L'arbre de Sylvanus

Un ciel bleu, des oiseaux qui chante, le vent dans les arbres, le doux glissement des éguilles de pin sur la peau, l'odeur de la forêt entêtente, un écureuil qui cour, l'eau qui coule lentement du ruiseau au marrai, une branche qui craque, tout est magnifique, silencieux. Le language de la forêts étais sans faille... Merveilleuse. Une grenouille qui lance un crit, un moustique qui ce fait manger par une petite mésange, le bruit des insectes qui bouge lentement sous la terre noir et fertile, le grognement d'un zombi....LE GROGNEMENT D'UN ZOMBI???? Adar revain de ça méditation avec force et regarda autour de lui. Soudain un autre grognement ce fit entendre et le vacarme d'une bataille peu de temps après.

Adar ce leva d'un bon et dégaina son épée elfique. Un bruit sourd ce fit entendre derrière lui et d'un bon l'elfe évita une main griffu et dépourvu de chair. Instinctivement, il trancha le bras d'un mouvement et d'un dernier moulinet du poignet coupa net la tête du monstre. Adar scruta les allentours mais ne vit rien près de lui, alors il fonça vers les bruit de bataille.

Le voyage ce passa comme il le pensait... très désagréable. Une panoplie de couleurs aveuglantes défila devant l'elfe et la nausé ne fut pas longue a attendre avant de ce jouindre a la partie. Quelque éclaire vert, or, argenté et rouge dansa devant ses yeux avant d'explosé dans ça tête en une arc-en-ciel de couleur douloureuse. Puis, l'elfe atterrie sur une surface dur et légèrement odorante, un tapis de feuille morte et d'éguille de pin. Après toute ses couleurs dans le portail, le monde réel semblait terne et sombre, comme si c'était la nuit. Et c'était le cas... Adar essailla de bougé du sol froid mais aucun de ses muscle ne lui répondait. Il était aussi mou qu'un poisson sans arrêtes.

'' Malédiction, j'ai trop attendu avant de passé le portail. Mes forces mon complètement abandonné. j'espère simplement qu'Amélia est encore dans le coin. ''

Face contre terre et dans l'impocibiliter de bougé, L'Archi-druide attendait.

-Adarrrr! S’écria
l’elfe en dévalisant la pente qui ramenait au vieille arbre.


Elle se
laissa tomber à genou tout près de l’homme elfe. Amëlia regarda le ciel sombre,
puis à nouveau Adar avant de se mettre à prier doucement : (Elle serra la
main et ferma les yeux)


-Cher dieu
de la guérison, entend ma prière et vient moi en aide. Aidez-moi à soigner cet
être qui m’est venu de nombreuse fois en aide. Il ne mérite pas une telle
tragédie…


L’elfe
déposa une main légère sur le torse d’Adar, puis une lumière blanchâtre apparu
dans le corps de celui-ci. (Restauration suprême, soigne les pertes d’énergie)
L’elfe ouvra ses yeux brillants, afin d’observer si le sort avait fait effet.
Tous semblait en ordre, elle dénoua sa cape de son cou, afin d’habriller son
amis. La nuit tombait elle se dit qu’il valait mieux qu’il prenne un peu de
repos. L’elfe alla chercher du bois, puis partie un petit feu devant lequel
elle s’assisa.

Adar ce senti retourné sur le dos et soudainement une vague de chaleur entra en lui. Elle était appaissante, regénératrice et merveilleusement agréable. Il ouvrit les yeux pour ce retrouver devant le beau visage si familier de la prêtresse. Alors qu'il allait la remercier de l'avoir guéri...encore une fois... il apperçut le feu non loin et sursauta involontairement et recula. Et il fit la pir des idioties, il leva les yeux au ciel et la vit. Autrefois merveilleuse et enchanteresse, elle était devenu synonime de mauvais présages. Aussi blanche que la perfection, elle était maintenant aveuglante et désagréable. La lune... la plienne lune.

L'elfe senti une douleur familière a la poitrine qui se propagea rapidement au reste de son corp. La malédiction étais déja trop avancer pour la retenir. Il essailla de s'éloigné le plus possible de le grande prêtresse mais la douleur lui fit perdre l'équillibre et il retomba au sol. D'étrange flottement sous le tissu de ça veste ne présageai rien de bon.

-Amélia! Partez... vite!!!!

Et le vide tomba sur la raison. Le blanc devient noir, le ciel devient rouge. L'elfe devient ça proit.

Amëlia s’aperçu qu’Adar s’était réveiller, elle le salua avant
de se rendre compte qu’il semblait s’inquiété. L’elfe s’approcha de son amis,
afin d’identifier le problème, mais elle se rendit vite compte qu’elle ne
pouvait rien pour lui, puisque le problème s’était lui. En prenant le bras de l’elfe
elle remarqua qu’il semblait différent, des poils que normalement n’y était
pas, avait poussé. Adar tremblait énormément. Ses yeux étaient maintenant aussi
ronds que la lune. Elle fit un pas en arrière avant qu’il lui ordonner de s’en
aller. Elle ne voulait pas le laisser à un triste sort, mais elle conclut que
pour sa vie, elle devait fuir et rapidement.


-Adar. Je suis désolé….


Sur ses mots elle partit en courant vers le marais et si enfonça
le plus rapidement que possible…

Au plus profond de la nuit, Les habitants du Mythall entendirent le hurlement de la bête que tous avait entendu au moin une fois.

- AAAAAAahhhhhhhhOOUUUUUUUUUUUUUuuuuu!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

La chasse étais ouverte. Le loup-garou parti a la suite de la prêtresse.

** H-J : Je récapitule ce qui est arrivé au dernier GN afin que la suite fasse du sens **

Deux mois plus tard des derniers évènements, un groupe de six personnes s'étaient réunis en cet endroit. Pour les certains qui semblaient les connaître, il s'agissait de deux femmes et de quatres hommes. Une des femmes s'agissait également de l'elfe qui était présente à ce même endroit deux mois auparavant. Avec elle se trouvait un homme à la carrure plus grande que le reste, habillé d'un habit de paysan à sa droite, et à sa gauche se trouvait également un homme en armure de mailles un peu rouillée. Ce groupe était accompagné par deux druides, la femme druidesse semblait bien connaître l'elfe qui était au centre du groupe. Un autre homme habillé de noir et à l'épée à deux mains se tenait un peu à l'écart, observateur.

Amëlia, Hector, Korion, Leïla, Syrus et Marcus étaient tous réunis autour de l'arbre de Sylvanus, grand arbre aux années incalculables, vénérés par tous les druides à des milles à la ronde. Certains d'entre eux semblaient plus nerveux que les autres.

- Nous devons prier à Sylvanus afin qu'il puisse nous pardonner de sacrilèger cet endroit, expliqua Leïla aux autres du groupe.

Elle s'agenouilla devant l'arbre et commença à prier à Sylvanus, dieu incontesté de la Nature et de la Faune. L'autre druide fit pareil, un peu plus à sa gauche. Il s'écoula quelques instants, pendant que les autres les observaient.

L'homme à l'armure semblait vraiment nerveux, voir inquiet. Il regardait de gauche à droite, cherchant quelque chose ou quelqu'un. Il passa derrière la seule elfe du groupe afin d'aller de l'autre côté.

Il s'arrêta au milieu de l'exercice et s'approcha de l'oreille d'Amëlia.

- Je suis désolé, Amëlia... dit-il d'un ton de tristesse.

Marcus l'agrippa, la tenant de ses deux bras. La magie qui entourèrent les deux protagonistes tombèrent d'un coup, laissant l'elfe sans défense devant le prêtre, dont une larme coulait sur sa joue. Hector et Korion étaient sous le choc devant l'action qui se passait. Les druides, quant à eux, se levèrent d'un trait et s'approcha d'Amëlia. La femme prit la dague qu'Amëlia possédait à sa taille. Elle l'apposa à son cou.

- Je suis tellement désolé Amëlia, je ne veux pas qu'il t'arrive du mal...

- NOONNNN !! LÂCHEZ-MOI, PAR PITIÉ !!

- Je t'aime, on se reverra...

Le couteau glissa dans la chair fraîche de l'elfe. Le sang chaud gicla un peu dans le visage de la druide. Il coulait sur les mains de Marcus. La prêtresse de la vie s'agrippa la gorge pour empêcher l'hémorragie mais il était déjà trop tard.

Son corps se ramollisant peu à peu, Marcus et Amëlia tomba à la renverse. Le prêtre de Heaume la tenait toujours, la larme coulant sur la joue. Elle était encore là.

- Hector, c'est à ton tour. Débarrasses-nous de cette pourriture de Myrkani, s'exclama Leïla, la larme sous l'oeil.

Le prêtre de Séluné fut ébranlé de son corps en entier. Son frère avait aider à l'assassinat d'Amëlia, et maintenant lui demandait de l'aider.

- Je t'en prie, frère... Bénis-là, renvoies-la d'où elle vient, je t'en supplie, pleura Marcus.

Hector n'a pas pris beaucoup de temps pour réfléchir. Il s'agenouilla devant le cadavre chaud de l'elfe afin de la bénir à l'Astre d'Argent.

- OH SÉLUNÉ ! VIERGE LUNAIRE ! ENTENDS NOS PRIÈRES, ENTENDS NOS [...]

** Un rituel plus tard, je sais je suis vedge pour raconter tout ça en détail **

- C'est à toi, grand frère. Ramènes-la nous, s'exclama Hector à Marcus.

Marcus était toujours dans la même position qu'il était au départ de la cérémonie. Une fleur à trois feuilles et à trois pétales dans les cheveux d'Amëlia qu'il avait apposé, il pleurait encore la perte d'Amëlia. Jamais il n'oublierai combien elle a été pour lui.

Le paladin releva la tête vers Hector. Il le regarda droit dans les yeux, l'un bruns, l'autre d'un bleu écarlate.

- J'y vais frère.

Marcus ferma les yeux quelques instants. Il fit le vide dans son esprit. Le vent soufflait un peu, le soleil était presque couché. Il devait réussir.

******

Il les réouvrit et vit un épais brouillard. Il était debout, sans armure et sans armes, dans une toge beige. Des formes translucides passaient ça et là. Le prêtre ne s'en souciait guère. Il cherchait Amëlia.

Elle n'était pas loin de là. Elle était accompagné d'une forme noire, qui semblait être venu d'autre part. Les deux étaient dos à dos.

Marcus prit la main d'Amëlia et referma les yeux. Quelques instants plus tard, rien ne s'était produit. Il réouvrit les yeux et vit qu'il tenait la main à la forme noire. Elle tourna la tête vers le prêtre, qui connaissait une peur grandissante.

Il tourna la tête de gauche à droite, cherchant Amëlia. Elle n'était plus là. Il était maintenant seul avec l'Ombre dans un épais brouillard.

- Tu es à moi. Elle est à moi. Ton monde est à moi.

Marcus sentit son énergie disparaître d'un coup. Une des ombres qui le suivait quitta immédiatement le corps du prêtre, suivit de près par l'autre. La deuxième se leva et pris la forme d'une Ombre, identique à Marcus, aux côtés de la forme noire. Le corps de Marcus tomba au sol, sans un son.

- Allez, nous avons un monde à conquérir....

- Bieeennnnn mmmaaîîîtttrreeeeeeee....

******

Au même moment, la chaleur du corps de l'elfe remonta, et celui du corps du prêtre descenda. Elle était vivante, il était mort.

Après quelques lunes de ces évènements, le prêtre d'Heaum revint sur les lieux. Il arborait son armure de mailles, comme d'habitude, ainsi qu'un bouclier aux emblèmes d'Heaum, de Tyr, Torm et Ilmater. Il s'avança un air assez lent, vers l'arbre de Sylvanus.
Il avait remarqué qu'un cercle de fleur avait poussé à l'endroit où Amëlià et lui avait laissé la vie. Un air de tristesse l'envahit, et se dessinait sur son visage.
Le Blackrose s'assit sur un rocher pas loin de la, déposant bouclier et épée près de lui, regardant le cercle de fleur qui poussait, paisiblement.

- J'ai encore fait une bêtise, il paraît...

Il se parlait à lui-même devant l'arbre et souriant un peu, sarcastiquement. Il avait fait l'expérience quelques fois auparavant, lui enlevant un peu de solitude. Malgré que personne lui répondait, parler simplement lui enlevait un poids sur les épaules.

Maeva marchait non loin de l'arbre de Sylvanus, priant un peu son dieu. Elle était nouvelle sur ses terres et c'était la première fois qu'elle rencontrait cet arbre. Il était encore plus beau qu'elle ne l'avait imaginer. En entendant des bruits de pas et d'armure, la jeune fille ne prit aucune chance, avec les priants de Shar après elle, Maeva reprit son épée et son bouclier, elle cacha le bouclier derrière un gros arbre et alla à une dizaine de mètres de l'arbre. Elle se camoufla derrière quelques arbres et elle attendit de voir de qui il s'agissait. En voyant Marcus, elle soupira. C'était lui. Le plus beau et le plus fort qu'elle avait vu à Mythall depuis son arrivé. Il y en avait d'autre, oui. Mais lui, il lui avait accorder sa protection à la dernière lune, sans même se méfier d'elle. Maeva l'entendit parler à l'arbre. Elle sortie de sa cachette, timidement. Et se dirigea vers lui.

- Que penses-tu avoir fait ? Si ce n'est pas trop indiscret...

La jeune fille avait un peu de mal à comprendre tout, elle se posait beaucoup de question. Maeva passa une main voulant être réconfortante sur l'épaule de Marcus et l'enleva. Hésitante, elle lui demanda:

Mais... Que sait-il passé exactement ici ? Qui t'as fait tant de mal ?

Elle n'aimait pas qu'on fasse du mal à ceux à qui elle tenait. Elle se sentait triste pour eux.

La jeune femme resta un moment sans parler. Il avait tuer celle qu'il l'aimait...

- Pourquoi as-tu du la tuer ?

Il devait y avoir une bonne raison. De ce qu'elle connaissait de lui, il n'aurait pas tuer pour le simple plaisir. Il devait y avoir une raison valable...

- Mais peu importe, sache que je vais rester à tes côtés. Si tu as besoin d'aide ou quoi que ce soit, je serais là.

Maeva avait écouté attentivement tout ce que son ami lui disait. Il n'avait pas eu le choix de la tuer. La jeune fille eu envie de pleurer pour lui, mais retenu ses larmes. Il ne l'avait pas tuer par plaisir. Elle avait de la peine pour lui. Marcus était quelqu'un de bien qui malheureusement a vécu des choses qui auraient pu et même aurait dû lui être éviter. Il ne méritait pas ça. Pour le peu qu'elle connaissait de lui, elle ne pouvait croire que la vie soit aussi injuste avec celui-ci. Elle se demanda cependant une chose...

- C'est quoi le pacte que tu as fait, toi ?

Maeva voyait bien qu'il voulait changer de sujet et elle le respecterait là-dessus. Cependant, elle serait prête à tout pour l'aider à retrouver Amëlia. Il l'avait tellement aidé à son arrivé, elle lui devait au moins ça. Il était vrai qu'elle ne parlait pas souvent d'elle, mais la vérité était qu'elle ne se souvenait pas de grand chose. Seulement des chaines qui entouraient ses poignets et son cou. La jeune fille ravala la boule qui se formait dans sa gorge et écrasa la peur qui l'envahissait.

- Je ne sais pas trop, en fait. Je me souviens de m'être enfuie avec mon frère dans la forêt. Je ne sais pas pendant combien de temps j'ai vécu comme ça, mais j'imagine longtemps... Et ensuite... Je suis attérie sur un sentier avec des murs qu'il fallait traverser et ensuite, il y a eu un tunnel blanc et... On est attérie à paspassé un où les orcs on tenté de nous tuer.

Maeva regarda Marcus. Il allait l'a prendre pour folle, se disait-elle.

Maeva inspira profondément. Elle-même ne savait pas pourquoi ils ne s'entendaient pas bien c'est deux là.

- En fait, on ne s'entend pas bien, mais si l'un de nous est en danger, l'autre accoure pour aider. On ne se laisse jamais tomber.

Puis elle eu un regard un peu lointain, pratiquement vide. Comme si elle fouillait trop loin dans son esprit pour se rappeler de ce qu'elle voulait dire. Elle regarda Marcus un moment sans vraiment le voir. Elle ne voyait que des images flous et complètement mélangé devant elle. Commençant par des arbres, puis des murs en bois et en pierres très solide, puis une dague dans le coeur d'un lièvre, son frère, des chaines... Elle. De l'argent et des bateaux. Elle plongea ses yeux bleus dans ceux de Marcus, elle le voyait de nouveau. Son passé était tellement flou. Elle murmura deux mots. Qui pour elle, se dit-elle, devait sûrement tout dire. Car c'était ce qui lui faisait le plus peur.

- Des chaines...

Meava se leva et se plaça derrière Marcus. Elle prit son épée et sa dague, cachant avec sa longue manche la rune. Elle se sentait déjà en sécurité en étant avec son nouvel ami, mais encore plus maintenant qu'elle avait ça, la rune. Elle savait très bien à quoi elle servait, à la dernière lune, Marcus lui en avait fait deux. Elle regardait devant eux, mais souvent sur les côtés et derrière eux aussi, au cas où il y en aurait d'autre. Qu'est-ce que c'est ? Maeva tentait d’apercevoir, mais elle n'avait vu qu'un bout d'une arme dépassée du gazon et disparaître. Elle était attentive à tout bruit. Elle murmura à Marcus:

- Que crois-tu que ça peut être ?