Église

Paladin de Heaum et guerrier accompli, Mahtias gardait fidèlement l'église de Mythall.

"L'église de Salleum" se répètait-il.

Mais il s'était résolu à abandonner le nom de l'ancienne cité. Désormais, cet endroit va s'appeller Mythall. Quoi que la provenence de ce nom lui paraîssait assez flou.

Il commençait à faire nuit et pas âme qui vive dans les parages. Le paladin ou le moine qui devait le remplacer tardait un peu trop à son goût, mais il savait que c'était sûrement pour une bonne raison.

"Je vais bientôt devoir aller faire ma prière pour remercier Heaum de m'avoir garder en vie si longtemps malgré mes nombreuses bataille".

Après un moment, il commença a s'entraîner avec son arme sur un arbre en attendant l'heureux élus qui le remplacerait durant la nuit. Il fit tournoyer sa double lame avec adresse, frappant en haut avec l'une, puis en bas tout de suite avec l'autre, enchaînant coups d'estoc et autres coups du plus de direction différentes possible, tranchant l'arbre qu'il prennait pour cible.

Il attendait, attendait...

Mathias s'arrêta en entendant la voix qu'il jugeait amicale. Il se retourna pour apercevoir un personnage de taille moyenne, mais qui, additionné de son chapeau pointu, devenait soudain très grand.

Soyez le bienvenu à l'église de Mythall, monsieur. Bien que normalement je ne répond pas à toutes les questions des passants, je me ferai un plaisir de répondre aux vôtres, puisque les passants se font rares de ces temps-ci.

Il rassembla ses idées dans son esprit, inspira et commença :

Cette église a été construite par des gens de tout alignement et toute divinité. Plusieurs prêtres, paladin et moines y ont veillé. Et puisque les différents cultes ne sont pas spécialement en accord les uns avec les autres concernant les idéaux de la décoration et de la disposition des lieux, il fallait que quelqu'un protège ces lieux saints des querelles qui auraient tôt fait d'éclater croyez moi.

Cette église est donc tout a fait neutre et on peut y prier le dieux que l'on veut. Tout les éléments essentiels et les documents pour conduire des messes et des rituels dévoués aux divers dieux et déesses y sont rassemblés.

Il prit une courte pause et continua, se pointant du doigt :

Étant paladin de Heaum, le Dieu des Gardiens, je fais en ce moment même le premier tour de garde pour protéger les lieux saints de nos dieux à tous. Mais ne croyez pas que je suis là de mon plein gré tout de même, car j'assiste souvent à des rituels démoniaques et des sacrifice inhumain, sans même pouvoir y faire quoi que ce soit.
Un puissant enchantement m'empêche d'agir contre toute personne désirant utiliser l'église à des fins religieuses, mais me protège aussi contre tout ennemi désirant causer la destruction et la discorde en ces lieux.

Une nouvelle pause, cette fois pour déglutir, puis il ajouta :

Je suis le gardien de ces lieux. Mathias, paladin de Heaum. Dites-moi maintenant monsieur, comment puis-je vous servir. Désirez-vous prier une divinité en particulier ? Ou avez-vous d'autres question pour moi ?

Sur ces dernìères paroles, les yeux de Miltiades s'étaient illuminés d'une lumière bleu surnaturel et sa voix avait prit une intonation monocorde et sans expression. De toute évidence, il avait perdu le contrôle de son corps et une puissante entité ou puissance magique quelconque en avait prit possession.

Puis plus rien ne sortit de la bouche du paladin. Il attendait évidemment une réponse de la part de l'homme au chapeau pointu.

*Val Regardais le protecteur et serviteur de heaum, avec de sgrand yeux remplie d'amiration par la puissance magique qui découler de lui, qui est celon toute téorie magique hors-norme a un paladin*

-Bien he....*toussa du a la fumé de sa pip*...Bien, je suis agréablement surprit et trés mécontent de voire cela, un temple a la foie bénie est maudie! Celon moi, sa ne peu marcher et je suis totalement contre cela.
MAis plutot que de faire la guerre a une puissance x qui est en s'ets lieux, j'aimerais bien mieux la connaitre....

*Laive soudainement les mains dans les aires en fesant de drole de salut, il avais tout les allures d'une personne qui avais oublier d'être polie*

....Pardont je me suis pas trés bine présenté, Je Suis Val, Maître de la Magie de Mystra, donque sont prêtre et serviteur du bien absolue, ennemie du mal, pour être plus simple et protecteur de la magie.

MAis, si réellement il y a dans se temple maudie, des écritures ou des informations ou des objets consacrée pour ma très cher déesse, j'aimerais les consultées et les ameners avec moi, celon moi aucun objet de mystra ne devrais être dans un temple maudie et j'irais moi maime batire une autelle en sont nom et pour elle. Vous me comprenais, allor aller vous m'aider?

Une voix se fit entendre par les 2 messieurs : «Désolé, mes chers, mais c'est presque la nuit.»

Soudain , sorti de nulpart (comme toujours), Morbis apparu et dit: «Et vous savez ce que cela veux dire. Donc Monsieur le....» Morbis regarda de haut en bas et de bas en haut Mathias et continua : »Chevalier, vous pouvez y aller. Et dites à vous hommes de ne pas trop rôder dans le coin, car ils pourraient soudain...ummm....disparaître, si je puis dire. Donc merci, mais je prend en charge l'église.»

Il fit en même ensuite un signe d'une main voulant dire de partir.

«Et dernière chose, veuillez s'il vous plait, par pitié, amener votre compagnon avec vous.»

Puis il s'accota sur l'église

*Val regardais le moine avec une profonde intrique, il n'estait pas stupide il se doutais bien de se que voulais dire le moine*

Val- Qui êter vous ?, pourquois êter vous si lugubre au font de vous, vous alers perdre votre âme au profie des démons, t'elle est votre désire?

Morbis approcha tranquillement vers le mage et lui dit
«Ma seul et unique requête est d'atteindre se que l'on pourrait nommé, l'ultime perfection. Et si le moyen pour y arriver est de laisser mon âme au main d'êtres et de créatures point appriciés par de pauvre gens tel que vous, et bien, que voulez vous que j'y fasse, ma destiné est déjà tracé et ce depuis bien plus longtemps que vous ne pouvez le pensez mon cher»

Puis il se retourna vers Mathias en disant:
Voyez, c'est une des quelques raisons pourquoi je n'aprécie pas les mages, il pose trop de question. Voir si cela changerait réellement quelque chose. ahahah!! Il me font rire....mais bon....Au revoir messieurs!

Il rentra dans ensuite dans l'église

*Val regardé avec attanrion le moine, le visage triste devant s'ets être corumput*

Val qui dit a mathias- Il a choisie sont chemint, il aura prit le mauvais, face que ma foie puisse l'éclairé. Que s'est pas plutot que remplie de noirseure se remplisse de bonté. Paix en sont n'âme.

*val qui marchais en direction oposé de l'église au coté de mathias dit une dernier parole*

Val- Trés triste, qu'il devra mourire, pour sont choit. Que Mystra nous guide de sont savoir!

En voyant le guerrier qui entra si brusquement dans l'église, Valin sursauta quelque peu. Il vit à peine le mouvement de l'homme qui s'acharnait a soigner ses brûlures lorsqu'il fit basculer sa double lame.

-Ne vous fatiguez-pas ! Je le connais. Dit le mage à l'homme à la double lame.

Retournant son calme, il se retourna vers le dénommé Rassius et leur regard se croisèrent. Il n'en fallu pas longtemps pour que Valin rompt le contact en baissant les yeux vers le sol. Il prit une longue inspiration et lui dit :

-Je me suis laissé dire que je vous doit la vie... (une pause). Je ne suis pas du genre à être des plus gratifiant, mais je dois admettre que sans votre intervention, plusieurs de mes projets... disons... n'aurait pas la chance de voir le jour. En outre, je suis sûr que de votre côté, comme du miens, vous n'êtes pas non plus enclin à offrir des services "bénévolement".

Il savait pertinement se qui allait suivre et il le redoutait un peu. Cependant, il avait déjà réfléchi à la façon dont il allait pouvoir tirer avantage de cet élément.

-Alors, soyez bref ! Dites moi quel sera le prix de cette action héroïque, quoique nécessaire de mon point de vue, qui est de m'avoir sauver la vie ?

Il attendit la réponse, qui ne se ferait sûrement pas tarder...

Rassius laissa échapper un rire sardonique.

-Tu sais très bien ce que je veux, Valin.

Il s'approchait du mage d'une démarche vaguement animale, rappelant celle de la panthère s'avançant lentement vers sa proie. Les yeux du guerrier brillaient d'une intensité malsaine, et la commissure de ses lèvres laissait entrevoir ses canines. Ses cheveux, en bagaille mais néanmoins disposés de façon à dissimuler son oeil gauche, restaient immobiles tant les pas que l'homme faisait étaient feutrés et calculés.

Après une longue pause (h.g. désolé du contretemps) pour songer a la tournure des évènements, Valin dit en regardant vaguement dans la direction de Rassius :

-C'est d'accord... mais il faut nous réfugier a un endroit où nous sommes sur et certains de ne pas être dérangé ou espionné. Suivez moi... je connais un endroit.

Et en titubant légèrement, il entreprit de sortir de l'église. "La marche va être longue..." se dit-il. Puis, il se mit en route en direction d'une clairière isolée tout près des frontières, où il avait précédement monté un campement pour la nuit.

La route était longue et il était sûr que personne ne les dérangerais là-bas, ormis quelques individus égarés qu'il serait facile de tenir à l'écart.

Un homme portant une veste de cuir brune, une cape noire et des bottes de cuir approchait de l'église. Il avait un bouclier et une lame courbe dans le dos, et portait une épée deux mains dans un fourreau à la ceinture. Il était accompagné par un guerrier, son compagnon d'armes. Une aura de bienveillance l'entourait, comme le ferait un manteau.

**Au village, on m'avait bien dit de venir jusque ici. C'est bizarre, j'ai eu l'impression qu'on tentait de me rouler.** pensa-t-il.

Il s'approcha de la porte de l'église. Il se tourna alors vers son compagnon.

"Alors Dendrath, qu'est-ce que tu en penses ? On entres, ou tu crains un piège ?" demanda-t-il.

Dendrath, l'air relativement détendu, regarda à travers la fente de la porte de l'église, puis répondit.

"Si tu as choisi d'honorer la demande de l'homme du village, Barkanos, c'est que nous devrions entrer. Cependant, il y a des gens en mouvement à l'intérieur, d'après ce que j'y ai observé, alors garde ta main près de ta garde au cas ou..."

Le dénommé Barkanos acquiesca avec un soupçon d'incertitude. Dendrath posa sa main sur la garde d'une de ses épées et poussa lentement la porte de l'autre.

La porte s'ouvrit en grinçant. L'église semblait plus calme que tout à l'heure, alors que Barkanos avait entendu un cri. Ce dernier fit une rapide prière à Heaum et entra en dégaignant son épée courbe.

"Est-ce qu'il y a quelqu'un?" demanda-t-il, craignant que le silence ne cache un danger.

Après quelques secondes sans réponse, il décida de rengainer son arme, pour ne pas avoir l'air bélliqueux.

L'atmosphère de l'église devena, soudainement, invitante et chaleureuse, à vrai dire, il était désormait plaisant d'y rentrer.

Barkanos put voir en entrant qu'il n'y avait finalement qu'une seul et unique personne dans l'église, au fin fond de la pièce, cette homme fesais parcontre un total contraste à l'ambiance de la pièce ensoleiller, étant chaleureuse et invitant, lui étant sombre, froid et du genre à donner des frisson dans le dos.

Ce fut Dendrath qui s'avanca le premier à l'intérieur du sanctuaire, vers la silhouette inquiétante qui se dressait dans la lumière. Il avancait lentement, prudement, en gardant la main près de sa garde (tout simplement la laisser dessus aurait été une provocation inutile). Barkanos et lui n'étaient pas venus pour se battre, après tout.

"Salutations, étranger. Nous avons été envoyés en ces lieux par un homme du village. Je me nomme Dendrath, et voiçi à la porte mon compagnon, Barkanos. Êtes-vous celui à qui nous devions nous adresser?"

Pour ainsi révéler leurs noms aux ténèbres, il devait être soit fou, soit sûr de lui.

L'homme se leva tranquillement la tête pour observer le visage des deux disciple de heaum et lui répondit par la suite:

«Cela dépend de la raison de votre venu et de qui est celui qui vous a envoyé en ces lieux.»

Barkanos s'avança à son tour dans l'église, en direction du mystérieux personnage. Il avait rengainé son épée, mais se tenait prêt à la dégaigner si la situation venait à empirer.

- Nous sommes arrivés au village voilà très peu de temps. Un homme nous a accueillit à l'entrée du village. Il nous a demandé nos noms, ainsi que le dieu que nous servions. Il nous a ensuite dit que l'église avait besoin de protection de temps en temps. Sans vouloir nous en dire plus, il nous a envoyé dans la direction de ce lieu.

Il fit une pause quelques instants, pour voir la réaction de l'autre. N'en voyant aucune, il se décida à continuer.

- Il nous a aussi parlé d'un enchantement entourant l'église, mais il n'a pas précisé sa nature. Peut-être pourriez-vous nous éclairer à ce sujet, ainsi qu'à propos de la fondation de cette église...

Avec un ton calme, l'homme dit:

«Cet homme vous à parlé d'un enchantement, vous dite? et bien, c'est fort intéressant. Et pour ce qui est de la fondation de cette église et bien, comme dire, certain gens ont demander un lieu tranquille et pésible pour prier en paix, donc voilà la raison d'être de ce lieu. Il y a quand même quelques querelle, car certains dissent que cette église leur apartien, et tente de ce l'appropirier, c'est probablement pour cette raison que vous avez été envoyer en ce lieu.»

Il changea brusquement d'humeur et dit froidement:

«Mais bon, pour ma part, je me fou de ses minables, ils n'ont toujours pas compris que cette église est mienne et qu'il ne l'auront j'aimait pour eux seul. Ils peuvent toujours tenter de me la prendre, mais c'est cause perdu.»

Barkanos ressentit rapidement le changement de comportement de l'occupant de l'église.

**Je dois le calmer avant qu'il nous attaque, ou sinon cela risque de mal tourner...** pensa-t-il.

Il prit quelques secondes pour réfléchir à ce qu'il pouvait dire, et prit sa décision.

- Soyez assuré que nous n'avons aucunement l'intention de nous battre avec vous. Nous voulions seulement visiter l'église et en apprendre plus sur cet endroit mystique.

Il prit une pause, le temps de sonder la réaction de son interlocuteur. Toujours rien.

- Dites-le moi si je suis indiscret, mais pourquoi désirez-vous garder cette église pour vous seul ?

«Car, personne ici, apart moi, n'est digne de s'en occuper, du moins, pour l'instant.»

- Qu'est-ce qui fait que personne n'en est digne ?