Ruine de l'ancien fort des elfes

-Patétique vermine, murmura t-il. Un meurtrier à l'ame noir...

Le viellard pencha la tête sur le coter sembla réfléchir longuement avant de répondre...-
-Sache que même la plus puissante des magie ne pourrai acroitre ta puissance au brave homme, car la magi n'est que tromperi, illusion et fantasme d'un rêve perdu jadis. La vrai puisance réside dans le coeur de ceux qui savent la trouver, ou dans la force de ceux qui ne redoute pas a s'en servir. Et toi que ferra tu ô jeune paladin lorsque tu aurra trouver ce que tu recherche...saurra tu seulement commen l'utiliser?

Ce retournant vers Zicorn il continua

-Ma question étais de savoir ce que vous veniez faire dans ce coin embadonner mon chère paladin au coeur brave et fort. Même si je connais déja votre réponce. Et bien que je sais beaucoup de chose que peu de gens savent je ne puis vous aider sur cette quête. Car cette quête est la votre a tous et non la mienne.

Remarquand soudain qu'il avais laisser son livre sur l'arbre il le ramassa et le remie sous sa toge en prenant gtrand soin de ne pas plier les vielle pages jaunie.

Regardant Pyros partir le vielle homme dit tou haut comme si il étais entrain de penser...

- Même les âme noble et puissante peuvent tomber sous le jougue de la nuit, mais parfois le corp le fait de lui même avant que son possesseur ne décide de ses propres choix. Prisonnier de son destin, libéré de tout entrave. Telle est le monde.

Des larmes parurent au yeux du conteur mais il disparurent aussi vite quelle étais apparu. Redressent le manton il regarda les autre perosnnes.

Lelldorin regarda Pyros s'éloigner pendant de longues secondes et il se retourna subitement vers le vieil homme.

-Je ne marchais dans ce marais que pour me divertir et quand j'ai remarqué que la situation devenait tendue, j'ai décidé de m'en mêler. Je pense cependant que de venir ici a été une bonne idée seulement pour entendre ces paroles, vieillard. Elles ne sont pas dénuées de sens, au contraire.

Regardant l'elfe le vielle homme s'embla se perdre dans ses penser et dit...

-Ce n'est pas parce qu'une feuille morte tombe de son arbre quelle est devenu forcément inutil, même les plus petit chose qui semble n'être que des chose inutil peuvent devenir très vite très importente.

regardant autoure de lui il commenssa a marcher autour de la ruine...

-Lorsque vous ne verrez plus la terre, vous trouverez ce que vous chercher mais ce ne serra la que le début de la fin. Les arbres pleur sa disparition et les animaux on maintenent peur d'elle. nul ne l'approchera a moin d'etre le porteur telle étais les paroles du vieille arbre.

-J'ai toujours aimer les vielle oracle des elfes.... il parle peu mais leur phrase dit tout. alors que ceux des autre race son confuse et parfois incomplète.

L'homme ce dirigeai vers le marrai, la ou ce perdait la terre pour ce trensformer en boue noir et ensuite en eau brumeuse.

Quelques craquements parenues aux oreilles des gens^près du fort elfique. Du bois sorti un homme au allure charmeur et elfique. Ses oreilles pointues, une légère barbe au menton, sacoche à la hanche, sac en travers de son torse, une chemise chic dépassait de son chandail chaud et élégant. Il semblait pensif et perdu dans ses pensées. Il marcha en core un peu avant de se rendre compte de la présence d'autrui. Il s'arrête à quelques pas du cerlce formé par les personnes présentes. Quand il leva les yeux du sol, chacun pu reconnaître ce visage si familière du demi-humain, Owyn. Alors même qu'il prit la parole, il ne fit même pas de salutation, préférant être dirrect.

"Pourquoi donc il y a autant de gens ici. Le fort des Protecteurs est bien caché et seul les habitués savent s'y rendre. Ne croyez pas que je vais vous croire si vous me dites que vous vous êtes perdu. Pour se perdre, le marais ne laisse pas de chance de retrouver le fort."

Lelldorin, en reconnaissant le venu, s'avança pour prendre la parole:

- Ah.. Owyn, bien le boujour. Pour ma part, la seule présence du marais et de son fort protecteur me sert de divertissement quand je prend le temps d'y venir faire un tour. Je suis aussi sûr que vous n'êtes pas sans savoir que je suis un habitué du marais. Effectivement, cela n'explique pas la présence de ce groupe et je ne connais pas autant que vous la raison de leur présence ici. Je marchais quand j'ai vu que la situation s'envenimait pour une quelconque raison alors, je suis intervenu.

-Pour se qui est de ma raison de ma venue... (il s'arêta pour penser et reprit)Je ne crois pas que se soit de vos affaires.

-Pour ma pars, j'ai suivi Izor, mon bon ami, mais j'ai été retenu un peu plus loin. C'est pour ça que je n'suis pas arrivé en même temps que lui. Mais bon, je dois y aller. Aurevoir à tous

- Sept ils étaient, c'est valeureux guerrier
, sept médaillon il se sont fait donner
,Tous son tomber sous le pouvoir du seigneur ténèbreux
,et aucun ne s'en ai rendu compte,
,Prisonnier de leur esprit de damnés
,ils sont désormai comdamné a servir la noirceur de leur maître redouter.
Ils penseront accomplir le bien alors qu'ils feront le mal
,telle étais le plan du seigneur noir
,La vie les tura
, mais seul la mort les délivreront.
de cette grannnnnnde malllédiction.

Chanta doucement le vieillard courber dans l'eau boueuse du marrai jusca mi-cuise.

**Résumé des personnes présentes: Mardrad, Lelldorin, Izor et moi sommes en sortes de cercle, à se parler; le viellard plutôt loin dans le marrais et David qui vient de partir; Pyros qui est parti.**


Owyn regarda le viellard au loin. Il l'avait vu depuis sin arrivé dans le marrais, mais il n'avait pas poser de questions en son sujet. Il n'entendi point sa chanson et plus il marchait et plus il rapetissait pour ceux qui étaient proche d'Owyn. (vous êtes pas obligé de tenir compte de ce que j'ai dit) Il savait bien de Lelldorin était un Protecteur, alors sa présence était largemenr justifié. Celle de Izor et Zicorn restait cependant indéfinite. Izor parlait d'augmenter ses pouvoirs et Zicorn de resta flou sur sa réponse. Le premier semblai avar de pouvoir tandis que le second restait dans l'ombre. De bien mauvaise nouvelles pour deux paladins.

"Je comprends fort la raison de votre présence ici, Lelldorin. Je suis moins sûr de celle de Zicorn et Izor. Et sans savoir celle de Madrad, je reste ceptique quant à la venu de ces personnes ici. Le fort réputé imprenable et presque introuvable reste bien peuplé d'étrangés au fond d'âme douteux. Pour ma part, je suis venu ici pour voir comment se porte l'état du fort, de ses occupants et pour déterminer quelques petites choses pour mes contrats, que je désir garder sous silence."

Owyn avait prit temps d'insister sur le dernier passage de ses dires. Il gardait un oeil sur Madrad, le sachant assez imprévisible, Il avait pleine confiance en Lelldorin, mais il scrutait Izor du coin de l'oeil pour bien se souvenir de sa figure.

(H-G) En passant.... nous somme dans l'ancienne forteresse des elfe.... pas celle ou ils sont présentement dans mythall. Jcrois que tu té tromper de fort

** H-G: oups, j'avais pas remarquer que c'était l'ancienne
mais mon post reste le même, même s'il parrait étrange en jeu!!! **

Le vieillard pousa alors un grand cris qui se répercuta sur les arbres mort du marrai en ce relevant vivement.

- Je l'ai trouver! Enfin!

Il éssuya quelque chose sur sa tunique et l'examina aux rayon du soleil. Ceux qui pouvais l'observer pouvais voir quelque chose briller d'une couleur argenté et `légèrement bleuté.
Il rengea la petite chose dans son livre et le referma.

-Bon, ce que je cherchais ici est enfin fini, voyons voir...(il sorti de sa poche un morceau de parchemin jauni et en piteuse état.) Ce que je cherche tu le recherche aussi, mais si tu le trouve je le trouverai aussi, Seul sur la vois des argents elle attend ceux qui les portes a leur cout. Elle leur serra alors dévoiler et sen servire ils pourront.

Le vieilard s'embla tout d'un cout incertain, il se gratta les cheveux blanc et marmona quelque phrase incomprensible puis soudain il rit faiblement puis un peu plus. D'un rire vieu et insessant il commenssa a marcher vers le fort en ruine pour étudier encore un peu sa trouvaille. Arriver au pallisade en charpie il arrêta de rire mais sembla tout de même joyeux et les yeux pétillant d'intelligence et d'allégresse

Ornuul ne fit qu'écouter la discussion avec un sourire mélangé de malice et de noirceur. Son sourire ne put que s'agrandir lorsqu'il entendit la chanson du vieillard. Lorsque celui-ci éclata en trouvant se pourquoi il était sur les lieux, le marchand observa attentivement l'objet. Il chuchota :

-Velbol phuul dossa? puis il pointa l'objet.

-Quoi?! s'exclame Izor en entendant les paroles de Madrad. Qu'est-ce que c'est que cette langue?

Il avait entendu Madrad car il se tenait tout près.

Owyn n'avait pas entendu Madrad incanter, mais ce que disait Izor lui mit la puce à l'oreille. En plus il avait senti l'énergie du sort lancé, puisqu'il le maîtrisait aussi. Il se détacha du cercle pour se raprocher du vieux. Passant près de Izor, il le regarda dans les yeux, d'un regard perçant en prononçant.

"Calmez-vous, il est normal que vous trouvez ce langage étrange, il est magique."

Il se rendit au près de Madrad et se posta de l'autre côté du vieux. Il lui mit la main gauche sur l'épaule et dit d'un air amical.

"Alors, Madrad, qu'est-ce donc? Et vous viel homme, il vous arrive de vous promenez seul par temps froid, et dans un marrais?"

Le médaillon parru luire faiblement d'une lueur dorrée puis des inscription son apparu sur l'enver de l'objet.

''La ou la terre n'existe pas inci que la mer non plus que le ciel, elle attendra celui qui est son gardien pour reprendre le combat contre ses ennemis. Les fantomes la garde''

Le vieillard sembla perdre tout son amusement, comme un enfant a qui on aurrai dévoiller le secret du pere nowel, il regarda madrad droit dans les yeux et dit....

- Pas futer celui qui ne prend aucune précausion, ce n'est poin pasq'une chose semble inanimer quelle l'ai forcément. Nuls ne sais a présent quelle démon ou quel gardien vous avez fait apparraitre dans ce monde pauvre fou. Il étais maintenent rouge pivoine et semblai sur le bort de perdre concience

Le vieu prononssa un mots et l'objet disparu avec un poufff sonore.

- Les mages toujours les premier a se fourré la ou on le veux le moin et par dessu le marcher il trouve le moyen de vous mettre en danger, et même pir!. les hommes son tous les même, tous jusqu'au dernier, ils ne savent jamais quand ce retenir de fair une bêtise. Dabor il semble concient des danger qui les entour puis il démente tout sa par une stupiditer inbut de leur nature. ILs finiront tous par ce perdre et démolir ce pauvre monde sur lequel nous somme tous entrain de marcher et losrque ce serra la cas ils ne voudron rien voir et continuron a la démolire jusqu'a ce qu'un jour il ne reste que des rochers nue. Il m'exaspèreront toujours jusqu'au dernier, pourit............................

Le vieillard étais parti en marchand a traver le marrai a ''grand'' pas furibond. Rien ne semblais l'arrêter, les fougère semblait se tasser lorsqu'il arrivais dessu et même un arbuste sembla bougé de quelque centimètre de coter pour le laisser passer. C'est a croire que le vieu aurrai pu déplasser une montagne pour simplement passer en ligne droite. Les parole du vieil homme se perdit dans le flacotement de l'eau et le bruit des arbres alors qu'il s'éloignait vers le marrai.

Écarta Owyn et s'avança d'un pas vers le vieux. Son visage ressemblait à celui d'un gamin qui tentait d'attrapper le vent mais que celui-ci se glice entre ses doigts. Puis il serra les dents. Lorsque le ridé eut fait mention de démons ou de monstre, cela ne semblait guère déranger Ornuul. Il laissa le vieil homme s'en allé, il le retrouvera en temps et lieux. Mais le marchand ne comptait pas laisser le vieux tranquille après ce qu' il avait fait...mais pas ici. Il prit une posture droite et se tourna vers les membres du cercle. Son regard finit par se poser sur Izor.

-Alors, paladin, on ne retient plus sa langue fourchue. Mais, ne t'en fait pas, j'étais déjà au courant. Je sais d'ailleur beaucoup de choses.

-Écoutez, je n"ai rien à cacher puisque mes actions ne sont pas noires... Et quel genre de chose savez-vous de plus à nous apprendre?

-Des actions noires, mais que sais-tu de se qui est sombre ou non. De se qui est bon et de ce qui est mal. Vous êtes si aveugles, paladins, que vous ne pouvez même pas trouver une nuance entre eux. Son ton montait peu à peu, mais il se calma. Des choses à VOUS aprendre, non, je ne crois pas.

Il se tourna rapidement vers la direction prise par le viel homme et hurla:

-Quel est votre nom?!!

Le vielle homme ce contenta de se retourner... il étais déja fort loin dans la boueuse végétation du marrai.... il dit avec une voix normale mais qui sonna au orreille de tous comme celui d'un homme qui parlais normalement a coter d'eux....

-Je suis celui qui na poin de nom, après tout, les nom ne servent a rien d'utile seulement a inscrire dans des archives, et le mien y ai déja inscrit sous plusieur forme. Tu peux m'appeller Le conteur ou le vieil ermite ou l'homme aux multiple visages ou bien tu peu me trouver un nom de ton propre choix....

Et il disparu dans la forêt toujours en marmonant des phrases incompréensible.

''Madrad'' serra les dents.

-Bon, je vais devoir m'y prendre autrement. chuchota-il pour lui-même.

Il jeta un dernier regard en direction des témoins puis reprit chemin dans le sens contraire d'où il était arrivé. Il laissa de côté se qui l'avait amené en ces lieux et se prit un nouvel objectif.

Izor se doutait de qqch... Il savait que Madrad voulait du mal au vieil homme. Il décida de suivre Madrad de loin pour ne pas qu'il se fasse voir. Avant de suivre Madrad, il fit signe à Zicorn de le suivre et il partit...

Lelldorin salua Owyn d'une main et, curieux, récita: ¨Tlu velkyn whol jal¨. L'elfe disparut subitement pour suivre Madrad d'une façon beaucoup plus discrète. Invisible aux yeux de tous, l'illusionniste avait bien une question qui lui trottait dans la tête: Que Madrad manigance-t-il encore? et soupira puisqu'il allait en savoir plus qu'en suivant le marchand et Izor.