon seigneur ?

Avant même que Hraant puisse répondre, il se jeta à ses pieds.

-Excusez-moi, mon seigneur! J'ai fait une grosse erreur! Mais je ne voulais pas vous tuer, mon seigneur! Il y a quelque chose qui m'a obligé! Il n'arrête pas de me parler! Aidez-moi! Je suis seul dans ce monde et j'ai besoin de quelqu'un! Vous êtes ma seule espoir, mon seigneur! Je vous promets d'être fidèle jusqu'à ce que je quitte ce mythall!

Il sortit deux dagues et les tendit au prêtre.