Village (saison 2006 à 2009)

Un certain marmonage, resemblant à une genre de prière, se fit entre pendant une cinquantaine de seconde puis, un homme vétu de blanc apparu derrière Darrick et dit:

«Sargh elgg a quar’valuk»

Il le toucha presque imidiatement

PS: Blessure critique, 2 point de vie à chq partit du corps

autre PS: c'est Delvihir et non Morbis.

Amëlia pris son bâton a deux mains et pointa Darrick

Naust z’hin !

Amëlia regarda le nouveau arrivant puis lui dit:

Merci, très cher, je ne ses point se que je serais devenue sans ton aide! Mais votre visage mes famillier vous ai-je déjà vue quel que part?

Ps: les effets de mon sort ses ke darrick est imobiliser....

«Cela me fais plaisir, après tout, c'est normal. Je n'ai fait que mon humble devoir ma très chère, car ces actes que je vient juste de posé, je les ai fais à la demande de Lathandre.»

Puis le prêtre s'aprocha de l'elfe et dit:

«Mais je trouve étonnant, le fait que mon visage vous soit familier, car le votre ne me dit rien, quoi que, j'ai la mémoire qui fahi quelque peu.»

IL regarda Darrick qui jisait par terre, regarda Amëlia à nouveau et lui dit: Vous ferrez peut-être mieux de vous occupé de l'être mourrant, avant qu'il ne soit trop tard

Je suis d'accord avec vous...

Amëlia s'approcha de Adar, le toucha puis incanta:

Sargh nelgetha a quar’valuk!

Amëlia se releva puis dit d'une voit douce:

Voilà qui devrais l'aider!





Effet : 2 pv à toutes les parties du corps.

Delvihir aprocha d'Adar en disant: «Je vais m'occuper de transporter votre ami, je ne suis pas pour vous laisser le porter vous même après tout.»

Il souleva ensuite Adar et le pris sur son dos. Avant de partir, il regarda l'autre homme, qui était toujours par terre, et dit: «Je crois qu'il a compris la leçon, laissons-le»

Sur ce, il attendit que l'elfe le guide jusqu'à un lieux plus sécuritaire et plus propice pour y mettre Adar en sécurité

Amëlia commenca a marche lentement puis dire enfin:

Nous devrions aller a l'acien fort des elfes nous y serons plus en securité, cela est un lieu très pasible.

Puis Amëlia continua a marché tout en attendant son nouvel amis, vers l'acien fort des elfes...

Tout se don se souvien Darrick de cette épisode étant qu'il allais sauter sur une elfe qui venais de l'intérompe et peu de temps avant une vois sorti de nulle par qui incantais quelque chose pui une douleur atroce qui lui traversait le corp... tellement insuportable qu'il en perdi concience pendent quelque temps. Il vit l'elfe partir avec une autre personne en toje blanche dans le bois et se jura de tuer tout les elfes et leur alier si il survivais. Darrick essailla de bouger son bras pour attraper une fiole de guérison mais aussitot qu'il bougea le moindrement son bras une douleur intolérable le paralisa encore de partout. Il était la par terre a la merci de tous et impuissant. Dans un effort de volonter surhumaine Darrick cria de tout les force qu'il pocèdais encore.....

UN JOUR VOUS ALLER GOUTER A MA VENGENCE!!!!!!! VOUS ALLER TOUS MOURIR DE LES MAINS DE CELUI QU'ON NE PRONONCE PAS LE NOM!!!!!!!!!!

Douleur.....Soufrance.....Colère......Haine...... Mort...froid....et soudain Chaleur......Vie.....Air.....Adar ouvri lentement les yeux pour savoir ou il étais... surment mort se disait il. Adar vu qu'il étais en mouvement mais il étais encore trop faible pour pouvoir raisonner corectement alors il se laissa glisser dans un someil réparateur, mais peu avant qu'il reperde concience Adar senti encore un douleur la ou peu de temps avant il s'étais fait transperser. C'étais comme si quelque chose le rongeai de l'intérieur. Soudain une grande douleur le fit pousser un cris de souffrance et il reperdi concience.

À cause du cris d'Adar, Delvihir sursauta et échappa Adar.

«Ummm.....désolé?» dit l'homme quand il se retourna pour regarder adore qui était au sol, à moitié conscient de se qui se passait.

(H-J: On va le partir à peu près à l'époque de l'année où on est, donc beaucoup de choses se sont passés depuis le dernier message. FIN H-J)

Un bon matin, de bonne heure, un homme à la cape se réchauffait aux abords du feu. La neige avait commencé à tomber un peu avant le lever du soleil, le sol était donc recouvert d'une fine couche blanche. Un vent froid soufflait dans les arbres et soulevait la cape du paladin.

-Brrr.... Il ne fait pas vraiment chaud par ici... J'aurais mieux fait de rester au campement des protecteurs au lieu de venir trainer par ici...

"Les protecteurs... mais de quoi donc?", dit-il ironiquement

Un homme venait d'arriver du chemin de l'église et avait pu entendre les paroles dites. Le dit homme portait un foulars sur la tête, qui retenait ses cheveux en arrière. Il ne portait ni cape ni grosse fourrure. Seulement des vêtements que l'on met avant la saison morte (automne, pour ceux qui comprennent pas!) Il avait une épée longue au fourreau. Si on portait attention on pu voir de ses pas une fine vapeur s'élevé. (je lais mit en petit, pour ceux qui portent vraiment attention!)

HJ: Faut que t'aie été vraiment attentif, je me parlais à moi-même.

Barkanos se retourna de façon calme.

-À voir votre ton, vous devez sûrement le savoir, alors pourquoi poser la question ?

(hj: ah bon, dsl javait pas vu, on va dire que je lai quand mm entendu)

Myerenn eu un sourire en coin et dit:

"Les protecteurs des cons, oui je l'ai connait. Dommage que vous en faites parti. je vous croyait plus intellignet que cela."

Le ton était rempli de sarcasme et était destiner, seulement à crinquer l'auditeur.

Vous ne me connaissez pas tant que ça... Et de toute façon, chacun à droit à son opinion. En plus, je ne suis pas forcément avec eux, j'habite leur fort seulement en raison d'un ami rodeur, qui nous y a conduit l'autre nuit. Je ne suis pas en accord avec eux sur certains...points.

Le rôdeur sourit et donna une claque amicale sur l'épaule du paladin.

"Pendant un instant j'ai cur que vous étiez vraiment stupide et que vous étiez manipulable. Je ne dirait de méchanceté sur le groupe, don le quelle j'appartien."

L'homme resta devant le paladin, en attendant sa réponse.

Par manque de réponce, le rôdeur se retourna et parit par grand enjamber vers le campement des protecteurs. Il s'arrêta à la limite de la vue du barde et lui lança:

"Au plaisir de vous revoir. Moi je dois partir, à bientôt."

Un homme armer vint prandre place au côter d'Amélia pandans quelle marchait, il sortais tu bois tout bonement!

Bonjours belle elfes je voit que vottre splandide beauter est toujours à la hatteur de celle du soeil!

Il regarda ses mains an marchant:

Vont belle main on toujours leurs douceur de fleur?

(Bon je crois que je vais repartir un peu l'histoire, vu que quasiment rien se passe sur le forum.)

Le soleil arrivait à son zénith lorsqu'un homme avec une cape noire entra dans le village. Il s'avança vers le feu et s'assit sur une bûche pour se réchauffer les mains.

Après un moment, il sortit de sa poche un ocarina bleu et une flûte rouge. Il hésita un instant, pis rangea l'ocarina dans la poche de sa veste brune. Il porta l'instrument à ses lèvres et une mélodie douce s'en échappa.

(Bon je crois que je vais repartir un peu l'histoire, vu que quasiment rien se passe sur le forum.)

Le soleil arrivait à son zénith lorsqu'un homme avec une cape noire entra dans le village. Il s'avança vers le feu et s'assit sur une bûche pour se réchauffer les mains.

Après un moment, il sortit de sa poche un ocarina bleu et une flûte rouge. Il hésita un instant, pis rangea l'ocarina dans la poche de sa veste brune. Il porta l'autre instrument à ses lèvres et une mélodie douce s'en échappa.

(Désolé pour le double-post, j'ai accroché un bouton...)

Une silhouette encapuchonnée arrivait au village par le chemin qui menait aux champs. Lorsque le personnage entendit la musique il sourit. L’homme rabattit la capuche qui lui couvrait le visage, laissant voir des oreilles légèrement pointues. Il sortit de sa cape un harmonica et s’approcha du feu. À quelques pas, dos au barde qui jouait de la flûte, il entreprit d’accompagner, le musicien à la flûte, à son harmonica.

Lorsqu'il vit l'autre homme approcher, Sovran continua à jouer. Lorsque l'homme commença à jouer, Sovran fut surpris, mais continua tout de même. Après un moment, il s'arrêta et se tourna vers l'homme.

-Bonjour à vous et merci pour l'accompagnement. Je me nomme Sovran Delvadas, barde.

Il tendit la main.

Un léger sourire était sur le visage de l'elfe. Il continua de jouer en accompagnant l’autre barde, puis quand celui-ci fini, l'elfe, donna un dernière note de son harmonica; il rangea son harmonica sous sa cape, ne laissant voir que des ombres sous sa cape.

"Je me nomme Owyn Voyageant, comme vous! Barde voyageur. Je suis content de voir qu’il y a, aussi ici, des gens civilisés. En fait pour l’instant vous êtes la seule personne que je rencontre en ces terres!"

Il lui serra la main amicalement, mais qui laissait sentir qu’il était plus fort qu’un elfe pour en être un, malgré ses oreilles pointues.

"Savez-vous où sommes nous?"