Monastère de Shar

Surpris et dépourvu l'elfe s'effondra par terre, le regard vide. Pensant au débat qu'il avait en face de lui. Il versa une larme et se releva. Cael dégaina son poignard, s'entailla légerement le ventre et dit a la jeune:

-Court comme si la mort elle même te poursuivait. Je te dirai que je t'es tuai et que tu m'as entaillé avec ton poison avant de mourir. Mais toi promets moi de t'enfuire, de te cacher et de renier ceux-la. Au revoir

- Non !! Elle va le savoir... Et si je m'enfuis, comme je t'ai dit elle va tuer tout le monde... J'ai pas le choix de sois te poignarder et te ramener ou laissez tout le monde mourir... Marcus y comprit...

Elle se leva, la jeune rôdeuse ne croyait pas qu'il puisse faire ça pour elle.

-Même si tu reviens elle va quand même tuer tout le monde, ne soit pas si na¸ive c'est la prêtresse de Shar. Pour l'instant c'est toi l'important, plus de chose te ratache à ta vie que moi. Et si tu t'agenoues devant les Sharrans tu N'es pas mieux que morte aussi. Donne moi la dague comme preuve que je t'ai tué. Fais moi confiance.

L'elfe présenta encore la main

Maëva ne pouvait se permettre qu'il arrive quelque chose à Marcus. Elle s'avança à pas lent vers l'elfe. Son ami de confiance. Elle lui tendit la dague, mais rapidement, elle lui asséna un coup de dague sur la poitrine de celui-ci. ( Douleur intense ) Elle ferma les yeux un moment, attristée de devoir faire ça... Elle retira la dague, lui laissant un moment de répit.

- Je le fais seulement pour sauver Marcus...

La bague de l'elfe s'illumina et lui permetta de prévoir le coup avant que l'humaine y pense. Il esquive habilement la dague. L'elfe saisit le bras tendu de Maeve et la lanca sur le sol (2 de force contre 0), L'immobilisa et saisit la dague. Les larmes au yeux le paladin arracha un bout de sa tunique banda la bouche de l'humaine et l'assoma avec le pommeau de sa dague. Par la suite, l'elfe prit l'humaine et la disposa derriere un arbre de sorte qu'elle ne puisse pas se faire facilement repérer. Il finit par courir vers la forteresse des elfes.

Maëva se cogna la tête lorsqu'elle fut projetée au sol, mais elle tenta de se débattre, sans grand résultat. Au moment où elle voulu crier, il lui mit un bâillon dans la bouche. Elle n'eu le temps de voir que le pommeau arrivé à une grande vitesse puis... Plus rien... Le noir total. Elle avait perdu sa chance de sauver Marcus et avait perdu son meilleur ami en même temps...

Le paladin ne poussa pas plus sa chance il laissa tomber la dague au pied de myrkani et repris sa course folle a travers le bois. Il courait plus que jamais pour allez retrouver l'humaine. Rendu à l'emplacement choisit il enleva le baillon de la bouche de l'humain et il essuya le sang sur la tête de Maeva. Il posa ces mains sur la tête de la jeune femme et ainsi la blessure se referme a la jeune fille se réveilla. Cael l'aida à se relever. Encore secouer il l'amena près de larbre de sylvanus. Il dit lentement:

-Tu es saine et sauf, et je suis sain et sauf. À partir de maintenant et jusqu'à ce que Nighto revienne tu me suivra et je ne veux plus jamais te perdre de vue. Mais je te laisse le choix. Tu peux aussi rejoindre les Sharrans.

Sur ces mots l'elfe se releva et il lui tendit la main.

Plusieurs semaines après que la foire aux monstres est eu lieu, Maëva retourna à la course jusqu'à la forteresse des elfes. Essuyant ses dernières larmes, la rôdeuse reprit son souffle et s'asseya face à l'arbre de Shar. Elle avait été stupide de faire ça, mais Maëva n'avait pu faire autrement.

Le destin fait son choix
Qui reste
Qui part
Qui tient le coup
Qui sombre

Frustration totale ! Non... Peine plutôt.
Sans être désarmée, son esprit l'est.

Si facilement, Sylvanus lui a tourné le dos, la menaçant par l'intermédiaire de son avatar. Insensé.
Des lignes humides séparent les joues de la rôdeuse. Deux territoires, deux mondes.

Le haut des Dieux, le bas des flammes.
Le haut et le bas de son coeur.
Le haut et le bas de l'amour et l'attachement.
Tout déchira le coeur et les façons de voir de l'apprentie.

Le haut du pouvoir, le bas de l'esclavage.
Jamais elle n'aurais voulu lui tourner le dos.
Maintenant que s'est fait, elle regrette, mais ce doit de continuer.
Il s'évapore, tout comme son essence magique.

Pouf !
Disparu !
Dans les airs, le vent l'a emporté...

Comme sa fois, son dieu la laisser, la dépourvu.

- C'est n'importe quoi, voilà tout...

La peur ne l’arrête pas
Alors qu’elle se déchaîne
Le bruit sous ses pas
Comme les vagues s’enchaînent

Sa respiration suffocante
Perd le souffle du vent
Pour le peu provocante
De personne, elle ne veut dépendre

Dans son antre
Elle court de terreurs
Dans son ventre
Ses tripes s'étranglent..

La prêtresse ferma les yeux, elle s'imaginait encore la scène dans ses souvenirs. C'était horrible, pitoyable. Maëva prit sa tête entre ses deux main un moment, avant de ne l'a relevé et de regarder attentivement les fleurs mauves, l'arbre en entier qu'elle avait brûlée... mais qui avait repoussé. Saleté d'arbre ! L'apprentie de Marcus grogna et referma les yeux. Elle n'arrivait pas à se concentré assez pour aller dans son refuge mentale. Elle décida donc de prendre les forces un peu moins tenté. Elle se concentra et s'imagina en train d'arracher quelques bouts de bois d'autour de la roche. Les jetant à l'eau avec rage et fureur. La rôdeuse se releva brusquement pour enlever la cape de Marcus et sa cape, mais avant qu'elle ne puisse enlever sa cape à elle, son crâne se compressa et elle tomba au sol. Recroquevillée, Maëva hurla de douleur et gémissait. Jamais ses maux de tête n'avaient été aussi pire et ravageur que ça. Elle fermait les yeux très fort, mais ça ne faisait qu'empirer les choses. les voix parlaient en écho. L'incitant à faire du mal. Elle se concentra de nouveau pour bloquer les vagues contre le rocher. Elle suffoquait et n'en pouvait plus. Son collier semblait ne faire aucun effet à ce moment. Elle respirait très bien, très fort, très rapidement. Le front sur la terre froide, les flocons de neiges tombant sur son ligne noir et mauve, ses ongles verts qui craquent, laissant du mauve apparaître. La prêtresse grimaça de douleur sous l'intensité de la pression qui jouait dans sa tête. Maëva avait l'impression de recevoir des coups de masse sur la tête. Elle gémissait de douleur, se tortillait de souffrance. Puis, d'un coup, tout arrêta. Elle lâcha sa tête, posa ses mains au sol, ses doigts creusant le sol gelé, s'arrachant ainsi des bouts d'ongles. Elle tremblait et sentait sa tête commençait à reprendre le dessus. Elle gémit encore une fois et restant allongée sur le ventre, le sang coulait un tout petit peu de son nez tellement la pression fût grande. Maëva observait l'arbre de Shar.

Le destin avait fait son choix, elle ne pouvait plus changer d'avis. Elle restait la même, mais prierait Shar sans détour à présent.

Après quelques minutes à contempler l'oeuvre de Shar, la rôdeuse se redressa doucement et remise la cape de Marcus sur ses épaules et s'asseya un peu dessus. À ce moment, elle s'asseya sur quelque chose de plus dure. Elle se releva un peu et se saississa de ce qui ressemblait à un livre de sort. Elle l'ouvrit et se mise à feuilleté. Par curiosité. Dans le pire des cas, Marcus serait fâché. Mais il s'en remetterait, c'est certain. Ou encore, il ne le serait jamais. Elle continuait de regarder, quelques sorts très utiles qu'il faisait fréquement, des dessins de runes et quelques descriptions par-ci et par-là, un rituel pour...

- C'est mon nom ça ?

Elle se mise à lire un peu plus attentivement ce que s'était. Une fois qu'elle eue comprit, elle regarda devant elle, regardait l'arbre de Shar sans le voir. Il prenait autant de mal pour elle ? Elle ouvrit à nouveau le livre de sort et tourna les pages, rituel, des poèmes. En lisant les 4 premiers, elle se sentait nulle. Il pensait d'avantage à Amëlia, ce qui était normal, mais elle avait tout de même peur. Peur qu'il l'abandonna, la laisse seule. Puis, elle tourna à nouveau les pages. Tombant ainsi sur un autre poème qui lui était désigné cette fois-ci. Elle le lisa. Attentivement. Elle souria. Il ne l'oublierait pas. C'était certain. Mais elle se demandait pourquoi il en avait écrit un pour elle aussi... Mais c'était tellement mignon. Elle rougit. Elle lui en parlerait.... ou pas.

Elle retourna au début et relu plus attentivement chaques pas qu'il y avait, puis, elle fini par se rendre compte qu'elle avait sauté des pages vers la fin. ll y avait des gribouillis partout, qu'elle n'avait jamais vu encore. Ça ressemblait à un travail, un projet entâmé. Et elle en saississa un peu le sens. Elle restait plongée dans sa lecture, oubliant d'écouter les bruits.

Revenant au fort des elfes par le sentier de l'arbre père après avoir prier Sylvanus, Adar vit qu'il y avait une personne assis au sol qu'il ne connaissait pas. De nature curieux mais prudent, il s'avança en faisant le moin de bruit possible ( autant qu'une feuille qui tombe sur le sol ) et vit qu'il s'agisait d'une fille feuilletant un livre ( le sien probablement ). Il ce dirigea vers l'entrée et ne fit plus attention au bruit qu'il produisait et entra dans le fort comme l'on entre chez sois.

-Bonjour jeune dame, dit le druide tout en continuant son chemin vers une pile de bois mort dans un coin des pallissades.

- Et bien sur, j'enttend par la qu'il fait bon temps en ce jour et que c'est un bon jour pour moi tout en vous souhaitant le bonjour a vous aussi. Fit-il en souriant a la jeune Maeva.

Il empilla le bois dans le rond de feu et fouilla dans ça bource quelque chose qu'il ne trouva manifestement pas. Après une ou deux seconde il chercha dans une de ses poches et retira un petit sachet qui sentais bon les petit fruits des champs. Il regarda le tâ de bois humide dans le rond de feu et soudain il y au comme un ''pof'' et un bon feu apparut et sècha rapidement le bois tout en le dévorant. Il mit immédiatement une boulloire d'eau sur une grille au dessu du feu et s'assi a même le sol gelé recouvert d'une fine couche de neige. Qui venait de laisser place a un petit tapis de feuille morte et de mousse confortablement sec.

-Vous pouvez venir vous réchauffer, si vous le désirez naturellement. Sur ce dernier mot il montra une bûche a coté du feu de l'autre coté d'ou il était assi.

La rôdeuse redressa la tête au moment où elle entendit quelqu'un arrivé. Elle ferma rapidement le livre pour finalement le remettre dans la cape de son mentor. Elle regardait l'homme, ne se rappelant pas l'avoir déjà vu quelque part. Sur ses gardes, elle se leva et le rejoignit, contente qu'il y est une source de chaleur. Elle avait eu le temps de sécher ses larmes. Avec le bout de sa manche mauve, elle essuya le reste du sang sous son nez et s'asseya au bord du feu. Elle continuait de fixer l'inconnu, mais leva ses mains, ses doigts vers le feu. On voyait un peu les ongles un peu arracher, qui formait une gale tranquillement sur le bout. Elle les pliait, dépliait par moment, pour mieux les réchauffer. Elle poussa un petit soupire de satisfaction. La cape de Marcus toujours sur ses épaules, elle l'a referma autour d'elle.

- En effet, la journée semble bien vouloir s'annoncer. Même s'il fait froid.

On voyait dans son ton de voit qu'elle était distante, sur ses gardes, mais tout de même accueillante.

Le moine, avant d'atteindre son campement décida d'aller visiter l'arbre de Shar que Malice lui avait montré. Moxis fit de son mieux pour se dissimuler, afin de voir s'il y avait des gens à l'intérieur de la forteresse. Il fut surpris de ne pas voir le clan elfe au complet, mais seulement Maeva et un homme qui ne lui disait rien. Il entra donc dans la forteresse et vit le feu se raviver comme par magie.Comme il détestait ce qu'il vivait en ce moment et avait vraiment hâte de se débarrasser de cette surdité, il demanda sans perdre un seul instant :

- Hey toi, en pointant le druide, j'entends rien, tu sais comment remédier à cette merde? dit-il d'un ton sec et direct.

En disant cela, il s'assit près du feu en s'emmitouflant dans sa cape. Il sortit aussi un petit livre d'un poche accrochée à sa taille ainsi qu'un petit crayon.

Le druide retira la bouilloire du feu et verça l'eau dans deux tasses et terre cuite qui n'étais pas la quelque seconde au par avant, et ouvra le petit sachet qu'il vida ensuite dans les deux tasse. Une agréable odeur de fruit des champs, de fleur et de printemp flotta dans l'air tout autour du feu et il sembla faire un peu plus chaud... comme le soleil de printemp qui perce le froid de l'hiver. Il en tendit une a Maeva et voyant qu'elle avait certaine rétissance a la prendre la laissa a l'endroit même ou elle était. La tasse semblait flotter dans les air mais en y regardant de plus près, l'on pouvais voir qu'un petit arbre venait de poussé juste en dessou et tenait la tasse en équilibre sur une branche.

- A oui, les présentation bien sur! Je me nomme Adar Del'phalum, archi-druide de ces terres et maitre élémentaire. Il but une gorger de ça tasse et engloba le tout d'un geste des mains.

- Tout ce que vous voyez ici, je l'ai construit de mes mains... entre autre. Il fit un clin d'oeil malicieux a la jeune fille et soupira. Je suis aussi fin connaisseur a ce qui atrait au tourment de l'âme humaine et je vois ici que malgré le fait que ce sois un bon jour malgré le froid, qu'il y a quelque chose qui ne va pas... ou plutot qui n'allait pas puisque vous semblez maintenant reprendre des couleurs. A moin que ce ne sois que le feu qui me joue des tours?

Adar ce senti soudain un peu mal a l'aise et un étrange bruit comme un hurlement de femme, ou peut-etre celui d'un homme sembla ce faire entendre provenant de l'arbre noir, mais cessa aussitot. Le druide regarda l'Arbre maudit et dit :

- Et bien, si tu n'est pas contant tu n'a qu'a aller ailleur ! C'est toi qui t'es installer ici, tu aurrai pu choisir un autre lieu mais tu n'en a rien fait alors laisse moi boire mon thé et fou nous la paix! Non pas de mais. Regardant maeva il haussa les épaules et sourie d'un air désoler.

- Que voulez vous, cette arbre n'aime pas les bonne choses et déteste la bonne compagnie et je suis les deux donc elle me fait la gueule parfois mais ce n'est pas important. Vous devriez boire votre thé avant qu'il ne refroidisse, c'est mielleur chaud. Et il en prit lui même une autre gorgé.

Adar fronça les sourcis mais ne pu s'empècher de remarquer que l'autre n'entendais plus rien. Bon, de toute manière il restait encore assé d'eau chaude et de thé pour un autre venu alors il ce leva et tout en faisant signe qu'il pouvait l'aider ce mit a prier.

- Ô grand arbre de la sagesse, puissant Sylvanus. Père des pères entre tous. Entend ma prière et aide cette homme qui souffre d'un sortilège. Montre lui ta méséricorde et béni le par la grâce de la nature qui l'entoure. Au nom du père, du gland et de la magie druidique.

Sur ce dernier mots, Moxis retrouva soudainement l'usage de ses orreilles et pu entendre le champ de plusieur oiseau qui chantai gaiment un peu partout.

-Bienvenu au fort des protecteur de la nature, vous allez rester un peu tout de même? demanda le druide en lui tendant une autre tasse sorti de nul par rempli d'un liquide sombre tirant sur le rouge qui sentais merveilleusement bon.

Maëva leva les yeux quand Moxis arriva, elle se figea un peu, mais était moins tendue que normalement. Elle le foudroya du regard. Lorsqu'il parla au druide et que celui-ci semblait l'avoir ocmplètement ignorer, Maëva un un petit sourire. Il était encore sourd. Maëva avait tout le plaisir de se foutre de sa gueule sans qu'il n'entende rien. Elle retourna son attention sur le druide qui lui parlait.

- Ouais, cette arbre est étrange. Mais il représente... Ma déesse... * Elle semblait avoir de la misère à le dire, comme si elle n'y était pas habituée. * Alors... Il faudra s'y faire.

Elle grimaça quand il lui dit de boire son thé avant que celui-ci ne devienne froid.

- Je déteste le thé, ça me rend malade. Juste l'odeur me dégoûte.

Elle ne respirait peut-être pas, ce que le druide et Moxis pouvait comprendre en ne voyant jamais la poitrine de l'humaine se lever et se baisser comme la normale, mais elle savait ce que ça pouvait sentir. Elle continuait de regarder le druide.

- Moi, je me nomme Maëva... Et finalement, vu que vous ne lui répondez pas... Auriez-vous quelque chose pour l'aider. S'il vous plait. Ce n'est pas par plaisir que je vous le demande. Mais s'il ne retrouve pas l'ouïe, il sera encore plus stupide qu'il ne l'est déjà.

Elle eu un sourire en coin, tout en regardant Moxis. Puis, le druide se leva et pria, lui rendit l'ouïe. Maëva en était un peu déçu, mais elle ne le laissa pas paraître. Elle dévia le regard pour observer le feu. Elle n'adressa pas plus la parole à Moxis. Après réfléxion, elle en était venu au fait que c'était lui qui l'avait frapper dans la cabane d'Owyn et ça, elle s'en rappelerai. Le moment venu, elle prenderait sa revange.

Moxis eut un léger soupir de soulagement. Il était enfin guérit de sa surdité. L'homme dépoda son fouet à ses côtés et, sans même remercier le druide, il dit à Maeva avec un sourire moqueur.

- Tu as enfin repris tes sens? Tu as eu une petite chicane de couple avec ton petit marchand?

Il assoma Maeva (attaque étourdissante inconscience 10 secondes)

-Voilà qui lui apprendra. Toi, qui es-tu ? Je ne crois pas t'avoir vu depuis mon arrivée. (Tout bas ->) Probablement un autre en manque qui vient se soulager avec Maeva.

Il se mit à rire un peu de sa petite blague puis attendit la réponse du druide.

Le druide répondi du tact au tact en fesant référence a ça blague dite tout bas.

- Si tu en parle c'est sans doute parceque tu en sais long sur le sujet. Vous avez de drole de remerciment par chez vous mais sachez que par ici la coutume veux que l'on remerci la personne bienfaitrice tout en n'attaquan pas ses hotes.

Un petit tremblement de terre ce fit sentir et sorti de nul par apparru un etre complètement fait un terre tenant unépée en rock dans ça main.

- Expliquer votre comportement ou partez de chez moi! Et le druide bu la dernière gorgé de thé qu'il lui restai dans ça tasse.

Lorsque Maëva reprit connaissance, elle était au sol et un petit mal de tête naissant. Elle grogna, encore Moxis sûrement, c'était toujours lui. Elle leva les yeux et fit un saut. Un élémentaire de terre se trouver non-loin d'elle. Pendant un moment, elle eu un peu peur de lui, peur qu'il ne l'attaque. Cependant, quand le druide parla, elel comprit que ce dernier avait été insulter par quelque chose, mais quoi exactement ? Elle ne pourrait le dire. La rôdeuse se redressa et remise la cape sur ses épaules. Elle foudroya du regard l'apprenti de Morbis.

- Je ne sors pas avec le marchand, alors apprend à écouter et non seulement à regarder.

Elle se rasseya sur la bûche, sachant que ce n'était pas à elle qu'allait s'attaquer l'élémentaire.

- En passant, Adar, pour ce qui est de Marcus, je crois qu'il va bien, je n'en sais pas trop, la dernière fis que je l'ai vu, il était possédé par Tharrick.

Elle ne disa pas tout, par peur que Moxis en apprenne trop. Et aussi parce qu'elle ne faisait pas confiance au druide. Maëva ne le connaissait pas assez.

- Il m'a simplement passé sa cape pour que je n'ai pas froid.

Elle attendait avec impatience que Moxis soit blessé. C'était un joyeux spectacle pour ses yeux.

Adar attandais toujours la réponce du Sharran et étais près a défendre maeva. Il leva les bras et deux autre élémentaire de terre surgirent de la terre.

- A toi de choisir.

Moxis fut très surpris lorsque les élémentaires surgirent de la terre. Il bondit de son siège et répondit auà Adar de la manière suivante :

-Woooh on se calme, pas besoin de s'énerver. Elle n'a même pas mal, j'ai juste jouer un peu avec son système nerveux. Elle n'a rien senti du tout, j'suis sûr. En désignant les élémentaires, vous pouvez les ranger, vous savez, je ne compte pas me battre(plus bas afin que personne ne l'entende->) pour l'instant.

-(À Syrus) C'est pas moi, il a fait jaillir des.. euh... choses et il me menace. Il est vilain, la dernière phrase fut dite sur un ton sarcastique.