Village (saison 2006 à 2009)

(Pour être sîr que le message du retour soit vu de tous)

Au loin, les deux marcheurs pouvaient être vus du village, car la route que Owyn avait empruntée n’est pas celle qu’il espérait. Contrairement de mener à l’église, elle mène, de retour, au village. Le barde regarda son cousin, haussa les épaules avec un sourire en coin.

"Ben quoi, tout le monde peut se tromper, ses temps-ci ma mémoire me fait quelque peu défaut…"

Au village, nul n’était perceptible. Le feu mourrait dans ses cendres et les portes de la taverne étaient encore fermées au public.

"Je voudrais bien savoir une chose : Pourquoi, il y a si peux de personne dans ce village et depuis quand une taverne est fermée. C’est un lieu de rencontre et d’amusement qui doit être ouvert à tous heures, même pour les races autres et les soullons!"

L'être vêtu de rouge arriva et semblait cacher une certaine haine :

-C'est vrai,pourquoi la taverne est fermé...j'aimerais bien prendre une outre de bière ou 2...

Ornul arriva d'un pas hésitant au village. Sa soif s'emplifiait au fil du temps et il devait faire vite, sinon il risquerait de perdre tout contrôle. Il aperçu Owyn et son compagnon traversant les cabanes jusqu'à la taverne. Puis une personne tout en rouge qui lui était inconnue. Lorsque celui-ci cria son désir de boire, Ornul eut un flash, une idée qui trotinait dans son esprit depuis un certain bout de temps. Il s'approcha du rougaux et lui proposa :

-Dit donc, jeune homme, je crois me rappeler que j'ai une très bonne bouteille chez moi, cela te dirait de prendre un petit coup ?

Le tic d'Ornul se faisait beaucoup moins fréquent.

Le Züu ne vis aucun problème à allez chez cette homme...il pouvais détecter en lui une certaine aura qui pouvais faire confiance,comme si lui et cet homme avait la même façon de penser...ce qui commença sérieusement a l'inquiéter.Il se rappela alors le rendez-vous qui l'attendais avec Zamerine,sa douce moitié.

-Désoler cher...heu...monsieur?désoler mais j'ai du mal a distinguer vos trait...peut importe,je vais retrouver ma douce moitié.On se reverra peut-être un jour.

sur ce,il salua les dernière forme de vie dans le village et partit pour la soirée...et pris bien la peine de pas dire où elle résidait.

-Domage, domage, chuchota Ornul. La prochaine fois, je te le garantie...

Il fît un tour rapide du village. Il passa proche de Owyn. Quelques tics furent acompagnés d'un clin d'oeil. Il continua son chemin puis s'arrêta sec.

-Bon, finit-il pas dire avec un soupir d'exaspération. Pour cette fois, je n'aurai pas le choix.

Il mît sa main dans son sac acroché à son épaule et en sortit une petite fiole.

-À ta santé Madrad. Et, avec un sourire résigné, bu le contenu de la fiole.

Il fut pris par de fortes crampes. Un cris de douleur sortie de sa bouche. Puis il couru jusqu'à la boutique du marchand et ferma la porte à clée. Des bruits de chocs et de pagaille se faisaient entendre durant quelques instants......puis plus rien......

(waaa, méga panne d'inspiration. ma continuer pour voir si sa débloque...)

Les deux bardes regardèrent la scène avec un regard objectif. Quand Madrad passa proche d'Owyn, celui-ci le salua d'un hochement de tête. Puis le marchand disparu dans sa place. Après les quelques bruits, Owyn regarda Sovran et lui dit:

"Laisse, je vais m'en occuper. Toi trouve un coin pour mettre notre tente et pas trop loin du village cette fois-ci!"

Sovran acquiessa et disparu derrière l'auberge. Owyn regarda la boutique du marchand, haussa les épaules et marcha d'un pas lent vers la porte. Il apposa sa main sur la poignée et ...

-NNooonnn! N'entrez pas...p...pas tout de suite!

Madrad s'empressa de remettre de l'ordre tout en marmonnant des mots que même Owyn ne put entendre.La porte s'ouvrit très tranquillement dans un grincement de pentures mal huilées. Les yeux du barde tombèrent sur le marchand qui semblait quelque peu déboussollé. Il passa sa main droite dans ses cheveux ébouriffés puis regarda Owyn avec un air confu.

-Oui, qui a-t'il?

Le barde haussa un sourcil. Il lâcha la poignée et recula d'un pas. Il attendit que le marchand viennent de lui-même. Quand celui-ci se présenta à la porte, il le regarda un regard interrogatif, il n'alla pas plus loin dans son expression.

"Rien... Je me demandais seulement si tout vas bien. Vous êtes sûr de bien aller, vous avez une mine affreuse!"

-Ou..oui, oui...tout va bien. C'est mon repas que je digère mal. Rien de trop grave.

Madrad avait un goût affreux dans la bouche. Il cracha au sol. Il ferma la porte derrière lui puis s'approcha d'Owyn.

-Et vous, tout va bien? dit-il avec un sourire forcé.

*après le GN*

Owyn Voyageant, humble barde vennant d'une contrée assex lointaine, était entrain de se promenner le dos pencher près du village. Puis, il s'acroupi et ramassa quelques herbes. Il les mit dans son sac et retourna à la boutique du marchand, maintenant partager par lui et Sovran pour vendre leur potion au public.

Owyn arriva en face de la boutique, regarda le marchand et décrocha son sac. Il le déposa, sans discression, sur la table emplie de marchandise. Il s'assit du côté opposé du marchand, en face de ses fioles vides. Il entreprit d'écraser les plantes cueillis pour en faire des potions diverses. Tout en préparant les potions il s'adressa au marchand:

"Alors Mad... j'ai vu un petit goblin qui me parlait de toi. Que lui as-tu fait pour qu'il soit aussi exité?"

À ces mots, le marchand cessa aussitôt de criffonner des symboles sur ses parchemins, leva tranquillement les yeux puis répondit :

-Ne m'appelle plus jamais Mad, dit-il sur un ton irrité. Mon nom, c'est Madrad. Ce fouttu gobelin m'a tapé sur les nerf et...

Les tics du marchand ont reprient, mais il ne lui fallu que quelques secondes pour reprendre le contrôle.

-Bref, pour finir, je lui ai donné des coups d'épée.

Le barde haussa un sourcils et répondit calmement:

"Calme toi mon ami, c'est cette petite vermine qui n'arrêtait pas de dire ce nom.", il prit une pause, suivit d'un soupir, "Ah la violence... était-ce la seule solution pour venir à bout de ce goblin?"

En même temps de parler Owyn avait levé les yeux et croisa le regard. Le barde avait un regard neutre avec une tournure amical.

Madrad se calma.

-Bon, c'est du passé à présent. Comment se porte ta marchandise?

"Encore en préparation. La dernière je n'ai pu me trouver assez de fioles pour mes potions. J'ai demander à un ami assez loin de m'apporter des contenants faire maison. Le verre soufflé, rien ne peut battre cette qualité!"

Sur ces entrefaites, Sovran arrivait au village. Il avait un sac passé à l'épaule.

- Bonjour à vous deux. J'ai amené quelques trouvailles achetées voilà un certain moment, et que j'avais perdu quelque part dans la forêt. Je viens de tout retrouver.

Il sortit de son sac une grosse bouteille, surmontée d'une petite boule en vitre, ainsi que trois petites bouteilles vertes, surmonté d'un bouchon.

- La grande bouteille contient simplement de l'eau pour l'instant, mais elle a une valeur sentimentale. Elle contenait autrefois le premier vin préparé par mon oncle. Quand aux petites, elles pourront nous servir à préparer des potions.

-Content pour vous, rétorqua Madrad. Les affaires ont l'air de bien allez. Pour ma part, quelqu'un a bien finit par réussir à ouvrir mon fameux coffre. Dommage, ça m'ammusait. Vous aussi, je crois.

Le demi-elfe se retourna au son de la voix de son cousin. Il lui adressa une salutation de la tête. Il resta les yeux grands ouverts devant la grosse fiole que son cousin avait apporté.

"Mais depuis quand tu les avais en ta possession et tu ne l'as pas dit? Cette grande fiole pourra servir de réserve à potion...", il esquissa un sourire au commentaire du marchand, "Ah! Oui!, Ce fameux coffre que je t'ai rapporté. Qui est le téméraire qui a survécu à cette flambé? Et que contenait-il?"

-Un paladin à qui j'ai vendu un de mes objets magique qui lui permettait d'esquiver des sorts tel que les boules de feu. Avec un sourire, Madrad continua. Mais, malheureusement, un de ses bras à tout de même crammé.

Le marchand se mit alors à rire à pleines dents.

"Même si cet effet de ce coffre m'était surement destiné. J'ai bien aimé voir ces gens crammer! Huum, vous ne m'avez pas dit le présent piègé qui s'y trouvait?"

Owyn passa d'un sourire à un air sérieux, non sans amical.

Madrad trouva légèrement troublant la détermiation d'Owyn pour savoir de quoi il s'agissait. Il ne tenta pas pour autant à le cacher.

-Dans le coffre ce trouvait un talisman. Après l'avoir identifier, j'ai détecter certains pouvoirs de divination. Étant donné sa puissance, une jeune personne inexpérimentée ne saurait s'en servir.

Par la suite, le marchand prit la peine de finir son parchemin avant de ranger ses affaires dans son coffre personnel.

Owyn resta surpris par la réponse du marchand. Il lui semblai que l'homme qui lui avait donner ce coffre n'était point devin.

"Ah bon! Il me semblait que l'"ami" qui m'a donné se coffre n'est point devin. Voir même fataliste! Bref...", il remarqua le coffre, "Humm, maintenant que nous partageons la boutique, il nous serrait fort utile, nous aussi, de connaitre la combinaison pour le coffre. Je ne voudrais pas que des brigants nous vollent nos potions."

À la fin de ses dires, le barde se lava et se dégoudi les jambes en les pliants vers l'arrière; une à la fois.

Madrad prit très mal la demande d'Owyn.

-Pour accéder à la combinaison de ce coffre, il faudra que tu creuses au plus profond de mon esprit! Tu devras trouver un autre moyen de protéger tes stupides potion!

Le marchand n'était plus le même depuis quelques temps. Normalement, lorsque sont tempérament changeait brusquement, des tic faciaux le prenait. Mais ces tic faisaient de moins en moins surface. Après avoir reprit son souffle, Madrad s'excusa.

-Pardonne-moi. Ma boutique à elle seule pourra protéger ta marchandise. J'ai moi même mit au point la protection magique. Seules les personnes qui sont invitées pas MOI peuvent entrer. Vous y êtes les bien venus. Et, pour le coffre, même le plus agile des voleurs ne pourrait y venir à bout.

Le marchand se rassit pour retrouver ses esprits.

Le barda haussa le sourcil en signe defi. Il ne paru point surpris par le comportement de Madrad. Il pense avoir une idée sur ce changement de comportement.

"Huum, celà pourrait arriver plus vite que tu pense...! Mais bon, je ne soutirais pas d'informations si tu n'es pas en accord."

Il reviens vers la table, apposa les mains sur le bordde la table et appuya le reste de son poids. Il regarda Madrad droit dans les yeux et dit d'un ton neutre et autoritaire.

"Toi. Si tu ne te décide pas de me dire, avec concentement, ce qui se passe avec ce comportement à deux faces, je devrais aller chercher cette information. Et je ne veux pas te la soutirer sans le concentement de la personne. Bon, pense-y et ... huum, je devrais me mettre à la rédaction du contrat du village..."