Quelque part dans la forêt

Pour les personnages qui ont besoin d'un peu d'intimité ou pour ceux qui n'ont pas le sens de l'orientation et qui se perdent rapidement en forêt...

Le magicien marchait, errant sans but dans la forêt. Son esprit était brouillé. Il avait eu le malheur de touché à un de ces crânes. Heureusement pour lui, personne n'en avait encore profité pour le dépouiller, car sans son esprit, il était moins que rien. Aussi puissant que la petite limace qui traînait sur l'écorce de l'arbre là-bas...

"Mmmm... une limace" se dit-il en l'appercevant, les yeux équarquiller.

Puis, changeant soudainement de direction, il ganbada au travers de la forêt tout en évitant de s'emmêler dans sa robe de mage.

Après plusieurs heures à errer ainsi, il finit par être épuisé et s'endormit sous une pruche. À son réveil, tout était clair. Il comprenait tout maintenant et se rappelait même qui il était ! Il était Valin, un magicien en provenance de Thay. Il était au beau milieu de la forêt recouvrant les ruines d'une ancienne cité elfique. Il était... tout près d'un sombre personnage.

Celui-ci l'observait tranquillement, une mine indéchifrable au visage. Valin lui demanda son nom et il répondit : Rassius.

...

La nuit planait sur la forêt. Les ombres des arbres décharnés avoisinants évoquaient une multitude de damnés étirant dans un ultime effort leur membres flétris vers le ciel dans l'espoir d'atteindre un rayon de lune, comme si la radiance insaisissable de l'astre nocturne pouvait les sortir des ténèbres intangibles qui les consumait. La vision du mage s'ajusta, et il pu d'avantage définir les traits de l'être se tenant devant lui.

L'homme le dévisageait d'un regard stoïque, son oeil gauche totalement dissimulé sous sa longue crinière dorée lui recouvrant la moitié du visage. Il revêtait une armure d'un métal obscur, ornée de lisières faites de ce qui semblait être de l'or blanc. Un coup de vent se fit sentir, et telle d'énormes ailes démoniaques, une grande cape écarlate contrastée de noir s'éleva derrière la silhouette de celui qui se tenait immobile. Au cou de l'homme était attachée une impressionnante cape aux dimensions exagérées. L'intérieur de celle-ci possédait la même teinte que le sang, l'extérieur était d'un noir d'ébène. À l'extrémité inférieure de la cape, ces deux teintes se mélangeaient dans les mouvements chaotiques de lambeaux déchirés originaires des deux épaisseurs de la cape.

Valin capta un son, immédiatement suivi d'un ample mouvement du bras du dénommé Rassius. En l'espace d'un instant, la pointe d'une massive lame de métal s'appuya contre la gorge du mage. La voix du détenteur de l'épée se fit entendre.

-Rassius, tel est mon nom. Et bien sûr, il est d'usage que je te demande le tiens.

Il marqua une pause, et afficha un sourire cynique avant de continuer.

-La politesse avant tout...

Le regard du magicien alla de la lame affutée pointée sur sa gorge au visage de Rassius. Nullement appeuré par cette nouvelle menace, quoique un peu surpris de la vitesse à laquelle la lourde épée a été placé en position, Valin pensa que le sombre personnage en face de lui serait une recrue de choix pour ses propres projets.

Choisissant les mots qu'il prononçait avec soins, il dit :

-Mon nom est Valin Mardoc. Je suis un puissant magicien et je vous somme d'abaisser votre... énorme arme. J'ai une proposition à vous faire. Et avant tout, réfléchissez bien à vos gestes et paroles, car malgré la proximité de votre lame, je pourrais d'un seul mot vous maîtriser à moi seul.

Marquant une brève pause, il continua :

-Êtes-vous près a entendre ce que j'ai à vous proposer ?

En même temps qu'il prononçait ces mots, Valin préparait mentalement ses incantations au cas où la réponse serait déplaisante, quoi qu'il savait pertinament que dans cette position précaire, il s'en faudrait de peu pour qu'il sorte vainqueur d'un combat...

Rassius resta immobile, fixant de son unique oeil découvert le visage de l'impudent mage. Après quelques secondes de délai, sa tête bascula vers l'arrière et il lâcha un ricanement sarcastique. Son rire s'interrompit brusquement, mais sa tête resta figée dans cette étrange posture quelques instants jusqu'à ce qu'il la ramène d'un vif mouvement vers l'avant. Il abaissa sa lame, la ramenant devant lui, et la planta d'un geste sec dans le sol, à distance égale entre le mage et l'homme à la cape. Reprenant son sérieux, il rétorqua à Valin.

-Ton attitude m'impatiente, mage.

La voix de Rassius trahissait un ton des plus arrogants, mais il adopta une tonalité plus calme, presque amusée alors qu'il continuait.

-Tu as cependant réussi à piquer ma curiositer... Quelle est donc cette proposition ?

Fixant Rassius dans les y... l'oeil visible derrière ses cheveux, guettant ses moindres mouvements, Valin inspira et dit :

-J'aimerais tout d'abord mettre en évidence le point suivant : contre ma magie, tu ne peux rien faire et par conséquent tu es à ma merci. Cependant, contre tes coups d'épée, étant fait de chair et de sang comme tous les mortels, je mourrais aussi rapidement que tous les adversaires que tu as déjà pourfendus et par conséquent, je suis aussi à ta merci.

Marquant une brève pause pour inspirer, il continua :

-Je propose que nous associons nos forces, et ce dans le but d'atteindre nos buts commun. Je ne sais quel est le tien et je n'en ai cure. Si c'est de l'or que tu veux, je t'en trouverai. Si c'est du pouvoir, je t'apprendrai les mystères de l'Art. Ou bien si c'est quelque chose que tu dois acquérir toi-même et bien soit : je t'aiderai avec ma magie dans les combats nécessaire.

Désignant du doigt la lourde épée plantée dans le sol, il continua :

-J'ai besoin d'une fine lame de temps à autre, car en cet art, je dois avouer que mes prouesses sont très limitées. Je ne requiert pas non plus ta compagnie auprès de moi à toute heure et en tout temps. Ce que je désire, c'est seulement de savoir que quelque part sur cet île, je pourrais avoir un allié capable de se battre. De plus, j'aurais aussi quelques tâches à t'assigner en temps et lieu.

Laissant le temps à son sombre interlocuteur d'assimiler toutes ses paroles, il finit par dire :

-Je te le demande donc : accepterais-tu que nous collaborions pendant un certain temps (le temps que nos objectifs personnels soient accompli) ? Et surtout, que demanderais-tu en échange, dans le cas où tu accepterais ?

Rassius afficha ouvertement une moue songeuse. Il détourna son regard de celui du mage quelques instants, apparement intéressé par quelque chose d'invisible, haut dans le firmament constellé d'innombrables lueurs. Un air soupçonneux s'afficha sur son visage. Il abaissa les yeux en direction du mage, le jaugeant un instant du regard. Finalement, il se décida à répondre.

-Tu dis être en mesure de m'apprendre à employer les arcanes ?

Valin le toisa un instant, puis dit :

-Tu ne parles pas à n'importe quel magicien de pacotille, ni a un de ces magiciens bornés à un seul domaine de la magie. Étant Généraliste, je peux t'enseigner toutes les écoles de magie qu'il est possible d'apprendre. Il suffit simplement que tu me dises laquelle ou si tu veux faire comme moi et apprendre de tout. Dis moi simplement quel genre de magie tu voudrais apprendre et ensuite, je verrai ce que je peux faire pour toi.

Après une pause pour avaler, il poursuivit :

-Donc, pour répondre à ta question, oui je peux te montrer les secrets de l'Art.

Rassius afficha un large sourire carnassier.

-Entendu...

Il arracha son épée de terre et la rengaina à sa ceinture.

-Je t'accorde mon appui, mage. Tes ennemis seront aussi les miens. Maintenant que nous sommes en de bons termes...

L'homme prit un air intéressé, avançant légèrement la tête vers Valin.

-Il serait de mise que tu me parle de tes projets, comme j'en fais désormais partie.

Valin réfléchit à toute vitesse... "par où commencer ?" Après un instant de réflexion, il lui dit :

-Je ne te dévoilerai pas mes plans au complet, comme je ne m'attend pas à ce que tu me dévoiles les tiens. Cependant, voici la première mission que je te confierai : j'ai besoin de deux artefact magiques et puissants. Malheureusement, je ne sais pas où ils se trouvent et qui les possèdent, ni qui ou quoi en a la garde. Je sais seulement qu'ils sont ici, sur cet île.

Valin prit un instant pour réfléchir, fouillant de ses maigres doigts dans sa courte barbiche rousse.

-Ces artefacts ont pour nom "L'arbre de la vie" et "L'arbre de la mort". Je n'ai pas non plus aucune idée de ce à quoi ils ressemblent. Je suis conscient qu'avec ces informations, il n'est pas possible d'entreprendre une quelconque recherche, mais l'idée que j'avais derrière la tête pour cette tâche serait que nous cherchions chacun de notre côté tout en accomplissant les autres besognes nécessaire à notre survie.
La moindre rumeur ou mieux encore, si tu trouves un écrit ou une gravure du temps où Salleum était encore prospère serait un bon début de piste.

L'homme à l'épée inclina la tête vers la gauche et fronça les sourcils, son oeil braqué vers le vide. Puis, un éclair traversa son regard. Il redressa sur-le-champ sa tête et dévisagea Valin.

-Un forgeron m'a un jour parlé d'un marais recelant nombre d'artefacts. Alors que je m'y suis rendu afin de vérifier la véracité de ses dires, j'ai été apostrophé par des elfes.

Il fut pris de soubresauts qui se déchaînairent en un rire lent et profond.

-Ils m'ont menaçé de mort, mais il était évident qu'ils me craignaient moi plus que l'inverse. Bref... Ils m'ont sommé de quitter leurs territoires, car celui-ci recelait un arbre sacré. Sylv...

Il marqua une pause, fouillant ses souvenirs.

-Sylvanus, si je ne m'abuse. Peut-être cet arbre pourrait être relié à l'un de tes artefacts. Ou encore, s'il ne l'est pas, le simple fait que les marais en question sont supposément jonchés d'artefacts de toutes sortes pourraient être une piste utile.

Affichant un sourire démontrant une espèce d'anticipation, il continua.

-Si tu le désire, je pourrais aller faire une investigation aux marais par moi-même. Dans le cas où les elfes tenteraient quelque chose... Il serait indispensable d'en disposer pour que les recherches continuent.

Un demi sourire se dessina sur le visage de Valin, puis il déclara :

-Intéressant... Va. Fait ce dont tu es capable. Pour ma part, j'ai une autre piste en vue, vers le village. Si jamais tu as besoin de mon aide, prononce la phrase suivante : Taga lil fala faern doer a ussa xxizz.
Et je viendrai le plus vite que mes pouvoirs me le permettent.

Après avoir répété la formule à quelques reprises pour que Rassius la mémorise, ils se séprarèrent, allant chacun de leur côté. Avant qu'ils ne soient hors de vue, Valin cria à Rassius :

-Si tu me rapportes de bonnes nouvelles, je te montrerai alors ton premier sortilège.

Après avoir prononcé ces mots, il s'éloigna, en évitant le plus possible les grandes routes.

Darrick s'arrêta au pied de ce qui s'emblait être un petit champ de pierre, regardant la nouvelle épée du démon Xéormorphix il remarqua qu'elle s'emblait briller... enfin, si quelque chose plus sombre que la nuit pouvait devenir plus noir encore pour ensuite redevenir noir on pourrai dire quelle brille...

- Quesque tu veux toi! Lança t'il à l'épée.

L'épée tira un peu sur l'avant fesant avancer Darrick encore un peu.

- Dacore, dacore, on y va.

Avançant sur une grosse pierre il regarda alentour , s'assurant qu'il ne pourrai être dérenger. Puis il planta l'épée dans le rock jusca la garde.

-Ton heure a sonné, revien parmi nous chevalier, que ta gloire d'autrefois ressurgisse, que ton bras ce lève encore une fois pour tuer les mécréants qui on ossé ce dresser sur le chemin du Grand. Que ta voie se mèle encore aux crie des victorieux!

Une éclaire tomba directement sur l'épée enfoncer dans la pierre et une voie résonna.... comme un rire ... celui d'un fou... Une silhouète sombre apparu soudain devant darrick.

-Je suis le chevalier Thorann, et je suis sous tes ordres.

Un sourire immence étira les trais dur de Darrick. dans la nuit on pouvait voir briller un médaillon en argent autour du cout de sieur Thorann.

Après avoir donné ses ordres au sieur Thorann, Darrick prit congé du chevalier et commença a repartir pour une autre mission.

- OOOoo - De la chair ffraaaiiiccchhheee mmmmmm -OOooo

-OOoo - Je savais bien que la lumière aveuglante tomber du ciel nous révèlerais quelque chose mmmmmmm -OOOooo-

Sursautant Darrick ce retourna...... pas assé vite pour éviter une force inconue qui l'envoya valser 4 mètre plus loin. Étourdi et a demi assomer Darrick ne vu pas grand chose mais senti comme des pointes de métal en fusion rentré dans sa tête aussito qu'une chose lut toucher. Le cri que poussa Darrick glaça le sang de toute les créatures du Mythall même ceux qui avaient le sang froid.

Renfoncé dans la forêt, Sillyra recherchait toujours son déjeuner. Malheureusement, aucun animal en vue. Lorsquelle se retourna son petit famillier, lui, portait une souris à la bouche pour lui offrir à manger. Elle pris la petite créature que lui offrait son familler, puis dit:

-Une souris! Comment pourai-je m'enlever la faim avec une simple souris!

Elle se pencha, puis carressa la tête à son petit animal pour le remercier...

-Je vais le ramener au campement, le faire cuire pour te l'offrir, cette petite créature ne nourrira jamais deux femmes affamées!

Un craquement se fit entendre non loin d'eux. Sillyra se releva, afin de constater que non loin d'eux se tenait un chevreuil gigantesse, de quoi nourrir une armé d'homme. Elle se cacha derrière l'arbre qui était tout près d'elle, puis fit signe à son petite animal d'attaquer, Elle se raprocha de l'animal discretement, mais aussi rapidement, afin de ne pas le laisser s'enfuire, puis sauta sur l'animal, afin de l'abattre...

Lelldorin se promenait calmement dans la forêt, encore une fois perdu dans ses pensées, à la recherche de réponses à ses questions, lesquelles, pensait-il, pouvaient sûrement être découvertes si l'on écoutait attentivement la forêt. Quelques bruits de tuerie se firent entendre à l'ouest du talus où il se trouvait. L'elfe retrouva soudainement contact avec la réalité et décida d'aller voir ce qui se passait. Arrivé à quelques dizaines de mètres de la source des bruits, il avisa finalement une elfe, qui était en train d'abattre un gigantesque chevreuil. Son estomac gronda soudainement et une idée fusa dans sa tête. Il s'éloigna vers le nord d'où était la chasseuse, plaça du bois en tipi, sur un sol plat et dit:

-Chath!

Ce simple mot suffit à faire allumer une flamme et faire un bon feu. Le feu s'agrandit ensuite constamment jusqu'à devenir grand d'un bon mètre. Il appela ensuite l'elfe qui tuait le chevreuil par télépathie:

-Apportez le chevreuil et dirigez-vous vers le nord où vous trouverez un elfe assis près d'un feu.

Lelldorin, coupant la conversation, alla chercher une bûche et s'assit près de la source de chaleur, attendant l'elfe.

La bête maintenant par terre, Sillyra entendi les paroles de l'elfe dans sa tête. Elle les écouta, puis lui répondi:

-Très bien je saurai vous trouvez, laissez moi un moment je vais couper mon chevreuil et je viendrai vous rejoindre...

Sillyra se pencha près de la bête, puis coupa l'animal...

Les heures coulaient, puis l'elfe fini enfin son travail. Elle se dirigea ensuite vers le nord comme l'avait dit l'elfe, quelques heures plus tôt. Elle arriva derrière l'homme elfe, toujours assis près du feu. On pouvait a peine voir Sillyra sous les tonnes de viandes et de peau de chevreuil, puis enfin son petit animal suivait toujours Sillyra derrière elle couvert de sang...

-Je ne resterai pas avec vous, je doit retourner à mon campement rejoindre Merryl, mais venez donc, je vous donnerai un oeil pour vous enlever cette faim!

Sur ces mots Sillyra se mit a rire, puis repartie vers le campement...

Dans la forêts, les oiseaux chantais comme d'habitude, les écureuille et les autre animaux fesait comme a l'habitude quand tout a coup plus un bruit ne ce fit entendre les animaux ce turent sibitement.... Seule le vent lucubre et froid restait encore visible dans les arbres.
Une brume étrange et noir commensa a tourbillonner sur le sol et a prendre une étrenge forme humaine dépourvu de visage, Poussant un horrible hurlement a faire glasser le sang dans les veinne, la créature parti laissant derrière elle une végétation mort et complètement noir. Les voyageurs qui passèrent par la par la suite virent en plus de la végétation morte tous les petits animaux de la forêts....Complètement vidé d'énergie vital.

cela fesais deja longtemps que Nyhm marchais dans la foret sans s'en rendre compte..il étais totalement omnibulé par la liche..essayant de décrouvrir son identité...ainsi que comment la détruire pourtant c'est beacoup plus compliqué que s'en a l'air..si le gnome n'aurais point été perdu dans ses pensée il ne se serait jamais aventuré aussi loin dans la foret..puisque les gnome n'ont pas un tres bon sens de l'orientation pour ne pas dire qu'ils en ont aucun..du moins en foret..le gnome heurta alorsune branche qui étais exactement a la meme hauteur que sa tete..il n'eut pas le temps de l'éviter..cela le fit sortir de ses pensée...apres avoir repris ses esprit..le gnome se rendit compte qu'il s'étais perdu..ne sachant ou allé il décida de feu énorme.esprérant avertir les autres que quelqu'un étais la bas....ramassant les plus grosse branche qu'il pouvais trouvé..et qu'il pouvais transporté..il fit un énorme tas .. vérifiant si l'endroit étais prospice pour un telle feu,il réalisa bien vite que oui..
Prenant une bonne poignée de poudre magique..il prononca clairement:

Chath!

ces mots eurent pour effet d'enflammer la poudre magique , que le gnome lanca aussitot sur le feu,qui s'enflamma aussitot,le feu étais énorme..un bonne dizaine de personne aurais pu s'assoir autour ..mais le gnome avais crée un feu aussi énorme pour que les protecteur de la foret,ou n'importe qui qui étais capable de l'aider, sois alertée pas la fummée..ainsi il pourrai peut-etre leurs demander de l'aide pour retrouver son chemin..du moins il l'espérait..se fut alors qu'il entendit des pas derriere lui..n'étant pas capable de dire s'il s'agissait d'un animal ou d'un homme il se retourna incanta en meme temps que ca mains droite fit un grand cercle,et traca une ligne en diagonale qui parti a l'extérieure du cercle de droit a gauche,s'arretant au millieu pour désigner la cible.:

Naust Z'hin!

**HG: Immobilisation Personne,tu peut bouger mais pas a plus de 1m de ou tu étais : ) si personne rejoin et bien je vais faire comme si c'étais un animal qui m'avais surpris..: ) **

Amëlia s'était renfoncé dans la forêt, toujours à la recherche d'un repas. Les fruits se fesaient rare à se temps de l'année. Plusieurs heures s'écoula avant qu'elle appercoive un arbre fruité. Apparament un pommier. L'elfe cueilla plusieurs fruits, puis lorsqu'elle tourna son regard elle apperçu une lumiere au loin. Elle arrêta sa cueillette pour se rapprocher de la lumière discretement. Arriver derrière un arbre elle remarqua un petit être dos à elle, puis celui-ci se retourna et l'elfe se figea sur place.

-Usstan ply usaerth lil faer pholor dossta!

L'elfe continua à avancer vers l'être qu'elle pu reconnaitre.

-Ah! C'est vous! Bonjour!

Amëlia sembla étonné de voir le Gnome aussi renfoncer dans la forêt...

Le gnome parut légerement surpris de voire amélia mais il se reprit bien rapidement..

Désolé de vous avoir attaquer..je croyais avoire affaire a une personne nuisible..mais je vois que vous etes capable de me contrer asser facilement .. ne vous demendez pas pourquoi je suis ici..je me suis égaré et j'ai cru que faire un feu serais le meilleur moyen a me faire repéré,on dirait que j'avais raison

une expression de surprise et un peu de terreur apparut, mais le gnome se ressaisit bien vite et prononca a haute voix:

Huelal Del Ussa !

A La suite de ce sortilege, 7 image du gnome apparurent,reproduisant parfaitement sont geste ainsi que ces paroles.

Amélia,la liche,préparez vos sortilege,pendant ce temps je l'occuperais, en lui posant quelque question

A la fin de ces paroles le gnome sortit deux fiole de sa trousse,une qu'il but et une autre qu'il garda en mains.Se tournant vers la liche,il commenca a lui parler d'un ton calme et autoritaire..bien qu'il aigu

Liche..Liche..je te laisse la vie sauve,a une seule condition,quitte ces terres et tu pourra vivre,reste sur ces terres et ta mort sera certaine..cette fiole dans ma main me permet de te chasser..a jamais? je ne crois pas , ni pour tres bien longtemps.mais je recommencerais l'expériance jusqu'a temps que tu comprennes que j'en connais bien plus que tu peut le croire,mes recherches sont sur le point de me dire comment te vaincre a jamais,bien que la tache ne se finiras pas la,mais le résultat final sera ta mort,si tu veut garder la vie sauve,quitte ces terres a jamais, et je te donne ma parole que je ne te pourchasserais pas mais revient en ces terres et mon seul unique but sera ton annéantissement..tien toi le pour dit..maintenant a toi de choisir,mourir ou vivre.

le gnome étais pret, au moindre signe d'aggrésivité il allais lancé sa fiole sur la liche..il savais qu'il ne la vaincrerais pas ayant mainte fois remarqué que la liche revenait toujours,meme apres avoir été vaincu..mais Nyhm serait pret et répeterrais cette expériance..tant qu'il n'aurait pas percé le secret de la liche..

Lorsqu'Amëlia vis les images miroir apparraitre, elle fut surprise de l'intession du gnome. Puis, un grand frisson traverssa le corp de l'elfe. Un être mauvais approchait...

-Usstan inbal uss ky'ov'aer qua'laen jal! (Sanctuaire)

Amëlia s'avait très bien à qui elle aurait affaire. La liche était l'une de ses pire enemis. L'elfe serra les dents, puis se retourna vers le gnome qui s'éloignait dans le bois vers la liche. Elle le rejoignit...

Le rictus de la liche s'accentua. Elle répondit d'une voix déchiré par le trépas.

-Pauvres mortels imbéciles! Vous n'avez toujours pas compris?! C'est la Mort elle-même qui est venu revendiquer ces terres. Nul ne pourra empêcher l'inéluctable, même pas toi, petit gnome futile.

Azraël le Réprouvé allait lever sa griffe lorsque l'elfe arriva. Il se mit à émettre un rire gutural en voyant arriver la prêtresse.

-Tient, si ce n'est pas Amélia. Je suis quelque peu étonné de voir que tu es encore en vie, ta fin ne saurait tarder. Il s'adressa aux deux. Votre vaine magie est inutile face à celle de la Non-vie. Craignez l'Oscur. Soyez mien, et je vous accorderai la vie éternelle. Ou sinon périssez et vous connaitrerez le véritable sens du mot soufrance!