Chemin entre le village, l'église et le cimetierre

Lilith le regarda droit dans les yeux:

-Vous croyez vraiment que je me laisserais mourir? Vous vous trompez fortement.

Elle resta sur ses gardes. Elle n,aimait vraiment pas ce type. Et celui qui était derrière Rassius, où avait-il emmené le mage qu'ils cherchaient? Elle continua à le fixer, les mains crispées sur son bâton. Elle devait évaluer la situation.: Un homme mystérieux devant elle répondant au nom de Srass. Rassius derrière elle qui était suivi par celui qui avait enlevé le mage et dont elle ignorait le nom. Quelle situation! De plus, le ton de Srass avait l'air amusé. Préparait-il quelque chose? Lilith n'en savait rien et elle ne préférais pas le savoir.

Il éclata d’un rire sombre puis répondit sure un on redevenus des plus froid et sérieux

-mais ma "chère", dite-moi donc qu’elle assassin ou meurtrier vous demanderais la permission pour vous tuez.

Il ne bougeait plus de nouveau la fixant d’un regard devenus noir comme de l’ébène et froid comme de la glace.

-dite moi, vous ne seriez pas un peu nerveuse par hasard? Depuis tout haleur que vous tenez fermement votre bâton dans votre main sans jamais vous décrisper. Vous devriez vraiment le relâcher, vous pourriez avoir mal à force de le tenir comme cela.

Elle eu à peine le temps d’entendre un murmure de son résonnent comme le prolongement de la dernière phrase puis soudain, elle sentit ses jambe flageolante et ces muscle ce ramollire à un tel point qu,elle dut même lâcher son bâton, peut-être avait-il raison, après tout que pouvait-elle savoir de cette homme, il pouvait aussi bien être un assassin qu’un érudit. Le tout ne dura que quinze grosse seconde, ce qui put lui paraître une éternité.

(rayon affaiblissant – 5 de force pendent 15 seconde donc environ un post)

Lilith se retrouva par terre, rampante et vulnérable. Elle leva difficilement la tete pour regarder dans les yeux de Srass:

-C...comment...pouvez-vous...prononcer...en...silence?

Sa tete retomba durement sur le sol. Elle serra les dents.

*Merde. Je me suis fait avoir.*

Elle tenta maintes fois de se relever mais elle en fut incapable. Elle releva a nouveau difficilement la tete.

-Attendez...que je...puisse...me relever...

Elle fit un sourire malicieux malgré la faiblesse de ses membres.

-ah! Je vous l’avait dit de ne pas vus crisper comme ça et que c’était néfaste pour vos muscle, mais m’avez vous écouter, mais non. Pourquoi faudrait-il écouter ce pauvre fou? Bon ce n’est pas tout mais vous m’excuserez, j’ai d’autre chat à fouetter.

Sure ces mots, il partie dans les ombre de la forêt laissent, lilith en position de faiblesse avec les deux homme. Ce demandent si il allait profiter du fait qu,elle était vulnérable pour profiter d’elle. Si il essayait, il aurait la surprise de la voir en pleine forme ce sort ayant un très court effet. Après quelque seconde de marche rapide, il disparut totalement à leur yeux, pour éviter d’être suivie, il zigzaguas à plusieurs reprise et bifurquait à gauche et à droite sans raison particulière, seulement pour ne pas laisser de trace trop précise.

Lilith se releva quelques secondes plus tard, la tete baissée.

-Je me suis faite avoir...par ce minable...

Elle lacha un cri de mort qui fit sursauter les deux hommes. Elle se prit la tete entre les mains:

-Argh!!! Comment ait-je pu etre aussi dupe?

Lilith était choquée. Elle serra les dents.

-Grrrr, si jamais je le revois...IL VA PÉRIR!!!!

Une fureur épeurante se dégageais d'elle. Elle voulut courir apres ce vaurien et l'assomer èa mort. Mais bon, il devait etre déja bien loin. Lilith bouillait.

-Ce petit crétin...JE VAIS LE TUER SI JE LE REVOIT.

(en gros, elle est furax)

Morbis regardait la mage isulté et lui dit:

«Qu'attendez vous donc.» dit le moine d'un ton moqueur, «Vous n'avez qu'à le poursuivre et l'éliminer. De toute façon, je pense que mésir Rassius et moi-même avons à parler et votre présence ici n'est point.....ummm...requise. Donc.....»

Lilith se retourna vers Morbis, puis vers Rassius. Elle lui dit tout simplement d'un ton calme:

-Soyez prudent, je vous en prie.

Sur ce, elle partit èa la poursuite du mystérieux homme.

Lilith arriva sur le chemin ou elle avait laissé le moine et Rassius ensemble, qui étaient encore la d'ailleurs. Elle s'arreta a mi chemin puis regarda son compagnon de départ. De chaudes larmes lui coulaient le long des joues mais ses cheveux et la noirceur les cachaient. Elle marmonna silencieusement:

-Adieu.

Elle avait espéré qu'il l,ait entendue puis elle continua son chemin vers le village.

[Pardonnez mon absence prolongée, j'étais en voyage à New York.]

Rassius, pendant les quelques minutes pendant lesquelles Lilith affrontait l'autre mage, confrontait Morbis du regard, un air profondément dérangé au visage. Sa lame toujours dégainée était suspendue entre ciel et terre et était d'une immobilité irréelle, tout comme le guerrier lui-même. Alors que Lilith s'effondrait sur le sol, Rassius faisait quelques pas en avant en direction du moine noir.

-Tu n'es pas un moine comme les autres, n'est-ce pas? J'ai déjà rencontré des moines lors de mes périples, avant de me retrouver sur ce territoire. Tu es plus... Unique qu'eux.

Son sourire s'élargit davantage, dévoilant largement ses canines et conférant à son visage une allure on ne peut plus corrompue. Sa lame décrivit alors quelques arcs de cercle dans les airs, découpant l'ombre de son reflet luminescent. Il fut interrompu par les cris de rage de Lilith, mais ne se retourna pas. Ce n'est que lorsque Morbis suggéra à la femme de poursuivre son assaillant qu'il lança un regard dans sa direction alors qu'elle s'éloignait, avant de subitement se retourner vers le moine.

-Dis-moi... Quels sont tes réels motifs?

Morbis, sourit et dit:

«Mes motifs? Et bien...si tu veut vraiment le savoir, je ne fait, tout simplement qu'accomplir un promesse que j'ai fait, après tout, je suis quand même digne de parole»

Puis il rit avec un ton mafois froid et sadique, ensuite et regarda Rassius dans les yeux et dit:

«Et pour ce qui est de ma différence aux autre moine, et bien, je te donne un petit indice....Les ordres monastiques»

[en passant lilith est pu là depuis un bon moment, et pour New York je savais, c pour ça que j'ai fait aucune action]

Un éclair de compréhension et de vague surprise traversa le regard du guerrier.

-Je vois... Intéressant.

Rassius prit un air pensif, avant de continuer à interroger le moine.

-Hmm... Connais-tu plus ou moins intimement Valin?

«Valin.....???? Ah! Le mage, ummmm....non pas vraiment, à vrai dire, je ne le connais à peine»

Puis, le moine regarda Rassius d'un air curieux en dissant:

«Est-ce que, par hazard, les ordres monastique vous intéresserait?»

Rassius haussa un sourcil d'intérêt.

-Je serais en effet intéressé à approfondir mes connaissances à ce sujet...

Il marqua une pause, puis, se retournant promptement, ajouta:

-Mais pour l'instant... J'ai à faire avec le mage. Nous nous reverrons...

Au même moment, Lilith passait plus loin sur le sentier, murmurant ses paroles. Rassius eût pour simple réaction de lancer un regard en sa direction avant de partir en direction de l'église.

Sorti de nulle par de la forest, Darrick marcha silencieusement vers le petit village isoler.
Des cris d'Agonie et des cris d'Alarme résonnais partout autoure, s'étais plaissant a entendre.

Une grande explosion de feu sorti tout d'un coup du village et pui plus rien.... pendant quelque minute.
Une voie sorti du bois vien brisé le spectacle de Darrick.

- Maitre, c'est moi, Gondra....
- Gondra!, quesque tu vien faire ici povre fou?
- J'ai échouer Darrick, les adeptes des démons ne son pas encore près.... ni assé puissant pour combattre au nom de Tharrik.
-Alors il ne te reste plus qua disparraitre comme Thorann!

Et alors que Darrick levais son épée noir Gondra blèmi et lui dit tout d'un souffle...

- Mais maître, je n'es peu-être pas pri les adepte mais je peux les former et en plus les flageleur mentaux aussi vont prendre les armes. plus une pogné de drow que j'Ai convaincu, je vous en pri maitre je n'es pas échouer complètement. Et il y a aussi se jeune paladin de Mystra avec qui j'ai passer un pacte, il veut faire revenir Thorann pour des raison personnelle mais nous n'aurrons qu'a lui tendre un piège et il basculera dans les ténèbre.

Suspendant son geste avec l'épée, Darrick dit...

- Je veux bien te laisser une chance puisque tu a fait plus que Thorann mais ne me déçois plus comprie. Si tu revienne me voir alors que ta mission est incomplète alors tu serra détrui et même le maître des ténèbres ne pourra te faire revenir.
- Maître vous êtes...
- SUFFI!! Gondra par faire ta misson et souvien toi de ce que je t'es dit.

Et sur une flamme haute de 5 mètres, Gondra disparru comme il étais venu.

»»»»»»»»»»»»»»»»»»»» Quelque temps plus tard




Ornul, qui marchait sur le bord du chemin, s'assura qu'il ne soit pas suivit. Une fois cela fait, il sortit un petit bouquin de son sac puis le mit en face son visage. Un symbole noir était inscrit sur la couverture.

-Alors, Madrad, comment ça va aujourd'hui?

Il avait dit ça avec un amusement presque exessif, un sourire cruel déchirait ses joues. Aucune réponse. Le marchand savait très bien pourquoi. Après avoir fait cette étrange discution, Ornul remit le livre dans son sac et reprit sa route...

Encore quelques temps plus tard

Après être allez chercher ses affaires à la boutique, Ornuul marchait à présent sur le long sentier, chemin de l'infini. Il laissa sa frustration sortir.

-Les vieux de se genre se croient toujours aussi sages. Mais malgré toutes leures précotions, ils n'ont auccune sagesse. Il cracha au sol. Ils sont exaspérants! Celui-ci ne s'en sortira pas aussi facilement...Qu'est-que cette pierre, je n'ai rien détecté. Il afficha une moue songeuse. Je vais le savoir bientôt...

Il accéléra le pas et son chemin semblait le conduire...vers...le cimetierre...

Lelldorin, ayant suivi Madrad jusqu'au village, haussa un sourcil que Ornuul se dirigeait vers le cimetière. L'elfe continua de marcher sur les pas du marchand et du paladin sur la pointe des pieds. L'illusionniste était invisible mais il en était pas moins audible pour de fines oreilles.

(h-g si j'ai bien compris, on continue le post ici?)

(h-g oui)

(ok merci)

Zicorn marchait toujours furtivement et commençait a se dire que tout ça ne mèrerait a rien, mais il devais continuer suivre Izor, tout devrait s'ezpliquer en chemin.

Venant de nul par, une petie créature verte sorti brusquement de la foret et passa au travers du chemin avant de retourné dans la foret de l'autre coté de la route. Poursuivi pas longtemps apres par un grand barbare a l'allure farouche.

- Tu ne peux pas m'échapper petit gobelin! Tu va voir, tu ne sentira rien et Kambal du val mon père et marie de Myriannet chef des plaines serra content de moi.

Les bruis de poursuite s'enfonsa dans la foret en direction de l'église.

Sur le chemin, deux aventurier marchait paisiblement, se disputant le butain qu'ils avaient volé au dernier passant du chemin, quand tout a coup, un silence anormale tomba sur les lieux.

Plus un son ne résonnais dans la forest, seul la respiration des deux hommes soudain devenu nerveux résonnais. Un murmur se fit entendre sur leur gauche et le premier homme disparu dans une espèce de brume noir qui semblai animer d'une vie propre. L'homme emprisonner cria et fini son cri sur une note un peu moin humaine.

La brume ce retira lentement d'un cadavre complètement dépuiller d'organe et de peau... seul les os étais rester en place. Le squelette tomba a la renverse et la brume murmura de nouveau avant d'avancer vers l'autre homme. La forêt résonna du cri d'aconie du dernier aventurier... et le silence suivi une scène d'horreur.